dimanche 27 juillet 2014

551 Le frisson d'une terrible correction 1

Pourvu que personne n'entende mon chéri quand il m'annonce certaines corrections !

Étant franc, peu importe la situation, il ne va pas par quatre chemins quand il a des choses à dire. Puis il a ce que j’appelle une théâtralité verbale. A l'écouter on serrait facilement tenté d'imaginer le pire pour moi.

Crois moi isabelle, ton cul se souviendra pendant longtemps.... je vais te strier tes fesses en long et en large comme tu le mérites...

Pas de panique, ni de joie sadique hein ! Nous sommes dans l’ouverture d'un rituel qui est en quelque sorte le préliminaire de ma punition. Ce rituel sert à adoucir les tendances hostiles. Des vraies je veux dire. Car parfois mon pauvre chou est au bord du désespoir avec moi! Par ma mauvaise foi, par mes insolences, par la portée de mes bêtises (qui se compte en longues heures de travail pour mon chéri). Sans oublier que j'ai le verbe haut quand il s'agit de défendre la peau de mes fesses. Ce semblant de forte dispute est notre manière bien à nous de nous mettre en phase. Car n'oublions pas que la discipline domestique vit d'émotions qui se créent spontanément par le cours de la vie. L'action n'est pas prémédité comme dans une mise en scène ludique.

Une fois nos émotions accordées, le rituel a pour but, analoguement aux préliminaires dans la vanille, de monter une tension qui tangue dans une situation punitive entre l'angoisse de passer par une rude épreuve pour mes fesses et la volupté de me trouver « entre les mains » d'un homme déterminé qui approuve et applique pour grandes filles les méthodes éducatives anciennes qui me font tant rêver.

Soit tu files droite isabelle, soit on baisse ta culotte !

Sorte d'épée Damoclès qui me plaît de sentir en permanence au dessus de ma tête et qui donne à mon quotidien un air d'aventure permanente. C'est un peu comme le train fantôme de mon adolescence en agréable compagnie princière. Il s'agit moins de cultiver une peur irrationnelle de fantômes, mais l’anxiété de voir surgir subitement et de nulle part dans le noir une main (bien humaine) qui va se glisser sous mon T-shirt ou sous ma jupe au moment où je m'y attends le moins. Ce suspense qui devient au fil du parcours quelque peu insoutenable et qui trouve une décharge salutaire à chaque attraction qui permet aux filles de pousser leurs cris aigus qui parlent en long et en large de leurs émotions... contradictoires ! En gros une habile exploitation commerciale de petits traits hystériques qui offre un terrain favorable pour mettre en scène les cris d’impuissance (et surtout de joie!) d’une femme qui devient la cible d'attouchements sexuels. Tant souhaités ceci dit, car on n'embarque pas au train fantôme avec n'importe qui.

Bref, il vaut mieux de ne pas trop prendre les dires de mon chéri à la lettre. Il est en train de me créer dans mon imagination bon nombre de "situations brûlantes" qui entretiennent un suspense. C'est le grand jeu. Il sait mettre en relief - par une belle rhétorique qui ne néglige aucun détail - une forte pression qui me donne la chair de poule. Je sais que je vais être sévèrement punie, mais je ne connais pas encore les modalités.

C'est l'incertitude de mon sort, qui me procure les plus fortes émotions !

32 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle ,

    Ah le rituel de l'attente insoutenable. Un peu comme en cuisine : tous les ingrédients sont réunis et l'on procède à la confection du petit plat.
    Mais la cuisson peut parfois réserver de bonnes ou mauvaises surprises et au final surprendre les invités. Pour la plus grande joie de l'hôtesse. Et la DD procède de la même façon. Non ? Tout réside dans l'art et la manière de présenter les choses... bonne journée. Mac-Miche.

