vendredi 21 août 2015

754 Liens de discipline domestique (179 ème édition)

Au menu cette semaine : Les soucis de ces petites dames


Un homme qui connaît les rêveries des dames

J'ai eu un coup de foudre pour le travail de JPC il y a presque dix ans déjà. Pour moi il n'y a aucun doute, il sait récréer un univers qui convient à bon nombre de filles. Et le hasard n'y est pour rien. Il suffit de lire un des ses (malheureusement trop rares) textes pour comprendre qu'il sait aussi mettre les émotions féminines en mots. Il fait bon vivre dans son petit monde dédié à la fessée surtout parce qu'il arrive à se passer de tous les clichés BDSM. Et cela, c'est un vrai exploit ! Pour ma part je dirais tout simplement qu'il il est plus élégant et efficace (pour le lâcher prise, les larmes, l'abandon etc) de ne pas négliger une fessée pour le narcissisme (qui le mérite bien!) de la dame avant de se lancer littéralement dans une épreuve de force. Il est largement connu que bien de dames ont la peau des fesses dure, mais s'il y a un refus de jouissance plus ou moins inconscient, il s'agit peut-être avant tout d'un phénomène d'entêtement donc purement cérébral...


Au début dans ma vie de couple je forçais un peu la main de mon homme si j'ose dire. Alors j'inventais tout genre de situation comme celle que montre la petite animation. Le tout avec un succès foudroyant. Soit je recevais une belle claque sur les fesses :

Tu me déconcentres isabelle...

Soit mon homme devenait câlin et mes surprenait (comme prévu quoi!) par sa main baladeuse. Puis au fil des années ce genre d'exhibition glamoureuse est devenue ma seconde nature. Je prend les poses les plus suggestives et lascives de manière parfaitement naturelle quand je suis en train de téléphoner sur mon canapé. Par contre ce qui n'a pas changé, c'est l'enthousiasme de mon chéri de me voir ainsi :

Je crois que tu te rends même plus compte, isabelle...

Ben oui, comme il me connaît bien !


Un air de plage, de chaleur et de vacances certes, mais inutile selon moi de se cacher dans le dunes en espérant de devenir témoin d'une telle scène entre filles. A moins de tomber sur un tournage de clip comme ici. J'adore les fessées bonne humeur entre filles, mais il me semble plus difficile encore de trouver une copine sur la même longueur d'onde que d'un monsieur passionné par notre sujet...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

























10 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Oui, vous avez raison : le site de notre ami JPC que je commente de temps à autre retrace bien l'ambiance "entre filles". D'ailleurs, je lui avais fait remarqué que ces personnages se rapprochaient des nombreuses illustrations appelées "Poulbots", dans un style "Titi parisien" (dont j'ai encore un vieil exemplaire que m'a ramené ma sœur ainée d'un voyage à Paris ). Ca ferait une déco très kitsch.
    Quant on y pense, ce sont essentiellement les hommes qui rendent hommage aux femmes dans le domaine des Arts. Leurs consoeurs artistes semblent bien moins nombreuses. Personnellement, ce qui me plait , c'est le transcription artistique qui m'intéresse dans ce sens: à évènements, ou sujets égaux, quelle sera la part de celui qui sera traitée selon la sensibilité de chaque artiste.
    Intéressant comme hypothèse, non ?
    Mac-Miche.

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    1. Dans la peinture peut-être cher Monsieur Mac-Miche. Si on regarde la littérature par contre, il ne manque pas de dames qui excellent dans l'art de parler sur la vie des femmes et le font quasiment toujours, à mon avis du moins, bien mieux qu'un homme puisse le faire. Peut-être les dames sont-elles moins visuelles que les messieurs et plus penchées sur la psychologie. Prenez le monde des blogs par exemple. Personnellement j'ai l'impression que les dames illustrent bien moins leurs posts que les messieurs...

