T'as mis une
culotte sous ta robe isabelle ?
Tu
n'as qu'à vérifier toi-même, mon chéri !
Parfois mon homme a un air gentiment
vicieux dans sa voix quand il me demande un truc. Je sens qu'il
prépare quelque chose. De nature peu méfiante quand je connais bien
une personne, je suis toujours partante pour les surprises. Puis ma bonne humeur
contagieuse semble stimuler la créativité coquine de monsieur.
Disons qu'une dame en bonne compagnie ne risque que très peu de
choses. Ce peu de choses tourne invariablement autour... d'une
pénétration. Que ce soit avec un doigt, un objet ou par l'objet
même qui perpétue ce monde et dont « une dame bien éduquée »
ne prononce point le nom. Voila qui rejoint le conseil de ma
maman quand j'étais ado :
Méfie-toi
des garçons, isabelle, ils n'ont qu'une chose en tête !
Par conséquence mon chéri est d'une
banalité à toute épreuve. Un compliment pour ma belle robe, puis
il me demande de la trousser. Un regard inspiré sur mon nouveau
porte-jarretelles à 8 attaches et la petite remarque qui tue :
T'en fais pas un
peu trop isabelle ?
Pfff...
je vois que ce n'est pas toi qui se bat avec les coutures qui
tournent.
Dans mon imagination je me vois déjà
penchée sur la table du petit déjeuner mon nez dans la confiture.
J'aime beaucoup quand il s’occupe de moi de cette manière pour
bien débuter la journée. Ce n'est pas une coutume, un droit de
cuissage systématique, seulement un extra qui change agréablement
nos habitudes quotidiennes. Mais
ce matin mon chéri prévoit autre chose. J'ai
un peu de mal à retenir un de mes fameux rires bêtasses qui mêlent
gêne, émoustillement et surprise. Je vois ce machin d'homme,
parfaitement imité et apparemment de la même taille que celui de
mon chéri. Tenu sur ma chaise par une ventouse. Le tout déjà
copieusement enduit d'un lubrifiant. Mon homme, fidèle à ses
habitudes s’apprête pour m'aider à m'installer. J’hésite
encore comment m'y prendre quand je sens une main désireuse pour me
faciliter le choix.
Dans le
derrière ma chérie, j'aimerais connaître les expressions de ton
visage.
Voila qui se tient en quelque sorte.
Difficile de voir mon visage quand il me prend par derrière. Alors
pendant que je m'y prend doucement pour installer confortablement,
Monsieur se met sur sa chaise habituelle en face de moi.
Tu ferme tes
yeux, isabelle quand je me glisse en toi ?
Ben
oui, j'aime savourer la sensation. Puis c'est un endroit délicat...
Je ne lui dit pas que je me sens un peu
gênée de me faire « prendre » devant lui par un objet
souple. C'est doux certes, mais rien à voir avec de la chair vivante
qui pulse en moi quand c'est lui.
Passons au
petit déjeuner !
Je n'arrive pas au bout de mes
surprises. Je n'y avait pas pensé du tout qu'il souhaiterait un vrai
petit déjeuner qui abrite un secret maintenant parfaitement
invisible. Comme d'habitude je me prépare ma tartine. Et comme
d'habitude je prépare aussi une pour mon homme qui se plaint tous
les matin de ce que je mets sur sa tartine. Mais il finit toujours
par finir son plat. Aujourd'hui il ne se plaint de rien. Il ne me
quitte pas des yeux. Son regard devient encore plus insistant quand
je commence à manger. Je vois un sourire de grand garçon qui semble
me préparer une mauvaise blague.
Je
ne me trompe pas ! Subitement je ressens des vibrations tout au
fond de moi.
Douces, agréables et si différentes
d'un viril va et viens. Ma tartine me reste collée au fond de ma
gorge et je me dépêche de boire mon café. Je dois faire une drôle
de tête. Monsieur apprécie le spectacle. Les vibrations me
procurent vite un effet berçant, plaisant qui empiète sur le
terrain de l’émoustillement. Mes traits se détendent, je me sens
bien.
T'avais raison
isabelle. Rien de mieux pour calmer la nervosité d'une fille qu'un
joli phallus dans le derrière.
Moi aussi je prend plaisir de regarder
mon homme, sa curiosité d'observer ce qui se passe en moi. Il
connaît la susceptibilité de ma petite porte et il lui arrive de
me détendre par-là avec un habile jeu de langue.
Bref, il est difficile de se voir quand
cet endroit entre en jeu. Aujourd'hui tout va bien, nous profitions
d'une situation inédite. Couple de longue date, nous échangeons un
tendre regard avant que Monsieur ne m'invite à me lever pour me
pencher sur la table et me montrer qui commande à la maison...
Pour la nervosité, mon épouse prône le coït quotidien, et en cas de nervosité excessive la fessée et/ou le lavement.
RépondreSupprimerPar curiosité, votre mari vous a-t-il pris par la voie conjugale classique, ou a-t-il profité de la préparation de l'autre orifice?
Mon homme a une suite dans ses idées. Par conséquence quand il y a préparation d'un terrain, les choses se passent alors là où il a labouré...
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