… qui
fesse fort !
Prestation impressionnante et surtout quelle rapidité. Enfin, à priori je
n'aime pas les hommes pressés. Notamment la variante « homme
très occupé » que j'aie pu rencontrer à différentes
occasions. Dans le privé je pencherais pour une mauvaise
organisation, dans le cadre du travail à une mauvaise capacité de
déléguer. Ceci dit quand il travaille mon homme n'aime pas être
dérangé.
Tu me
montreras ton nouveau rouge à lèvres plus tard, isabelle !
Oh quel mufle ! J'avais tellement
envie de partager avec lui ma joie de vivre sur le champ. J'attends
quelques secondes, indécise. Il décroche de son texte, réajuste
ses lunette, puis me regarde. Un sourire se dessine sans trop le
montrer, devant une isabelle de plus en plus triomphante.
Très joli,
mais j'ai pas le temps maintenant.
Je me mets à côté de lui, mon
derrière à porté de ses mains. L'occasion aussi de lui faire
sentir mon parfum du jour. Non, je ne suis pas une em...erdeuse,
ostensiblement narcissique et futile qui ne pense qu'à elle. Déjà
nous sommes lundi matin et je sais qu'il est encore dans les
préparations, dans la docu, dans la réflexion. Il ne s'est pas
encore plongé dans cette concentration fructueuse que je ne
dérangerais pour rien au monde. Par contre je suis au courant de ses
fantasmes et je me souviens très bien quand il m'a parlé de sa
préparation pour le bac. De ses envies subites, de sa vilaine main
sous son bureau et de la tentation de ses revues de charme pour une
petite détente avant de se jeter dans les obligation.
Cela
se tient, chez certaines personnes la soif de savoir est convertible
en excitation sexuelle.
Ajoutons à ceci chez les scientifiques
un amour pour la vérité qui est une manifestation de masochisme pur
dans une société moderne. Bref je soupçonne fortement mon chéri
certains jours, comme ce lundi-là d'emprunter du moins dans sa tête
les chemins de son adolescence. Alors pourquoi ne pas anticiper et de
m'en charger de sa détente. De prendre cette initiative qui me
procure un grisant sentiment de toute puissance. Mais aussi une monté d'adrénaline
due au fait que jouer avec le feu comporte certains risques.
Et si on
donnait à tes fesses la même couleur que ton rouge à lèvre ?
Je sens dans mon dos une main qui est
en train de me baisser la fermeture éclair de ma jupe. Sans manquer
après s'avoir débarrassé de ce qui gêne une bonne
« accessibilité ». Sans perdre de temps je me trouve sur
ses genoux pour une séance de discipline libidineuse. Monsieur
claque fort et heureusement il n'y a personne pour nous entendre.
Mais l'idée d'un bienveillant témoin acoustique ne me déplaît pas
et stimule mon excitation.
Tiens,
isabelle reçoit sa déculottée hebdomadaire ! Tu va voir après
elle nous fera du ménage toute la journée, commencé par
l’aspirateur.
Monsieur ne s'éternise pas sur mon
fessier. Une fois la bonne teinte devant ses yeux il s'arrête.
Enfin, sans oublier une très sonore finale.
Voila qui fait
du bien !
Puis pensif il passe un doigt dans mon
entrejambe. Hamlet a un point crucial de sa vie.
Quelle
voie choisir... après cette copieuse fessée rougissante ?
Une levrette dans la règle de l'art
pendant laquelle je me laisserai aller sans la moindre retenue. Ou
une visite par la porte discrète pendant laquelle je me monterai
plutôt guindée en essayant de retenir mes soupirs profonds et
langoureux comme il convient à une élégante dame. J'aime dans ce genre de rapport que ma
respiration se cale sur les va et viens. Que monsieur m'impose un
rythme lent et déterminé. Bref nous sommes loin d'un homme pressé
et je sais qu'aujourd'hui il travaillera encore le soir quand notre
petite se sera couchée. Notons que le coup de fouet matinal me
donnera un péché d'enfer ? Mes fesses trop brûlantes pour me
vautrer sur mon canapé je me trouverai mille et une occupations à
la maison. Commencez par passer l'aspirateur.
Chère Isabelle,
RépondreSupprimerMa conjointe est (malgré l'habitude) encore troublée par "le doigt inquisiteur". Comme elle dit, chez un homme ça se voit, y compris à travers les vêtements, alors que chez une femme c'est discret... mais le doigt sent et la turgescence et l'humidité.
Souvent ma conjointe nie l'évidence. L'étape suivante peut être d'enfoncer le doigt dans l'orifice lubrifié et de faire remarquer l'aisance de cette pénétration. Tant qu'on y est, on peut opérer quelques pressions internes...
Il lui arrive de nier encore. Une petite plaisanterie de ma part est alors d'utiliser la lubrification ainsi collectée pour introduire le bout du doigt dans l'autre orifice.
Pour les suites à donner, outre celles que vous citez ou encore le classique missionnaire, je pratique parfois la stimulation digitale. La position sur les genoux peut convenir.. pouce dans le conduit, doigts sur le bouton. Madame se tortille dans la progression vers le plaisir, c'est un admirable spectacle.
Cher Monsieur Pecan, je pense qu'il existe des hontes qui empêchent une sexualité épanouissante et d'autres qui la stimulent. La discipline domestique est une pratique à non-dit dans laquelle on nie le bénéfice voluptueux de la punition comme on peut nier par la suite ses effets secondaires. Je suis en ce moment à préparer un post sur la place de la honte dans la discipline qui semble à mes yeux faire la différence entre les pratiques douces, bon enfant et les pratiques plutôt intenses.
RépondreSupprimerIl m'est aussi arrivé de la taquiner sur les taches laissées par son intimité excitée sur le linge...
RépondreSupprimerIl faut dire qu'il y a longtemps s'est passée la scène suivante:
Les draps portaient la trace de nos ébats, je lui en ai fait la remarque, elle m'a dit "hé après tout c'est sorti de ton zizi ce n'est pas ma faute" et je lui ai alors rappelé que j'avais utilisé un préservatif et que donc c'était elle la responsable!
Ben oui, la nature fait bien les choses pour que la s’emboîte au mieux ...rire! Ceci dit mon homme voue une véritable fascination à la moiteur féminine.
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