Au
menu cette semaine : Sous les jupes des filles
La
poésie de la culotte blanche (en bas de
l'écran)
Mon homme est un nostalgique d'une
époque imaginée où bas et
porte-jarretelles étaient les vêtements habituels pour les filles.
Il sait en rajouter dans ses formulations et me fait bien souvent
rire jusqu'au larmes. Il trouve des oreilles particulièrement
attentives à ses grandes théories devant un public d'amis de sa
génération. Soirée entre hommes où seule la maîtresse de la
maison est admise.
Et vous, vous
en pensez quoi, isabelle ?
Ah le charme des ces messieurs d'un
certain âge. Ce vouvoiement de politesse et de respect devant une
dame. Je me sens reine dans une cours de recréation de grands
garçons qui après un bon vin commencent à se prendre quelque
libertés sans dépasser les limites du convenable.
Qui
suis-je pour contredire mon chéri ?
J'ouvre une parenthèse: Il me semble
évident qu'aucun des ces messieurs à échappé au son des mes hauts
talons pendant que je faisais le service. Puis ma jupe malgré
qu'elle couvre pudiquement mes genoux laisse libre vue sur les
coutures de mes bas. Mon homme aime beaucoup que je me donne
séduisante pour de telles soirées. Cela gonfle son ego et moi je
n'y vois rien de mal, car je flatte le mien à la même occasion.
Puis je m'évade dans ma pensée vers petit secret qui ne se laisse
pas deviner. Je pense à ma... culotte. J'ai reçu la veille une
solide fessée pour quelques moqueries concernant les amis de mon
homme. Il n'aime pas cela et je le sais bien.
Dans
son langage à lui j'ai cherché ma fessée !
Ce qui est parfaitement juste. J'avais
envie qu'il s’occupe de moi. Stratagème qui fonctionne toujours.
Il a dû sentir le vice dans ma démarche. Pour me punir à la
hauteur de mon méfait pour que je retienne bien à leçon, j'ai eu
une punition supplémentaire.
Une semaine en
culotte blanche... en coton !
Puis ensuivit suit longue éloge de la
culotte blanche en coton avant qu'on nous
impose (à eux les hommes en fait!) ces
affreux strings qui ne servent à rien. Je ferme ma
parenthèse !
Allons, isabelle, ne soyez pas
sibylline ! Quel est votre avis !
Vous
voulez le fond de ma pensée ? Les bas et les porte-jarretelles
m'évoquent une question existentialiste : Culotte ou string !
J'ai gardé le coton par discrétion
pour moi, mais dans la discussion qui a suivi ma question elle a vite
fait surface.
Menu
adultes spécial Saint Valentin (petit clip)
Je n'ai toujours pas lu les « cinquante
nuances », ni même vu les films. Je ne suis ni pour ni contre,
mais il me manque le temps pour découvrir ce BDSM qui fait unanimité
chez pas mal de mes copines. Toutefois je suis pragmatique. Je
reconnaît l'utile publique de ce livre qui permet de parler fessée
et autres pratiques comme on parle vernis à ongles ou recette de
cuisine. Et visiblement - comme montre cette publicité de
restauration rapide – nous ne sommes pas encore au bout d'un long
processus de banalisation de telles pratiques. Notons que Freud avait
prédit une telle évolution des mœurs. Au risque de passer pour une
cruche, à quoi sert le truc avec la boule en bois ?
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
La joie de fesser (petit clip)
Curieux objet effectivement, est-ce un martinet dont les lanières sont remplacées par ces fines et souples tiges de métal? Quelle horreur! Ou bien ce manche avec une boule de bois a une fonction plus intime? je me perd en conjectures.
RépondreSupprimerFigurez-vous cher Monsieur Bertrand qu'il s'agit comme j'ai appris d'un appareil pour caresser la tête. Il faut le savoir...
RépondreSupprimerMerci de cette information chère Isabelle. En effet difficile à deviner, comme quoi il n'est pas toujours nécessaire d'imaginer des choses extravagantes. Caresser la tête, pourquoi pas, j'aime bien me masser le cuir chevelu lorsque la vie est trop compliqué. En tous cas le menu adulte chez Burger king n'est pas très "adulte"
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