vendredi 24 mars 2017

993 Liens de discipline domestique (263 ème édition)

Au menu cette semaine : Séduisant voisin du pallier...


Il est canon le voisin. Non pas celui sur les photos, mais celui qui venait d'aménager un jour dans l'immeuble où j'habitais. Il ne s'est jamais rien passé entre nous, mais il m'a fait transpirer de nombreux soirs sous me couette quand ma fantaisie s'emportait. En fait quand j'étais célibataire, il y avait des hommes qui m'inspiraient une fessée et d'autres qui m'inspiraient une débridée partie de jambes en l'air. Certes, l'un n'exclue pas l'autre, mais trouver les deux à la fois n'est pas une évidence. Mon élégant voisin aux bonnes manières de la cinquantaine triomphante rentrait sans le moindre mal dans les deux catégories. Seulement, hélas son faible concernait les dames de son âge. Envers moi, il sortait plutôt un ton paternel et bienveillant, disponible avec mille et un conseils pour mes petits tracas de la vie quotidienne. Et combien de fois, il m'a dépannée concernant des pannes techniques.

Pensez à mettre la prise avant de vous énerver envers le fabricant, isabelle !

Il n'avait rien compris celui-là, ce n'est pas envers le fabricant que se portait mon courroux, mais envers un certain voisin inaccessible à mon charme. Alors j'ai choisie l'option rêverie. J'imagina par exemple recevoir une bonne fessée de ses main, moi allongée sur ses genoux. Déculottée cela va de soi. Pour en avoir abusé de sa serviabilité et de sa gentillesse. Mais très vite j'ai envisagé une constellation encore plus émoustillante.

J'imaginais que les dames frappant à sa porte allaient recevoir de claquantes fessées.

Et moi dans mon lit, je devenais témoin auditif de leur différents comportements pendant cette action qui met la peau fessière à rude épreuve.

Il y a en avait qui semblaient rester de marbre. Malgré une cadence soutenue pas la moindre réaction audible. Ni sous forme de soupirs de brûlure, ni sous forme d'une excitation montante. Heureusement il y avait aussi des dames expressives. Allant de petits cris d'agrément au belle crises hystériques. Et surtout, Monsieur mon voisin avait l'air doté d'une main inépuisable qui savait imposer à ses dames une superbe cadence.

Entre mes séances de vilaine main, qui contrairement à sa métaphysique en couple, ne me pose pas la moindre question, je me suis aussi penchée sur quelques réflexions de l'ordre pratique à tête reposée.

Que dire à son voisin qui nous a tapé dans l’œil pour recevoir une bonne fessée ?


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Dame de caractère (mini clip)









Punie (petite série)






Fessée disciplinaire (petit clip)






13 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Votre récit m'a fait penser à certains sketchs de ce grand regretté coquin de Benny Hill dans lequel il jouait souvent le médecin "spécialisé en problèmes féminins" qui proposait une thérapie particulières du genre "main baladeuse" à d'affriolantes patientes...
    Je vois bien votre voisin "d'un certain âge" jouer un peu le rôle d'un confesseur accordant le pardon à toutes ces charmantes "pécheresses de circonstances" sous la forme de cuisantes claques fessières. Dialogue du style :
    (Samedi matin. Immeuble modeste. Driiiiing. La porte s'ouvre.)
    - Vous êtes en retard de cinq minutes. C'est intolérable !!
    - Désolé, Mr Clakmich'. La voiture ne démarrait pas.
    Il faut réchauffer le moteur Diesel, vous savez..
    - Il y a autre chose qu'il faudrait réchauffer, chère madame.
    - Je... heum... je comprend.
    - Entrez, je vous en prie. Une tasse de thé ? Une tisane ?
    - Non, vraiment, merci.
    - Soit. Racontez moi la raison de votre visite ?
    - J'ai... j'ai... cabossé l'aile droite... de la voiture...
    de mon mari. Juste un peu de tôle froissée. Rien de grave.
    - Voilà qui mérite... réparation. Ne croyez-vous pas ?
    - Puisque vous le dites. J'accepte. Ai-je le choix ?
    - Voilà qui est raisonnable, Ma'me Mack. Mais mettez vos en tenue et en position.(...)
    Madame Mack est une de ses femmes que la quarantaine passée embellit de jour en jour. Le confort financier de son époux lui permet de donner libre cours à son élégance.
    Tailleur jupe droite signé, rivière de perles, Chemisier soyeux à col cravate, coiffure très fifties, sans oublier de vertigineux talons qui lui donnent une démarche chaloupée, elle n'en finit plus d'éblouir tout ceux qui l'approche. Ah les femmes.....
    Mac-Miche





    Votre question en conclusion de votre récit nous laisse interrogateur... Non ?
    Imaginons la même situation en DD inversée. Rires. Voilà qui mériterait réflexion...
    Mac-Miche.

