Décupler
la sensibilité
Il y a des jours que je me trouve en
quête de distraction érotique. Ma fantaisie divague et je me vautre
dans mes rêveries d'adolescence. Parfois je m'imaginai tout
simplement allongée sur les genoux de mon prince charmant en
recevant une bonne fessée. D'abord sur mon jeans, ma jupe, ma robe
etc selon les jours. Puis attendu en frissonnant, arriva le moment du
déculottage. Mon homme a nos débuts a su ajouter un joli
élément à mes rêveries de jeune fille.
Petite
érotisation verbale réservée au monsieur car une dame n'utilise
pas de tels mots.
Avec conséquence une inégalité
bienvenue et hautement chargée d'émoustillement. Quand c'est moi
qui emploie ce mot je suis dans le meilleur des cas envoyée au coin.
Quand c'est monsieur qui le prononce, il libère en moi un rire
mi-gênée, mi- complice y compris quand nous sommes en public.
Und jetzt den
nackten Arsch frech herausgestreckt, isabelle !
(Et maintenant tu vas me tendre
effrontément ton cul tout nu, isabelle)
Comprenons par effrontément de se
servir de son cul nu comme arme
de séduction. Avec la pleine conscience que cette partie de mon
anatomie provoque des fulgurants effets sur mon homme. Parfois je
suis invitée aussi d'aguicher le martinet, la canne, la strap avec
mon popotin tout nu. Instants d'intense émotion, malgré un
perspective de me trimbaler un fessier fort sensible pendant des
heures.
Enfin, habituellement il s'agit d'un
interlude coquin je m'annonce sonorement par mes hauts talons sur le
parquet. Mon chéri y est très sensible et divine souvent quelles
chaussures je porte. Bien entendu de tels jours je me languis de lui
tendre mes fesses toutes nues à une improvisation ludique et sans la
moindre hargne.
L'enjeu
c'est la sonorité, le réchauffement de ma peau et la stimulation de
ma circulation sanguine.
C'est un système de vases
communicantes et il ne faut pas beaucoup de temps pour que je
ressente le bienfait de mon traitement. Les fluides corporelles
s'activent et mon chéri utilise des petites pauses pour vérifier
dans quel état je me trouve.
Fessée
non punitive égal suite sexuelle !
Je me sens prête à tout genre de
« cochonneries » et je suis certaines plus bruyante par
la suite que pendant mon échauffement. Que ce soit une sucette, une
entrée par la porte du service ou de la vanille de
plus classique, j'éprouve les sensations d'une intensité décuplée
quand j'ai mes fesses brûlantes...
Ah Isabelle, voici ce qui arrive parfois à ma conjointe quand elle est trop provocante...
RépondreSupprimerBien sûr, cela peut se solder par un passage sur mes genoux, une fessée, une sucette, puis la vanille la plus classique (madame a des traditions, c'est sucette puis vanille).
Mais sinon quelque chose qui devrait vous plaire. Je conduis la dame jusqu'au divan et elle se penche dessus, jambes un peu écartées. Soit je la déculotte d'abord soit je lui relève jupe ou robe. Je lui donne alors la fessée, souvent avec une pantoufle. Elle a le droit de se toucher. Quand elle a le popotin suffisamment rosé et le sexe suffisamment "fondant", je la pénètre.
Une chose que j'aime dans cette position (ou dans d'autres) est l'odeur de femme excitée qui émane de l'entrecuisse...
Pour les odeurs "naturelles" vous n'êtes pas le seul amateur. Je n'en parle pas, mais" mon homme aussi se sent irrésistiblement attiré par les "phéromones...
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