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    1. Excellente analogie cher Monsieur Mac-Miche ! Tout réside dans l'art et la manière de présenter les choses. Si la DD a généralement une mauvaise réputation, c'est à mon humble avis parce que l'on s'attarde trop peu sur le côté psychologique. Il me semble qu'il s'agit même du plat principal qui est relevé par un savant dosage d'épices « cuisants ». Mais en lisant certains auteurs à ce sujet, on la l'impression qu'ils inversent la recette. Pourtant tout le monde le sait que trop d'épice tue le plat ou du moins le rend indigeste...

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    2. Bonjour Isabelle,

      Dans la DD, qu'il ne faut pas confondre avec la violence conjugale, répressible, on voit le côté visible de l'iceberg. Mais pas du tout, tout le travail fait en sous-main travail de mise en condition et autres préliminaires. La DD ne se limite pas à martyriser son/sa partenaire pour le modeler à sa guise. On suit une certaine règle
      de vie acceptée et comprise. "J'ai été très vilain/e, j'accepte ma punition ". Avec plus ou moins une certaine appréhension, tout de même.
      On fait parfois l'amalgame entre relation sado -masochistes et DD.
      On s'attarde jamais sur le pourquoi des choses. Du style : "il/elle aime prendre des baffes ? c'est qu' il/elle doit être maso".
      On ne cherche pas à regarder derrière le miroir. Dommage...
      Mac-Miche.

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    3. Vous faites bien de rappeler que les méandres de notre fantasme restent souvent dans l'obscurité, Monsieur Mac-Miche. Comme si le vrai interdit ne concernait pas de passer à l'acte que ce soit ludique ou sous forme de DD, mais sous forme de pêché biblique, l'interdiction de savoir ce qui se trouve au fond de nous. Notons aussi en analogie avec la bible que se sont majoritairement les filles d’Ève qui se posent donc des questions « interdites » sur leurs fantasmes. Et encore dans le sens biblique que ce sont majoritairement les dames qui tendent la pomme/le martinet à Adam.

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    4. Bonjour Isabelle ,


      Ah l'éternel problème du Bien et du Mal, le Paradis Terrestre, le fameux arbre et le vilain serpent tentateur !!!
      En matière de connaissance biblique, je ne m'aventure pas trop sur ce terrain ô combien délicat. Mais c'est juste. Les femmes sont peut-être elles mêmes les victimes (in)volontaires de leur propre "curiosité". Curiosité féminine que les hommes peuvent prendre parfois pour une marque d'insolence ou d'indépendance.
      Qui n'a jamais entendu , étant gamin/e, cette réponse de nos parents, quant on se montrait trop curieux : "ça ne te regarde pas. Ce sont des problèmes de grandes personnes".
      Comme le dit souvent mon vieux marin de père : "Dans l'Armée, chercher à comprendre, c'est désobéir ! ".
      Bonne journée. Mac-Miche.

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    5. Peut-être ne fait aussi pas assez la parallèle entre DD (ou pour moi coaching privé directif) et équilibre psychologique. Au-delà du "jeu" et de ses formes, n'y a t-il pas un vrai besoin pur la personne qui se place sous l'autorité de l'autre de le faire et un vrai équilibre obtenu, de part et d'autre, par ce type de relation.Je pense que cela évite bien des psychanalyses pour ceux qui y arrivent...

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    6. Bonjour D,

      La DD comme "thérapie conjugale" : à condition de trouver un écho de ses propres besoins dans la personne qui partage votre vie. Le fait de garder en soi ce besoin inexprimé peut fausser la vie à deux, s'il est ressenti comme vital à son équilibre psychologique par la personne concernée. Dommage de passer à côté d'une "règle de vie" qui permettrait une parfaite harmonie quotidienne entre deux conjoints. Dans la vie, il y a des personnes qui ont un tempérament pour ordonner et d'autres... pour obéir. Pourquoi ? Excellente question. Ne dit-on pas que deux commandants sur un navire le mène à la dérive... Mac-Miche

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    7. Pour Monsieur Mac-miche :

      Et si le dames, outre leur rôle pour perpétuer l’humanité, seraient de plus par leur curiosité le moteur de l'histoire, cher Monsieur Mac-Miche ?
      Mais disons aussi que beaucoup de messieurs, à l'égal du modèle biblique se prennent en matière de savoir en grand seigneur en disant à la dame qui se pose des questions : Ne réfléchis pas, laisse toi faire. A croire qu'il perpétuent l'interdiction originel du savoir au nom de leur plaisir...

