Au
menu cette semaine : En vacances
Il fait un peu trop chaud pour mettre
des bas en ce moment, mais il y a au moins 8 mois dans l'année pour
en porter. Et j'en profite... parce que cela plaît à mon chéri et
parce que moi, je me sens... terriblement sexy. Sentir est les juste
mot pour décrire l'agréable sensation quand un petit souffle d'air
s'égare sous mes jupes ou robes. Notamment quand je me promène avec
une persistante brûlure d'une fessée toute fraîche. Quand les
personnes qui connaissent peu me trouvent particulièrement dynamique
et ceux qui me connaissent bien...
...trouvent
que ce jour-ci j'ai encore le feu aux fesses.
Par bon goût j'entends d'abord le mien
et celui de mon homme. Puis celui de ses adorables copains que
j'appelle les hommes nostalgiques. Mon chéri, en digne homme
nostalgique adore faire de longs voyages en charmante et élégante
compagnie. Il adore prendre un petit café, voire une repas selon
l'heure avec moi quelque part dans le »no mans land » et
aussi que des regards se posent sur mon auguste personne. Et il adore
de me rappeler à l'ordre quand mon comportement laisse à désirer :
Le port des
bas ne te dispense pas de la fessée, jeune dame !
Il est vrai que je me sens
particulièrement honteuse quand je dois troquer mes jolis
porte-jarretelles et bas contre de longues chaussettes blanches. Mais
cela passe comme une lettre à la poste dans mon entourage qui voit
dans cette tenue mon attachement aux coutumes vestimentaires
allemandes.
Enfin, je ne me montre pas toujours
capricieuse. Et je ne souhaite pas que l'attention de mon homme à
mon égard se limite à la fessée. Bref, mon chéri se montre fort
inspiré pour me trousser délicatement quand je porte une jupe
droite, pour me pencher ensuite sur le capot de la voiture. Ce qui
fait un effet de bas bien tendus. Petit interlude avec un frisson
bcbg qui prouve qu'il n'y a pas que la fessée dans la vie et aussi
qu'il faut savoir montrer de la manière la plus classique...
...qui
prend les décisions vraiment importantes dans le couple.
Mais surtout que le désir reste
toujours au rendez-vous, malgré une très longue route déjà
parcourue ensemble.
Une fessée acrobatique (petit clip)
Voila
une position qui n'est pas accessible à tous le monde !
Cela reste plutôt dans une gamme
érotique spectaculaire qui ne laisse aucun secret ouvert sur les
détails anatomiques de la dame. Obscène pour les uns, excitant pour
les autres ou encore typiquement humain pour d'autres. Honi soit qui
mal y pense !
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Un air de discipline domestique
(Suivez les flèches)
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerLe "fétichisme de bon goût" nous renvoie à une élégance très "Vintage 50's" qui me plait bien, bien que trop jeune pour avoir connu cette époque.
Personnellement, j'aime bien la photo du 19 June 2012 avec la belle Marylin Monroe ( ou Jayne Mansfield ?) relevant un pan de sa robe plissée face à un Cary Grant (ou Gregory Peck- Moby Dick - 1956) très "look intello " plutôt amusé ou surpris (?). Le classique face à une pose coquine ?
Je vous imagine, avec votre respect, glissée dans une de ses tenues vestimentaires qui "glorifiait" la Femme dans toute sa féminité à cette époque.
Merci pour ce petit tour d'horizon.
Mac-Miche.
J'adore les tenues vintage et glamour. Toutefois je ne me promène pas tous les jours aussi mise en valeur. Certes, une grande famille des fantasme de la discipline domestique souhaite la dame toujours tirée à quatre épingles, mais bon, il faut aller avec son temps, sinon on risque d'être prise pour un original de son entourage...
RépondreSupprimerQuand on voit Marylin dans certains films on se dit : Mais y avait - il des femmes habillées comme cela dans la rue ? Elles devaient être des fantasmes ambulant!
RépondreSupprimerMerci Isabelle pour le clip sublime, si vous avez bonne mémoire vous connaissez mon faible pour les danseuses, seule une danseuse peut faire une position aussi... excitante/vulgaire/obscène/gracieuse/acrobatique (je laisse le choix, (J'ai connu une danseuse, elle n'aimait pas la fessée! Hélas)
Je me suis également posée la question de la tenue des dames dans la rue dans les années 50, cher Bertrand. Ma belle mère (née au début des années 30) m'a raconté qu'elle portait des hauts talons et de belles robes pour aller travailler, pas style Marylin, mais tout de même des robes faites sur mesure, car le prêt à porter n'existait pas encore. Ma mère (né au début des années 40) n'a connu que le déclin du beau... préservant bien de tenues à des buts purement séductif. Notons aussi le déclin de la tenue de messieurs dans les mêmes années, passant du costume cravate à la tenue des prisonniers aux États Unis en adoptant les jeans et les t-Shirts. Enfin, mon homme m'a parlé de l'arrivée du uni-sexe au début des années 70 qui a significativement achevé les belles tenues des filles...
RépondreSupprimerPs : Bien entendu que je me souviens de votre passion pour la danse. J'ai donc pensé à vous quand j'ai découvert ce clip !
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerJe confirme vos propos en tous points.
Sur une photo de famille, pour une occasion exceptionnelle, ma Maman (née avant guerre, comme mon papa) portait alors un tailleur bleu marine avec jupe droite (sous le genou) , et veste à revers et béret assorti de la même couleur. Passée sur chemisier blanc à col lavallière et petit sautoir autour du cou.
Mon Papa , quant à lui , c'est costume deux pièces et feutre assorti et, le top, une moustache "à la Clark Gable" (qu'il n'arbore plus depuis quelques années)
Un seul bémol : talons plats pour ma Maman car elle ne supportait pas les hauts talons. Maux de jambes oblige ! C'était au tout début des années 1950.
D'ailleurs, pour la moustache, je me souviens de ce trait d'humour de ma maman : "Un baiser sans moustache, c'est comme un œuf sans sel".
Ah nos Mamans et leurs sages conseils... Rires.
Mac-Miche.
J'ai eu, il y a quelque semaines une expérience proche de la vôtre, des photos de famille de mes beau-parents lors de leur voyage de noce dans les années 50. Autant ma belle-mère que mon beau-père étaient habillés d'un chic sans pareil, coutumier à l'époque.
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