mercredi 28 juin 2017

1014 Mener son homme par le bout...

...de la cravate !

Des cravates, il en porte régulièrement mon chéri. Pour nos sorties en amoureux. Pour une visite chez la belle-mère qui trouve que j'aie une excellent influence sur son fils. Ou tout simplement à la maison pendant ses heures de travail. Pour me faire plaisir.

Emmerdeuse la petite isabelle ?

Oh que non. Quand je m’agrafe le matin mes bas pour un glamour d'un autre âge, je le fais avant tout pour faire plaisir à mon chéri. Seulement je demande aussi un retour de glamour. La discipline domestique va dans les deux sens pour moi pour satisfaire les exigences de l'un et de l'autre. Pour éviter toute confusion avec une structure purement patriarcale dans laquelle la dame n'a pas son mot à dire. D'ailleurs je doute que la discipline domestique puisse marcher sans une excellente entente sexuelle.

Monsieur aime se prendre des libertés pour une attitude décontractée dès que je lui tourne le dos. Il arrive souvent que je le trouve au moment de sa pause avec les manches retournées de sa chemise et le nœud desserré de la cravate. Non, loin de moi de le critiquer. Même si l'envie ne me manque pas. En fait, un jour je lui avait bêtement demandé à quoi lui servaient ses manches retournées.

Tu va voir tout de suite, isabelle !

Il m'a chopée pour me déculotter sur le champs, suivi d'un longue et solide fessée à la main. Je me suis sentie un peu comme le petit chaperon rouge et j'ai décidé d'être plus prudente dans mes questions par la suite.
Par contre j'ai trouvé sa façon d'agir d'une virilité torride qui fut soulignée par une présentation de plus adapté à la situation. Il a vite compris que mes petits cris exprimaient une monté d’excitation et il a profité pour me montrer qui porte les pantalons à la maison. Il aime beaucoup me prendre en levrette quand j'ai les fesses rouges et il aime profiter pendant nos ébats pour les rougir encore plus. Mon seuil de douleur quasi inexistant à ce moment, cette « fessée érotique appuyé» me met dans un état second qui culmine dans un fulgurant orgasme. J'avais à l'époque les cheveux longs et je suis sortie de son bureau en affichant clairement ce qui m'étais arrivée. Satisfaite certes...

...mais sensible des fesses comme aime dire mon homme.

5 commentaires:

  1. Bonsoir Isabelle,

    Dans la thématique des rêves, la cravate a une signification évidente : par sa forme elle symbolise l'organe sexuel masculin . C'est tout dire...
    La cravate comme accessoire vestimentaire date de l'époque de Louis XIV . En effet, les officiers d'un régiment allié nommé le "Royal Croate", arboraient une bande de tissu coloré qui était accroché et pendait de leur col d'uniforme .
    Le Roi-Soleil toujours à la recherche du bon goût et de l'apparence remarqua ce détail et introduisit à la Cour de Versailles cette "mode". Et de "Croate" le mot devint par l'usage dans le langage courant le mot "Cravate". Voilà pour la petite histoire...
    Votre récit me fait penser à une scène de ces vieux polars des années 1950/1960 dans le bureau d'un détective, perdu dans la fumée d'un cigarillo en bras de chemise, le feutre sur le côté et la cravate dénouée. Et sa charmante et (toujours !) dévouée secrétaire affairée sur sa machine entre deux cafés bien serrés... Toute une ambiance. Rires.
    Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
  2. Heureusement mon homme ne fume pas et en plus il su me faire passer mes envies de cigarettes. Donc pas de cigarettes dans notre maison depuis des années.

    Je pense que la cravate symbolise surtout l'organe sexuel qui pendouille d'où l'attrait pour une dame de jouer avec pour voir ce qui va se passer ! Il n'y a pas que les garçons qui ont le sens ludique...

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour Isabelle,

    Excellente résolution !!! Pas de tabagisme passif car respirer la fumée pour l'entourage est extrêmement nocif .
    Tiens ca me rappelle le slogan qui concluait une pub pour l'arrêt du tabac dans les années 1980 :
    "Une cigarette écrasée , c'est un peu de liberté gagnée!"...
    Mon papa a fumé pendant 40 ans et en 1987, on avait fait un pari : il arrêtait de fumer si j'avais le Bac (Techno). Pari tenu !!! Mais les six premiers mois sont très difficile à supporter sans nicotine. Force de caractère ?
    Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
  4. Je n'y crois pas dans le mythe de la nicotine. Biochimiquement cela ne tient pas la route. Puis de l'expérience perso je ne saurais dire d'avoir ressenti un manque à ce niveau là. J'ai simplement suivi le conseil de mon docteur qui a dit de ne pas se dire je vais arrêter à jamais, mais qu'un jour arrêté c'est un jour de gagné. Puis au bout de quelques jours je n'ai plus senti une envie quelconque de fumer. Pour cette raison je dit toujours que je n'ai pas eu le moindre mérite pour en finir avec les cigarettes. Je précise que ne suis nullement incommodée par les personnes qui fument en ma présence, mais bon les fumeurs se font de plus en plus rare de nos jours...

    RépondreSupprimer
  5. Bonsoir Isabelle,

    Mon papa me disait que c'était aussi l'odeur du tabac froid qui l'incommodait comme une sorte de nausée et puis le sens de l'odorat après beaucoup d'années s'altérait aussi. Le mieux est de ne jamais commencer à fumer. Sa moyenne était de deux paquets par jour maximum. La deshabitude au tabac vient peut-être du nombre d'années. Le corps humain a ses ressources propres et sa chimie organique pleine d'imprévus. A l'époque les patchs et autres accompagnements médicaux n'étaient pas vraiment au goût du jour.
    Quoiqu'il en soit, vous avez pris une très sage décision d'arrêter : ça fait du bien au souffle et au porte-monnaie ! C'est une ruine cette s......e-là !!!! M'enfin !!
    Mac-Miche.

    RépondreSupprimer