Celle
qui fait oublier que la fessée à sa base est une punition !
Non, je ne suis gênée pour surprendre
mon chéri en écolière adulte, tenue à l’appui pour un petit jeu autour de la fessée. Justement parce qu'avec lui,
il n'y a pas d'association dévalorisante comme « attardée »
par exemple. C'est un détail qui compte, car dame dévalorisée même
sous couvert d'humour, rime pour moi avec une bien moindre envie de
recommencer. Ce que j'attends moi, c'est l'enthousiasme de mon homme. Qu'il en bave. Qu'il ait un effet
« tout à moi », cette jubilation caractérisant l'ado
qui part pour la première fois de sa vie à la découverte intime
d'une fille de son âge. Évidement les mauvaises langues
trouveraient tout le mal du monde dans ces scénarios d'écolière.
Ce que j'en retiens ce sont leurs association spontanées qui me me
paraissent pas anodines. Bref pour moi ce jeu est un véritable bain
de jouvence, un retours vers une autre époque, vers une adolescence
qui n'a jamais existé. Déjà je trouve mon compte dans les
préparatifs. Mon cœur bat très fort pendant que je compose ma
tenue censée de séduire mon grand amour. Et vu que nous sommes dans
un jeu, toutes les coquineries sont permises. Comme la jupette
vraiment trop courte qui montre la naissance de mes fesses à chaque
pas. Comme un chemisier blanc, à la base très sage, mais qui par sa
taille et la taille de ma poitrine ne permet plus de fermer les
boutons, donnant ainsi un vertigineux aperçu sur mon décolleté.
Bon c'est raté pour les nattes avec moi, mais il suffit de glisser à
l'oreille de mon chéri :
Tu
sais, mon papa est très sévère et insiste pour que je porte mes
cheveux très courts.
Phrase qui ne laisse pas de marbre mon
homme.
Ah bon ?
Et il te donne aussi la fessée ?
Comme beaucoup de dames je sais rougir
sur commande en guise d'une réponse. Voila qui attise encore plus la
curiosité. Tandis que sa main remonte ma cuisse pour se glisser sous
ma jupe. Pour y rencontrer une authentique culotte blanche en coton.
Même au travers du tissus, il est facile de mener d'intéressantes
études anatomiques. J'aime quand le suspense dure en appréciant le
plaisir de me faire tripoter par une homme qui n'est pas pressé.
Sorte de jeu de docteur pour vérifier sur place si une fille
émoustillée mouille bien sa culotte. Puis un premier doigt se
glisse sous l'élastique découvrant ainsi la douceur d ma peau.
Mais tu n'as
pas le moindre poil !
Je
me suis épilée rien que pour toi. Tu aimes ?
Aucun doute, il aime. Sans avoir oublié
la fessée...
Tu reçois la
fessée cul nu ? A la main ?
Ah ces garçons. Quelle indiscrétion
et accessoirement quel vocabulaire.
Mais
non, je suis trop grande pour la main. Nous avons un martinet.
Je me libère de la main baladeuse pour
lui montrer comment on reçoit le martinet. Je lui tourne mon
derrière pour baisser ma culotte devant ses yeux émerveillées,
puis je me penche - mes jambes légèrement écartées - sur le
dossier d'un fauteuil.
Mais on y voit
tout !
Cela
fait partie de la punition. Je n'avais que mieux me comporter.
La main baladeuse s'empare de mon
entrejambe, tandis plus vers l'arrière je sens les égarements d'une
langue. Son indécence qui fait rougir une dame sans lui claquer ses
fesses en faisant des caresses baveuses et très intimes qui
m'évoquent un honteux :
Pas
par-là... ...Oh ! Oh oui ! OH ouiii...
Puis au lieu de me faire punir, vilaine
écolière que je suis, je me sens doucement pénétrée en levrette
de la manière la plus classique au monde. Et c'est seulement
maintenant que commence ma fessée. De fortes claques espacées qui
me donnent la cadence et à laquelle je me cale sans le moindre mal.
Je me sens brûlante de partout, sensation de plus agréable. Il n'y
a aucune notion de douleur, mais sais d'avance que la couleur de mes
fesses me surprendra plus tard par son intensité. Mais ce n'est rien
en comparaison à ce qui se prépare dans mon bassin. Mon homme aime
que je sois bruyante et je ne me prive pas...
Un grand Bonjour, Isabelle
RépondreSupprimerAprès un intermède douloureux, je reviens dans la course.
Votre récit m'a bien fait sourire.
Une ambiance à la fois studieuse et terriblement coquine.
Décidément, votre compagnon excelle dans son rôle sur mesure d'éducateur, avec une pointe de paternalisme dans la voix .
Le charme ô combien usé mais terriblement efficace du duo coquin du professeur et de son incorrigible élève qui le manipule en jouant de son charme naturel pour adoucir la rigueur de la punition qui l'attend. Rires.
J'ai immédiatement pensé au film "l'Ange Bleu" avec la mystérieuse Marlène Dietrich charmant le vieux professeur Unrath, qui se retrouve malgré lui empêtré dans ses propres contradictions et ses préjugés. Une belle scène d'anthologie.
A l'inverse, la situation d'une discipline domestique ne serait pas mal non plus : Maitresse Isabelle en ProviseurE implacable et son élève maladroit ou paresseux, convoqué sur l'heure dans son bureau pour une "remise à niveau des connaissances" !!!! Rires.
Excellent, tout ça. Excellent. Rires.
Mac-Miche.
Il n'est pas si vieux que cela Emil Jannings dans l'ange bleu, cher Monsieur Mac-Miche. Il n'a que 46 ans. Et loin de moi de vouloir causer la perte d'un homme ...rire. Je suis une fervente adepte de la cause commune et du soutien sans faille en couple!
SupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerJ'approuve tout à fait...
Votre compagnon est un homme heureux. Quel veinard ! Rires.
Il est vrai que la magie du cinéma est de modifier l'apparence des choses comme des gens.
La grand Marlène a été la partenaire de Jean Gabin dans le film intitulé "Martin Roumagnac". Elle s'est retirée de la scène car elle était atteinte de cécité. Elle nous tira sa révérence en 1990.
Mac-Miche.
Plutôt une question d'époque je pense dans ce cas précis. J'ai pu consulter quelques livres sur l'homme et la femme de 40 ans dans les années 30 qui faisaient nettement moins jeunes que de nos jours...
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