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    8. Pour Monsieur Doumik :

      Je pense pour prendre vraiment conscience de l'entendu de ce besoin et oser de l'admettre une psychanalyse peut être utile et faire gagner du temps précieux. Mais effectivement en s'engagent dans une relation de discipline privée et sur mesure, il me semble que l'on puisse arriver au même résultat. A condition de tomber sur une personne sérieuse qui ne se sert par du inévitable transfert pour des manipulations de tout genre...

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    9. Pour Monsieur Mac-Miche : Peut-être une question plus pragmatique à se poser serait de comprendre pourquoi on discrédite et ridiculise les personnes qui expriment un penchant pour la discipline ?

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    10. Bonjour Isabelle ,


      Très juste votre remarque. Souvent l'on tourne en ridicule les gens ou les choses que l'on ne comprend pas (ou que l'on ne veut pas comprendre aussi) et pour s'en protéger , on l'affuble de divers sobriquets et autres délicatesses. Mais les gens qui agissent de cette manière ont peut être elles aussi au fond de leur esprit un "jardin secret" qu'elles gardent bien à l'abri de tous... pour ne pas être victimes à leur tour de la moquerie générale.
      Curieuse psychologie humaine. Bon appétit. Mac-Miche.

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    11. Je rejoins votre pensée, cher Monsieur Mac-Miche. J'ai l'impression aussi qu'une réaction, surtout se voulant blessante ou vexante, envers les fantasmes d'autrui cache bien quelque chose. Peut-être se revaloriser en dévalorisant autrui. Enfin, voilà des méandres de l'âme qui me passionnent peu. J'aime bien les jardins secrets paisibles...

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    12. Bonsoir Isabelle,

      La dérision est parfois une sorte de carapace que certaines personnes se construisent. En se moquant d'une situation déjà vécue, ils "coupent l'herbe sous le pied " de leurs futurs détracteurs.
      "Il faut se hâter de rire d'un malheur avant d'avoir à en pleurer" disait un familier de la cour du Roi-Soleil ( Racine, Boileau ou La Bruyère, je crois?)
      Comme moi, je vois que vous privilégiez les coins tranquilles propices à la méditation et à la connaissance, à l'ombre d'un bosquet ombragé, près d'une source claire et rafraichissante... Rires. Et comme disait un philosophe du Siècle des Lumières (Monsieur de Voltaire ?) : "Cultivons notre jardin" !
      Bonne soirée. Mac-Miche.

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    13. Pour parler de ses fantasmes rien ne vaut une atmosphère paisible teintée d'un érotisme subtil. Personne n'a envie de se confier dans un cadre agressif, style combat de coq comme dans certaines soirées consacrées à la drague drague ou sur certains forums. J'ai donc commencé très tôt, d'abord de choisir mon prince charmant, puis de lui proposer - quand il était trop timide pour le faire pour sa part – de nous isoler quelque part. Pour après sortir le grand jeu en mettant mon corps et mes gestes et mouvements en scène. Rassurer pour mieux cultiver et ainsi récolter de beaux fruits...

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    14. "Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer", c'est de Beaumarchais...
      Le dialogue complet est, de mémoire, entre le comte Almaviva et Figaro (désolé si ça ne s'écrit pas exactement comme ça):
      Le comte: Qui t'a donné une philosophie si gaie?
      Figaro: L'habitude du malheur... je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer".

      En revanche, ce que décrit MacMiche, à savoir la situation où on se moque de soi même pour empêcher des détracteurs de le faire, j'y verrais plus une référence à Cyrano de Bergerac, dans la pièce d'Edmond Rostand: "je me les sers moi-même, avec assez de verve, mais je ne permets pas qu'un autre me les serve", dans cette tirade absolument mythique du "c'est un roc, c'est un pic, c'est un cap, que dis je c'est un cap, c'est une péninsule".

