Une
démystification de « la force de frappe » !
Un petit clip pour illustrer mes propos et qui me plaît autant pour
sa touche d'esthétisme que pour une intensité soutenue sans abus.
Nous sommes loin du cliché d'un monsieur qui se défoule sur le
popotin de sa dame à la façon d'un règlement de compte style « Ok
Corral ». Ceci dit contrairement au cliché de la femme
fragile, une grande fille n'est pas en sucre. Son popotin rembourré
peut résister au salves de claques du monsieur avec une aisance qui
frôle l'insolence. Il suffit de voir le triomphe dans mes yeux quand
Monsieur se plaint du mal à la main...
Je connais bon nombre de personnes dans
la génération de mon homme qui ont reçu la fessée. Mon homme y
compris. Contrairement aux histoires romancées sur la fessée
enfantine, revues et corrigées par la puberté et son cocktail
survitaminé d'hormones, il n'a vu rien d'érotique dans ces
punitions pour en faire l'éloge de cette époque de sa vie. Si
concernant le côté douleur il garde plutôt un souvenir du style
même pas peur, même pas mal,
son rancune se porte avant tout sur le cérémoniel du déculottage
qu'il a vécu comme une grande humiliation. Idem pour d'autres
personnes qui m'ont faites des confidences. Et si plus tard il y
avait...
...érotisation
de la fessée, elle se porte justement sur l'élément d'une pudeur
mise à rude épreuve et nettement moins, voire pas du tout sur un
plaisir dans la douleur.
Pour ma part je n'ai pas connu la
fessée comme pratique punitive. Par contre je me souviens très bien
des menaces d'une bonne fessée déculottée, notamment de la part de
ma mère. « Auf de blanken » (sur un derrière qui n'est
pas couvert) comme on dit en Allemagne moitié pudiquement, moitié
moqueur. Avec la variante :
Man
sollte dir mal géhôrig de nacktes Arsch versohlen !
(Tu mériterais une bonne fessée cul
nu). Promesses vides me concernant et tant mieux ceci dit. Mais un
défoulement verbal aussi peut avoir des suites. Les expressions
employées se sont vite emparées de mon imaginaire. De plus le
terrain était fertile. Depuis toute petite j'ai gardé un brin
d'exhibitionniste qui me procure une grande volupté quand j'ai
l'occasion de montrer mon derrière tout nu.
Enfin
pas à n'importe qui !
Mon plaisir se décuple encore quand
mon homme m'impose fermement - par une belle formulation adaptée à
la situation et non pas la force - de me déculotter pour recevoir ma
fessée. Sur la même longueur d'onde que moi, la sensation de la
fessée se trouve reléguée au deuxième rang et notre petit ménage
tourne dans sa majeure partie autour de ma nudité fessière ou
intégrale avec toutes les variantes possibles. En profitant au
maximum de la riche variété de tenues disponibles pour dames pour
mettre en valeur la zone concernée du corps.
Ceci
dit sans un certain dégrée de douleur une fessée ne sera jamais
une vraie fessée et se terminerait sur une impression de promesse
non tenue.
Heureusement mon homme sait me claquer
le popotin vigoureusement que ce soit à la main ou avec un
instrument sans qu'il ne s'installe tout subjectivement un sentiment
de souffrance. Avec lui...
...je
me sens punie de manière réaliste.
Ce qui est fort satisfaisant et le but
de la manœuvre. En notant que la petite voix en moi n'exige pas
d'épreuves particulièrement intenses et de son côté pour apaiser
son besoin de punir mon homme éprouve grand plaisir à la
« composante psychologique de m'éduquer » et en mettant
l'accent sur le visuel après ma correction.
La discipline
domestique passe avant la pudeur !
Voila pourquoi il est fervent adepte du
coin et aussi du ménage punitif qui laisse mes fesses bien en vu.
Comblant ainsi mes tendances exhibitionnistes et névrotiques. Je reviendrai sur ce dernier sujet une autre
fois...
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