vendredi 11 août 2017

1033 La dame sur l'escabeau

Un autre souvenir d'adolescence de Monsieur 183

La fascination de mon homme pour les escabeaux ou plus précisément pour les dames sur les escabeaux date de son adolescence. Le « souvenir déclencheur » me semble une réactivation d'un aperçu antérieur, quand il a été un tout petit garçon et lié à ses investigations sur la différence entre garçon et filles. Une entrevue sous les jupes de sa maman ou toute autre dame à porté... de ses yeux. Bref il a gardé l'habitude de se tordre le cou à chaque fois que se présente la possibilité de me regarder sous mes jupes.

J'y pense donc forcement quand je fais en sa présence la poussière dans son bureau. Il y a des étagères chargées de livres jusqu'au plafond. Pour passer mon plumeau (ben non pas de plumeau, mais un truc hyper-moderne qui laisse aucune chance à la poussière!,) moi aussi je me sers d'un escabeau. Il en va de soi que j'essaye de surpasser son souvenir d'adolescence. Alors niveau froufrous je mets le paquet. Le tout sous une jupe ample, assez courte.

A mes risques et périls !

Gare à mes fesses, car Monsieur pousse loin le moralisme. L'exhibitionnisme éhonté est puni chez nous de manière fort claquante.
Parce qu'il paraît que de me voir ainsi accomplir mon travail, le déconcentre dans le sien. Il est vrai, dès que je commence à agiter mon attrape poussière, son regard se colle sur moi et me suit. Notamment quand je montre sur l'escabeau. Puis en me penchant en avant, mes strings donnent un effet fesses nues.

J'ai à peu près tout vu avec mon chéri, y compris sa tête sous ma jupe, son nez coincé entre mes fesses.

Fabuleux un escabeau ! Outre que fesser, mon chéri sait également se servir -à la merveille- de sa langue. En faisant attention toutefois que le plaisir ne me procure pas des vertiges. Heureusement il ne manque pas de force et sait me rattraper dans ses bras. Dans ces cas j'ai l'impression que la chasse a été bonne. Il me porte vers son fauteuil, puis suit ses inspirations. Dernièrement il aime bien que je lui fasse une sorte de lapdance, style vas-y que je me frotte. De préférence ma jupe relevée. Je m'applique sagement, car comme il dit à juste titre :

Tu l'as cherché, isabelle !

Ben oui, sa pause dans la matinée tardive, c'est notre moment à nous. La petite à l'école tout est permis. Et cet interlude contribue fortement à la bonne humeur de mon chéri et lui donne de l'élan pour poursuivre son travail.Seulement, avec l'âge il devient plus vicieux.

Il a pris goût au lapdanse avec mes fessée préalablement chauffées de façon traditionnelle.

C'est-à-dire une bonne fessée. L'effet est vraiment intéressant. La fessée rend mon derrière ultrasensible et me frotter sur une virilité en pleine forme, de préférence libérée du pantalon et du caleçon, me procure de fortes sensations. Un joli jeu sans pénétration dans lequel j'arrive facilement au bout de la résistance de mon homme.

4 commentaires:

  1. Bonsoir Isabelle,

    Tout à fait dans la veine coquine de cette chanson de Alain Souchon: "Sous les jupes des filles.
    "Monsieur est servi" ? ou encore : "Au service (coquin) de Monsieur".
    Ce bon Monsieur 183 a des nerfs d'acier... même si le besoin de jouer les correcteurs se fait le plus fort.
    Regarder sous les jupes des femmes de notre entourage dès le plus jeune âge... au risque de prendre une belle fessée par la dame... offusquée : qui n'en a jamais rêvé. Levez le doigt ! Rires.
    Mac-Miche.

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  2. Je pense que bien de petits garçons ont vu -au moins une fois - leur papa lever la jupe de leur maman et il en va de soi qu'ils veulent faire pareil. C'est une entreprise à haut risque, notamment quand ils essayent de choisir une autre femme que leur maman. Bien évidement non seulement cela ne se fait pas, mais en plus c'est strictement prohibé par la loi. Ceci dit c'est peut-être cette fascination qui donne envie au petit homme de devenir un grand homme et de tout apprendre sur le sujet pour pouvoir trouver un jour une dame qui se sent flatté quand il lui soulève la jupe...

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  3. Bonsoir Isabelle,

    Il y a du vrai dans votre réflexion. Et le goût du risque flatte aussi l'égo. Du style : je prend des risques donc je suis un homme. "En forgeant , on devient forgeron" dit-on.
    Rires. Mac'.

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  4. Effectivement, sauf qu'il ne s'agit pas de prendre un risque pour le plaisir du risque (ou le plaisir d'une punition), mais d'établir une relation interhumaine avec une dame...

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