      D'ailleurs (oui, je suis lancée, mais si ça te saoule Isabelle, tu supprimes hein, y a pas de souci), j'étais fascinée par cette pièce quand j'étais petite et même ado, au point que je la connaissais par coeur. Même aujourd'hui, je peux en réciter des passages de mémoire. Au début de la pièce, Cyrano veut empêcher un mauvais acteur de se produire sur scène, et lui dit alors "Gros homme, si tu joues, je vais être obligée de te fesser les joues".
      Imaginez ce que peut produire ce genre de réplique sur une adolescente comme moi, surtout si c'est Depardieu qui joue Cyrano à une époque où il était encore potable (même avec un faux nez, il avait quand même l'air d'un fesseur redoutable) qui la dit.
      Du coup, j'aurais bien aimé le voir passer Roxane en travers de ses genoux pour lui apprendre à tomber amoureuse d'un beau gosse sans cervelle.
      Nan mais ho.

      Constance
      (au cas où, je sais que Depardieu jeune a déjà tourné une scène où il donnait la fessée à une jeune femme. Trèèèèèèèès perturbant).

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    15. Bonjour Constance,


      Sympa à vous de replacer les choses dans leur contexte.
      Est- ce extrait du "Barbier de Séville" ou du "Mariage de Figaro" ? Je ne sais plus, bien que j'en avais étudié un passage en classe de 3è mais ça remonte à pas mal d'années.
      Et Cyrano ... un grand classique, of course .
      Dans la catégorie "Acteurs fesseurs", je me souviens d'une fessée administré par Jean Marais à une belle aristocrate dans le film " Capitaine Fracasse" ou "le Masque de Fer". A vérifier.
      Bonne journée à vous. Mac-Miche.

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    16. Bonsoir Constance,


      La fessée que donne Gérard Depardieu à une jeune actrice est peut-être extraite d'un film aux premiers temps de sa carrière vers 1975-1980. Peut être film réalisé par Barbet Schröder (avec Bulle Ogier ?) ? Mais je n'en suis pas vraiment sûr, n'étant pas un fan à 100% du grand Gérard. Mac-Miche.

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    17. Pour Constance : J'avoue qu'il me manque de la culture littéraire, mais je suis bon public et j'aime beaucoup les citations. Je sais aussi me taire quand il le faut. Rire ! Ceci dit, Dépardieu comme fesseur me ferait un peu peur. Je l'imagine comme une force de la nature...

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    18. Ah ben j'aurais dû mettre le lien tout de suite et préciser le film, parce que je le savais hein. C'est dans "Maîtresse" qu'il donne une fessée, en public en plus.

      http://www.dailymotion.com/video/xvifab_gerard-depardieu-spanking-a-nude-ass-in-maitresse-1976_redband

      Y a plus qu'à copier-coller.

      Constance

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    19. Bonjour Constance ,

      Le titre m'échappait , mais vous l'aviez deviné bien sûr !!!
      Il y a un autre film où l'une de nos actrices , Miou-Miou, reçoit une belle punition : le film "Canicule" (1983) avec l'acteur US Lee Marvin (cf. : les 7 mercenaires...).
      Ou encore la comédie (1975) intitulée "Julie Pot-de-colle " avec JC Brialy et Marlène Jobert . Et déjà l'affiche du film donne le ton ... A vérifier. Mac-Miche.

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  2. J'adore j'adore j'adore ! C'est exactement ça ! Du moins c'est exactement cet esprit de discipline domestique qui me fait complètement frémir. Votre façon, votre couple, votre équilibre... Une belle mayonnaise quoâ ! :D
    Un jour Isabelle j'aimerai bien faire un article de votre site sur nevermind si vous me le permettez ! :)

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    1. Je me sens très flattée, Ellie ! Évidement je vous permets d'écrire sur mon blog. Et si on passait par le même occasion au « tu » ?