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    2. Bonjour Isabelle,

      C'est très juste. En peinture, je citerais entre autrel'artiste irlandaise Mary Cassat , peintre et pastelliste , dont l'œuvre tourne autour de la mère, et l'enfant, ainsi que, plus près de nous, Nicole Lambert , illustratrice, connue pour sa BD "les Triplés".
      Mais ces dames sont plus bavardes que nous les hommes, c'est bien connu. Rires. En littérature, comme dans l'enseignement, elles sont aussi nombreuses que leurs homologues masculins.
      Concernant notre fantasme favori, les hommes ont besoin de "stimulant visuel" pour se mettre en train (et la lingerie y joue son rôle aussi ! ) tandis que leurs partenaires jouent plus sur le côté intérieur, plus "cérébral", imaginatif, Elles semblent intérioriser leurs désirs, si je puis dire. Elles sont plus fines psychologues que nous autres, hommes, qui jouons plus sur l'action immédiate. Et parfois accessoirement tentés par nos "vilaines manies". Rires.
      Enfin quelque chose dans cet esprit-là.
      Mac-Miche

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    3. Disons cher Monsieur Mac-Miche que bien de dames ont un « scanner intégré » qui fait le bilan du monsieur dans un clin d’œil. Je doute d'un désir intériorise et je pense au contraire que bon nombre de dames a une idée très concrète sur les qualités humaine qu'elles cherchent dans un futur compagnon. Détachez vous un peu du lien femme/mère. Les enfants sont effectivement une partie importante de la vie féminine, mais ne résument en rien ce que cherchent les dames dans un compagnon !

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    4. Bonjour Isabelle,


      Votre commentaire est un judicieux conseil. Vous avez raison. Et ce n'est peut-être pas non plus un hasard si la voyance / art divinatoire est majoritairement exerçée par les femmes. Une prédisposition à cet "art".
      La recherche d'un prince charmant au long cours, en tant que compagnon de vie, est une quête de tous les instants qui ne supporte pas l'échec .
      C'est juste : j'ai personnellement une vision plutôt "maternelle" des femmes, plus génitrice que compagne. Certainement l'influence de ma maman avec qui j'avais un rapport privilégié , un peu, dirais-je fusionnel", subordonné à un climat de surprotection. Très mauvaise santé oblige. Et ce "rapport" transparait dans la plupart de mes dessins, comme vous avez pu le constater.
      Et la maternité n'est pas forcément la finalité dans la vie amoureuse d'une femme, me direz-vous. Même si la plupart de ces dames choisissent de bâtir leur vie de couple autour d'elle. Une femme doit jouer deux rôles au fond: amante avec le père et mère avec ses enfants. Même si tout le monde s'accroche à ses jupes ! Rires.
      Le magazine "Psycho" au début des années 2000 a publié une série d'article sur les rapports entre l'homme et les femmes qui influencent sa vie. Intéressant. Même si le rapport avec notre fantasme favori n'est pas direct.
      Mac-Miche

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    5. Ah Monsieur Mac-Miche, je ne sais pas trop quoi vous dire. Enfin chacun son opinion sur la vie des dames. Je ne vais pas me lancer dans mes heures de loisir dans le féminisme... Rire !

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    6. Bonsoir Isabelle,

      Ne vous inquiétez pas ! Je ne voudrais pas vous embarrasser. Vous savez, à l'opposé, certains hommes souhaitent fonder eux aussi une famille et leur besoin de paternité les préoccupent jusqu'à son aboutissement. Ils batissent leur existence autour de ce désir vital pour eux. Il y a d'un côté ce besoin viscéral, ancré en eux tandis que d'autres se satisfont largement d'une vie de papillonnage, sans s'attacher à une partenaire en particulier.
      Donc même si ce besoin existe en chacun et chacune d'entre nous, il peut rester assoupi ou bien fortement manifeste. Evidement, peuvent venir s'y greffer diverses raisons morales ou idéologiques ou autres. Au choix.
      Mac-Miche.

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  2. Bonjour Isa!

    Retour d'ascenseur: J'ai agrémenté la photo (truquée) d'une petite histoire ... tu l'as bien cherché! ;-)
    C'est une tradition, je passe chez toi tous les samedis.
    C'est vrai que nous avons des visions très communes ... depuis (presque) toujours! ;-)

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  3. Coucou Jean-Phi !

    Je me suis empressée pour aller sur ton blog pour lire ton texte. Nous sommes effectivement (comme quasiment toujours ! Rire !) en phase. J'adore la situation que tu décris. Je crois que j'aime autant l'idée de la fessée devant public que de devoir parader devant tout le monde en exhibant mes fesses rouges. Bref, la liaison entre fessée et honte me travaille beaucoup.

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  4. Je ne me sens pas embarrassée, cher Monsieur Mac-Miche. Mais nous sommes là dans une question plutôt philosophique sur le sens de la vie, sujet dans lequel je manque de connaissances et qui ne correspond pas à ma façon plutôt disons peu soucieuse d'approcher la vie...

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