mercredi 22 mars 2017

992 Fessée très coquine (Mercredi cinéma)

Celle qui fait oublier que la fessée à sa base est une punition !

Non, je ne suis gênée pour surprendre mon chéri en écolière adulte, tenue à l’appui pour un petit jeu autour de la fessée. Justement parce qu'avec lui, il n'y a pas d'association dévalorisante comme « attardée » par exemple. C'est un détail qui compte, car dame dévalorisée même sous couvert d'humour, rime pour moi avec une bien moindre envie de recommencer. Ce que j'attends moi, c'est l'enthousiasme de mon homme. Qu'il en bave. Qu'il ait un effet « tout à moi », cette jubilation caractérisant l'ado qui part pour la première fois de sa vie à la découverte intime d'une fille de son âge. Évidement les mauvaises langues trouveraient tout le mal du monde dans ces scénarios d'écolière. Ce que j'en retiens ce sont leurs association spontanées qui me me paraissent pas anodines. Bref pour moi ce jeu est un véritable bain de jouvence, un retours vers une autre époque, vers une adolescence qui n'a jamais existé. Déjà je trouve mon compte dans les préparatifs. Mon cœur bat très fort pendant que je compose ma tenue censée de séduire mon grand amour. Et vu que nous sommes dans un jeu, toutes les coquineries sont permises. Comme la jupette vraiment trop courte qui montre la naissance de mes fesses à chaque pas. Comme un chemisier blanc, à la base très sage, mais qui par sa taille et la taille de ma poitrine ne permet plus de fermer les boutons, donnant ainsi un vertigineux aperçu sur mon décolleté. Bon c'est raté pour les nattes avec moi, mais il suffit de glisser à l'oreille de mon chéri :

Tu sais, mon papa est très sévère et insiste pour que je porte mes cheveux très courts.

Phrase qui ne laisse pas de marbre mon homme.

Ah bon ? Et il te donne aussi la fessée ?

Comme beaucoup de dames je sais rougir sur commande en guise d'une réponse. Voila qui attise encore plus la curiosité. Tandis que sa main remonte ma cuisse pour se glisser sous ma jupe. Pour y rencontrer une authentique culotte blanche en coton. Même au travers du tissus, il est facile de mener d'intéressantes études anatomiques. J'aime quand le suspense dure en appréciant le plaisir de me faire tripoter par une homme qui n'est pas pressé. Sorte de jeu de docteur pour vérifier sur place si une fille émoustillée mouille bien sa culotte. Puis un premier doigt se glisse sous l'élastique découvrant ainsi la douceur d ma peau.

Mais tu n'as pas le moindre poil !

Je me suis épilée rien que pour toi. Tu aimes ?

Aucun doute, il aime. Sans avoir oublié la fessée...

Tu reçois la fessée cul nu ? A la main ?

Ah ces garçons. Quelle indiscrétion et accessoirement quel vocabulaire.

Mais non, je suis trop grande pour la main. Nous avons un martinet.

Je me libère de la main baladeuse pour lui montrer comment on reçoit le martinet. Je lui tourne mon derrière pour baisser ma culotte devant ses yeux émerveillées, puis je me penche - mes jambes légèrement écartées - sur le dossier d'un fauteuil.

Mais on y voit tout !

Cela fait partie de la punition. Je n'avais que mieux me comporter.

La main baladeuse s'empare de mon entrejambe, tandis plus vers l'arrière je sens les égarements d'une langue. Son indécence qui fait rougir une dame sans lui claquer ses fesses en faisant des caresses baveuses et très intimes qui m'évoquent un honteux :

Pas par-là... ...Oh ! Oh oui ! OH ouiii...

Puis au lieu de me faire punir, vilaine écolière que je suis, je me sens doucement pénétrée en levrette de la manière la plus classique au monde. Et c'est seulement maintenant que commence ma fessée. De fortes claques espacées qui me donnent la cadence et à laquelle je me cale sans le moindre mal. Je me sens brûlante de partout, sensation de plus agréable. Il n'y a aucune notion de douleur, mais sais d'avance que la couleur de mes fesses me surprendra plus tard par son intensité. Mais ce n'est rien en comparaison à ce qui se prépare dans mon bassin. Mon homme aime que je sois bruyante et je ne me prive pas...

4 commentaires:

  1. Un grand Bonjour, Isabelle

    Après un intermède douloureux, je reviens dans la course.
    Votre récit m'a bien fait sourire.
    Une ambiance à la fois studieuse et terriblement coquine.
    Décidément, votre compagnon excelle dans son rôle sur mesure d'éducateur, avec une pointe de paternalisme dans la voix .
    Le charme ô combien usé mais terriblement efficace du duo coquin du professeur et de son incorrigible élève qui le manipule en jouant de son charme naturel pour adoucir la rigueur de la punition qui l'attend. Rires.
    J'ai immédiatement pensé au film "l'Ange Bleu" avec la mystérieuse Marlène Dietrich charmant le vieux professeur Unrath, qui se retrouve malgré lui empêtré dans ses propres contradictions et ses préjugés. Une belle scène d'anthologie.
    A l'inverse, la situation d'une discipline domestique ne serait pas mal non plus : Maitresse Isabelle en ProviseurE implacable et son élève maladroit ou paresseux, convoqué sur l'heure dans son bureau pour une "remise à niveau des connaissances" !!!! Rires.
    Excellent, tout ça. Excellent. Rires.
    Mac-Miche.

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    1. Il n'est pas si vieux que cela Emil Jannings dans l'ange bleu, cher Monsieur Mac-Miche. Il n'a que 46 ans. Et loin de moi de vouloir causer la perte d'un homme ...rire. Je suis une fervente adepte de la cause commune et du soutien sans faille en couple!

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  2. Bonjour Isabelle,

    J'approuve tout à fait...
    Votre compagnon est un homme heureux. Quel veinard ! Rires.
    Il est vrai que la magie du cinéma est de modifier l'apparence des choses comme des gens.
    La grand Marlène a été la partenaire de Jean Gabin dans le film intitulé "Martin Roumagnac". Elle s'est retirée de la scène car elle était atteinte de cécité. Elle nous tira sa révérence en 1990.
    Mac-Miche.

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  3. Plutôt une question d'époque je pense dans ce cas précis. J'ai pu consulter quelques livres sur l'homme et la femme de 40 ans dans les années 30 qui faisaient nettement moins jeunes que de nos jours...

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