      Ceci dit, Il me semble normal que la discipline domestique s'adapte à la dame ! Qu'elle soit faite sur mesure... pour moi ! Pourquoi se passer dans ce domaine si particulier du progrès de la condition féminine ?

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    2. Mais TU ;) vois pour moi quand je te lis ce n'est pas le sur mesure que je sens. C'est l'exacte mesure qui viens de toi vers lui et de lui vers toi. Le naturel de chacun qui s'adapte parfaitement au type de réaction de l'autre.

      Autant quand on vit en couple il est naturel de faire des concessions équilibrées, autant pour que le "fantasme" soit a tous points de vus vécu avec émotion et ravissement tout doit naturellement s'emboiter sans déceptions, concessions, attentes irréaliste par rapport a l'autre, me semble t-il... Et blablabla en gros ce que je veux dire c'est qu'une belle relation DD ne se rencontre pas tous les jours ! :D

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    3. Tu crois que je vais me vanter des (multiples) quelques erreurs d'accordement par lesquelles nous sommes passés. Rire ! Mais disons que pour trouver une juste mesure, il faut accorder (comme pour le quotidien en général) élément par élément, même si les fantasmes partagés sont de plus proches. C'est ce tout qui donne finalement l'effet naturel...

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    4. Pour Monsieur Mac-Miche

      Voila la belle aristocrate qui reçoit une fessée de la main de Jean Marrais.

      Désolée pour Constance, je n'ai pas trouvé le grand GéGé !

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    5. Bonjour Isabelle,

      Merci pour cette pépite ! il est parfois difficile de retrouver aujourd'hui de bons films de cape et d'épée de cette époque (autour de 1960) style : le Bossu et le Capitan avec Jean Marais/ Bourvil/Elsa Martinelli .
      Bon WE à vous . Mac-Miche.

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    6. A propos des scènes fessée et cape et épée, cher Monsieur Mac-Miche j'ai un petit extrait d'une version de Zorro en tête qui se prête bien à l'imagination. Une petite dame sauvée de sa fessée par Zorro. Difficile de faire mieux dans ce genre.

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    7. Bonjour Isabelle ;


      Merci pour cet extrait que je ne connaissais pas tant le film commence à dater. Zorro le renard rusé, sauveur des belles Sénioritas en détresse . Belle preuve d'amour chevaleresque. Non ?
      Bonne journée. Mac-Miche

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  3. Mais pourquoi la fessée est elle si souvent associée a la cuisine ? Encore un sujet ! ;)

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    1. Bonjour Ellie C.

      Très juste votre remarque.
      La cuisine, c'est le " bien-manger" et se nourrir représente l'une des nécessités de l'existence dont chacun/e de nous ne saurait se passer. Ce précieux carburant peut être simple comme de l'eau claire et un quignon de pain ou bien plus élaboré pour régaler notre estomac. C'est très basique mais évident . Et les plaisirs de la table font partie des plaisirs simples de l'existence. Ils demandent du temps, du travail et une bonne dose de chance...
      Pour la DD, on peut faire le même parallèle : l'art culinaire bouscule nos papilles et la DD chatouille... notre ego d'une manière cuisante !
      Tout l'art de la fessée : main de fer dans un gant de velours ou...
      main de velours dans un gant de fer !! Au choix de chacun et chacune d'entre nous ! Mac-Miche.

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    2. @ Ellie: La fessée est si souvent associée à la cuisine parce que c'est là qu'on trouve généralement les spatules.
      (et la brosse à cheveux, c'est pour les fessées de salle de bain, la ceinture pour les fessées de placard. Elle est pas belle ma logique?)

      Constance

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  4. Pour ma part, j'aime beaucoup l'association entre fessée et finir son assiette. Ayant eu pas mal de problèmes nutritionnelles, j'ai vite appris avec mon homme de faire moins la difficile. Traitement hautement efficace qui m'a provoqué une changement radical au grand étonnement de mon entourage proche.

    Ceci dit je prend bonne note, Ellie. Je vais voir si je peux trouver des pistes en littérature autour de cette association.

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