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    1. Pour ma part aussi, j'ai l'impression que certaines rencontres spéciales fessée soient une forme de confession moderne ou du moins un moyen pour être mieux dans sa peau. Bien de dames obligées de chercher ailleurs ce que le mari n'est pas capable de leur fournir. Enfin, je n'y connais rien à ces têtes à tête passagères...

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    2. Bonjour Isabelle,

      En effet, on est parfois empêtré entre les exigences du "paraître-en-société" et ses désirs profonds et il parfois difficile de les accorder. Le dicton populaire ironise à ce sujet : "pour vivre heureux, vivons cachés". Encore faut-il le supporter. Rires.
      Mon petit dialogue est inspiré de notre petite histoire de Décembre 2015, suite à votre récit
      " Madame et son chauffeur". J'aime bien le théâtre de boulevard.
      Mac-Miche.

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  2. Rien de plus craquant qu'une femme dépassée par des problèmes techniques de plomberie, changement d'ampoule ou autres. Cela me rappelle un souvenir, début des années 90, je devait changer un bonbonne de gaz, je ne me rappelle plus exactement les détails, l'ancienne bonbonne devait être mis quelque part. Toujours est-il que j'ai trimbalé cette bonbonne et descendu et monté l'escalier. À la fin, Isabelle (et oui, elle s'appelait comme cela!) me dit en souriant : "punis moi". Une des premières déculottées que j'ai mise (bien méritée) ! Nostalgie...

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    1. Décidément les isabelles... rire. Je comprends parfaitement pour la difficulté de changer une bonbonne de gaz. Je m'y verrais mal d’accomplir un tel acte. Toutefois quelle jolie récompense pour le monsieur galant. Fallait y penser.

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    2. Bonjour Isabelle,

      IL y a des prénoms qui semblent dessiner une personnalité. Les " Julie" en font partie: une jeune femme libre, indépendante, volontaire, quelquefois un peu gaffeuse et souvent un peu râleuse. Rires.
      Dans le petit monde de nos animaux de compagnie, une "Isabelle" désigne un chat à la robe tricolore: un fond blanc immaculé et parsemé ça et là de tâches couleur sable et noisette. Sympa, non ?
      Mc-Miche.

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    3. Sans oublier les Sophie! depuis que fut raconté ses malheurs, le prénom influence celles qui le portent. J'en ai connu une qui m'a parlé très directement d'une fessée déculottée reçue à l'école dans une conversation. Un appel à la fessée? Je ne sais pas, la discussion a continué comme si de rien n'était. Bon, de toute façon ni regret ni remord;

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    4. Bonsoir Mr Bertrand,

      Mais c'est bien sûr... Sophie la sage, la bien-nommée ?
      Quelle (heureuse ?)coïncidence, ne trouvez-vous pas ? Enfin, je dis ça, je ne dis rien...
      Décidément, l'école semble le creuset de certains de nos "pré-fantasmes". Ah, les institutrices "de la vieille école" , "à l'ancienne"... quelle autorité. Non ? Enfin, pour les garçons de notre génération, je pense. Mais c'était avant.
      Personnellement, en cycle du Primaire, il y a une quarantaine d'années, je n'ai eu toujours que des institutrices.
      Mac-Miche.

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  3. Pour Monsieur Mac-Michel: N'oublions pas qu'isabelle est après tout un pseudo, même si après tant d'années elle est devenue mon deuxième moi...rire!

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    1. Bonjour Isabelle,

      Vous avez raison : c'est comme un peu le "nom d'artiste" pour le monde du 7è. Art. Rires. Vous êtes un peu malgré vous une écrivain, puisque vous faites partagez votre quotidien d'une manière ludique et anecdotique.
      Un magazine pop' proposait il y a une dizaine d'années une méthode basée sur le numéro d'ordre alphabétique de chaque lettre composant un prénom et qui consistait à les additionner pour obtenir un nombre qui décomposé lui aussi se résumait à un seul chiffre. Un peu comme la numérologie. Faudrait l'essayer, tenez. Rires.
      Mac-Miche

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    2. Ne faisons pas dans la complication cher Monsieur Mac-Miche. Je suis une... blogueuse. Je traite un sujet délicat et je n'ai pas la moindre envie de m'y impliquer autre que par mon écriture et mes recherches. Vu mon faible pour la science, je ne saurais trancher sur la numérologie. Je dirait qu'elle correspond a un besoin et cela justifie largement son existence. Ceci dit ne n'y connais rien à ces trucs là... rire!

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    3. Bonsoir Isabelle,

      Restez naturelle et neutre. Ne changez rien. Rires.
      Comme vous le savez, les choses n'ont finalement que l'importance que l'on veut bien leur donner.
      De mon côté, j'ai une confiance modérée dans les méthodes de ce style mais bon, si certaines personnes ont besoin de celles-ci pour se rassurer, pourquoi pas...
      Mac-Miche

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  4. Pour Monsieur Bertrand: Effectivement le prénom Sophie semblerait particulièrement se prêter à entamer une discussion autour de la fessée... quand fantasme y est. Par contre j'imagine l'agacement d'une Sophie qui est loin de notre passion.

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