mercredi 15 février 2017

982 Fessée non chaste (Au cinéma)

Décupler la sensibilité

Il y a des jours que je me trouve en quête de distraction érotique. Ma fantaisie divague et je me vautre dans mes rêveries d'adolescence. Parfois je m'imaginai tout simplement allongée sur les genoux de mon prince charmant en recevant une bonne fessée. D'abord sur mon jeans, ma jupe, ma robe etc selon les jours. Puis attendu en frissonnant, arriva le moment du déculottage. Mon homme a nos débuts a su ajouter un joli élément à mes rêveries de jeune fille.

Petite érotisation verbale réservée au monsieur car une dame n'utilise pas de tels mots.

Avec conséquence une inégalité bienvenue et hautement chargée d'émoustillement. Quand c'est moi qui emploie ce mot je suis dans le meilleur des cas envoyée au coin. Quand c'est monsieur qui le prononce, il libère en moi un rire mi-gênée, mi- complice y compris quand nous sommes en public.

Und jetzt den nackten Arsch frech herausgestreckt, isabelle !

(Et maintenant tu vas me tendre effrontément ton cul tout nu, isabelle)

Comprenons par effrontément de se servir de son cul nu comme arme de séduction. Avec la pleine conscience que cette partie de mon anatomie provoque des fulgurants effets sur mon homme. Parfois je suis invitée aussi d'aguicher le martinet, la canne, la strap avec mon popotin tout nu. Instants d'intense émotion, malgré un perspective de me trimbaler un fessier fort sensible pendant des heures.

Enfin, habituellement il s'agit d'un interlude coquin je m'annonce sonorement par mes hauts talons sur le parquet. Mon chéri y est très sensible et divine souvent quelles chaussures je porte. Bien entendu de tels jours je me languis de lui tendre mes fesses toutes nues à une improvisation ludique et sans la moindre hargne.

L'enjeu c'est la sonorité, le réchauffement de ma peau et la stimulation de ma circulation sanguine.

C'est un système de vases communicantes et il ne faut pas beaucoup de temps pour que je ressente le bienfait de mon traitement. Les fluides corporelles s'activent et mon chéri utilise des petites pauses pour vérifier
dans quel état je me trouve.

Fessée non punitive égal suite sexuelle !

Je me sens prête à tout genre de « cochonneries » et je suis certaines plus bruyante par la suite que pendant mon échauffement. Que ce soit une sucette, une entrée par la porte du service ou de la vanille de plus classique, j'éprouve les sensations d'une intensité décuplée quand j'ai mes fesses brûlantes...

2 commentaires:

  1. Ah Isabelle, voici ce qui arrive parfois à ma conjointe quand elle est trop provocante...

    Bien sûr, cela peut se solder par un passage sur mes genoux, une fessée, une sucette, puis la vanille la plus classique (madame a des traditions, c'est sucette puis vanille).

    Mais sinon quelque chose qui devrait vous plaire. Je conduis la dame jusqu'au divan et elle se penche dessus, jambes un peu écartées. Soit je la déculotte d'abord soit je lui relève jupe ou robe. Je lui donne alors la fessée, souvent avec une pantoufle. Elle a le droit de se toucher. Quand elle a le popotin suffisamment rosé et le sexe suffisamment "fondant", je la pénètre.

    Une chose que j'aime dans cette position (ou dans d'autres) est l'odeur de femme excitée qui émane de l'entrecuisse...

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  2. Pour les odeurs "naturelles" vous n'êtes pas le seul amateur. Je n'en parle pas, mais" mon homme aussi se sent irrésistiblement attiré par les "phéromones...

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