Un
autre souvenir d'adolescence de Monsieur 183
La fascination de mon homme pour les
escabeaux ou plus précisément pour les dames sur les escabeaux date
de son adolescence. Le « souvenir déclencheur » me semble une réactivation d'un
aperçu antérieur, quand il a été un tout petit garçon et lié à
ses investigations sur la différence entre garçon et filles. Une
entrevue sous les jupes de sa maman ou toute autre dame à porté...
de ses yeux. Bref il a gardé l'habitude de se tordre le cou à
chaque fois que se présente la possibilité de me regarder sous mes
jupes.
J'y pense donc forcement quand je fais
en sa présence la poussière dans son bureau. Il y a des étagères
chargées de livres jusqu'au plafond. Pour passer mon plumeau (ben non pas de plumeau, mais un truc
hyper-moderne qui laisse aucune chance à la poussière!,) moi aussi
je me sers d'un escabeau. Il en va de soi que j'essaye de surpasser son souvenir d'adolescence. Alors niveau froufrous
je mets le paquet. Le tout sous une jupe ample, assez courte.
A
mes risques et périls !
Gare à mes fesses, car Monsieur pousse
loin le moralisme. L'exhibitionnisme éhonté est puni chez nous de
manière fort claquante.
Parce qu'il paraît que de me voir
ainsi accomplir mon travail, le déconcentre dans le sien. Il est
vrai, dès que je commence à agiter mon attrape poussière, son
regard se colle sur moi et me suit. Notamment quand je montre sur
l'escabeau. Puis en me penchant en avant, mes strings donnent un
effet fesses nues.
J'ai
à peu près tout vu avec mon chéri, y compris sa tête sous ma
jupe, son nez coincé entre mes fesses.
Fabuleux un escabeau ! Outre que
fesser, mon chéri sait également se servir -à la merveille- de sa
langue. En faisant attention toutefois que le plaisir ne me procure
pas des vertiges. Heureusement il ne manque pas de force et sait me
rattraper dans ses bras. Dans ces cas j'ai l'impression que la chasse
a été bonne. Il me porte vers son fauteuil, puis suit ses
inspirations. Dernièrement il aime bien que je lui fasse une sorte
de lapdance, style vas-y que je me frotte. De préférence ma jupe
relevée. Je m'applique sagement, car comme il dit à juste titre :
Tu l'as
cherché, isabelle !
Ben oui, sa pause dans la matinée
tardive, c'est notre moment à nous. La petite à l'école tout est
permis. Et cet interlude contribue fortement à la bonne humeur de
mon chéri et lui donne de l'élan pour poursuivre son travail.Seulement, avec l'âge il devient plus vicieux.
Il
a pris goût au lapdanse avec mes fessée préalablement chauffées
de façon traditionnelle.
C'est-à-dire une bonne fessée.
L'effet est vraiment intéressant. La fessée rend mon derrière
ultrasensible et me frotter sur une virilité en pleine forme, de
préférence libérée du pantalon et du caleçon, me procure de
fortes sensations. Un joli jeu sans pénétration dans lequel
j'arrive facilement au bout de la résistance de mon homme.
Bonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerTout à fait dans la veine coquine de cette chanson de Alain Souchon: "Sous les jupes des filles.
"Monsieur est servi" ? ou encore : "Au service (coquin) de Monsieur".
Ce bon Monsieur 183 a des nerfs d'acier... même si le besoin de jouer les correcteurs se fait le plus fort.
Regarder sous les jupes des femmes de notre entourage dès le plus jeune âge... au risque de prendre une belle fessée par la dame... offusquée : qui n'en a jamais rêvé. Levez le doigt ! Rires.
Mac-Miche.
Je pense que bien de petits garçons ont vu -au moins une fois - leur papa lever la jupe de leur maman et il en va de soi qu'ils veulent faire pareil. C'est une entreprise à haut risque, notamment quand ils essayent de choisir une autre femme que leur maman. Bien évidement non seulement cela ne se fait pas, mais en plus c'est strictement prohibé par la loi. Ceci dit c'est peut-être cette fascination qui donne envie au petit homme de devenir un grand homme et de tout apprendre sur le sujet pour pouvoir trouver un jour une dame qui se sent flatté quand il lui soulève la jupe...
RépondreSupprimerBonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerIl y a du vrai dans votre réflexion. Et le goût du risque flatte aussi l'égo. Du style : je prend des risques donc je suis un homme. "En forgeant , on devient forgeron" dit-on.
Rires. Mac'.
Effectivement, sauf qu'il ne s'agit pas de prendre un risque pour le plaisir du risque (ou le plaisir d'une punition), mais d'établir une relation interhumaine avec une dame...
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