vendredi 10 février 2017

981 Liens de discipline domestique (257 ème édition)

Au menu cette semaine : Il ne faut pas se fier aux apparences !


Il n'est pas un secret que mon homme adore que je porte des jupes en cuir. Avec des bas, porte-jarretelles et hauts talons... cela va de soi. Loin de moi de vouloir culpabiliser mon chéri pour ses fantasme avec des idées féministes. Je les trouve déplacées dans un domaine qui ne relève pas de la rationalité. Puis vivre en couple pour moi implique le désir de rendre heureux son partenaire. Alors, il y a quelques semaines nous étions dans une brocante avec un rayon friperie. Parmi les merveilles d'un autre âge se trouva un jupe, des années 80 très probablement, mais pas n'importe laquelle. Il s'agissait d'une jupe droite très courte en cuir noir de bonne qualité. Entendons par très courte une longueur largement en dessous des 46cm que j'aime habituellement porter pour aguicher mon homme. Bref c'était le genre de jupe qui au moindre mouvement remonte très haut en dévoilant impudiquement les attaches des bas. Comprenant que je tenais là en main une joyaux pour émerveiller mon grand garçon, je lui ai fait aussitôt signe :

Tu me verrais là-dedans ?

Emportée par la joie de ma découverte je n'ai pas été discrète. On a dû m'entendre un peu partout dans cette trocante avec mon trophée que je tenais fièrement entre mes mains. De plus ce vêtement dénotait complètement de mon style tailleur très sage. J'ai donc récolté quelques sourires amuses. Mon chéri, d'habitude la discrétion en personne ne savais pas trop sur quel pied danser. Un franc rire à cause de mon enthousiasme exubérant ou un regard sévère pour me rappeler un peu de retenue :

Il y a des fessées qui se perdent avec toi, isabelle...

Plus tard, à la maison, je lui ai fait un défilé dans ma nouvelle jupe. Mon homme était enchanté en profitant de me raconter un de ses vieux fantasmes :

Claquer bruyamment les fesses d'une provocante dame en mini-jupe.

A l'occasion il m'a penchée sur ses genoux. Le cuir de la jupe étant très doux, elle se laisse facilement trousser. Alors il ne s'est pas privé pour me taper copieusement mes fesses. Sans oublier de me baisser consciencieusement mon string avant l'acte. J'ai reçu un fessée grand format , plutôt « érotico-punitive » pour m'avoir donnée en spectacle dans la trocante. Puis par la suite j'ai gardé la jupe sur moi. D'excellente humeur de l'impacte de mon achat sur la libido de mon homme, je me suis mise à passer... l'aspirateur. En dévoilant sans la moindre gêne au moindre mouvement mon fessier joliment teint en rouge vif.


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















22 commentaires:

  1. Bonsoir Isabelle,

    J'ai bien ri avec votre récit. Et il m'a rappelé votre récit intitulé "la pénible cliente" de novembre 2015 que vous m'aviez permis d'illustrer à ma façon,
    Tenez, ce présent récit mériterait une petite illustration de ma part. Avec votre aimable autorisation ! Of course !! Rires.
    Mac-Miche.

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  2. Bonjour Isabelle,

    Qu'est-ce que je vous disais ? Super, les années 1980 !! Rires. Les meilleures d'après moi.
    Saluons la patience légendaire de Monsieur 183. C'est la grande époque des jupes en cuir ou simili cuir ou en skaï. mais pour l'entretien, c'est comme les Chesterfield, c'est avec la lotion adéquate. Regardez les clips de pop: longue chevelure et mini-jupe. Comme disait le chanteur Antoine dans les Sixties: "Cheveux longs et idées courtes".
    Le court a son charme et il faut bien marier les pièces de la tenue. Et les catalogues de VPC de l'époque proposait le tailleur classique blazer et mini-jupe.
    La fessée sur mini-jupe en cuir doit produire la mélodie d'un clapotis d'averse, dans le genre : flac ! flac ! flac ! flac !... Ca deviendra une pièce de musée. Fessons sous la pluie... "I am span-king in the rain...".
    Mac-Miche.

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    1. Je ne suis pas une spécialiste de la mode, mais je sais quels vêtements produisent un effet autre qu’esthétique sur mon homme. C'est un registre d'exhibition en étant habillée...

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    2. Bonjour Isabelle,
      L'imaginaire masculin se nourrit d'effets visuels coquins.Suggérer sans trop dévoiler ! Vieux gag mainte fois usé par ce grand coquin de Benny Hill. Excellente stratégie de départ.
      Mac-Miche.

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    3. Je pense que Benny Hill mieux que quiconque d'autre savait mettre en scène une certaine nostalgie vestimentaire de toute une génération d'hommes. Une nostalgie bon enfant qui a su faire face à la révolution sexuelle des années 70. Enfin, on peut penser de ces sketch ce que l'on veut, pour ma part je les trouve une excellent catalogue de désirs de bien d'hommes facile à mettre en scène au quotidien...

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    4. Bonjour Isabelle,

      Tout à fait ! Et que dire des chorégraphies de toutes ces charmantes sirènes qui l'entouraient. La fameuse troupe des "Hill's Angels" (ironiquement: les Anges de la Colline). A mi-chemin entre la comédie musicale et le cabaret "Burlesque". Du grand art. Inimitable.
      Au début des années 2000, la grande presse avait réédité en DVD les plus célèbres sketchs de ce grand comique télévisuel et je les ai toujours. Et en cas de coup de blues, hop, un peu de Hills Angels !! Rires.
      Mac-Miche.

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    5. Hill's angels ne serait-ce qu'un jeu de mot avec Hell's angles, ceux qui font la grosse moto...?

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    6. Bonsoir Isabelle,

      Un parallèle avec les bandes de motards US ? C'est très probable. " Les anges de l'Enfer" ? Des anges... déchus en somme. Et pécheurs, de surcroît ? Rires. Ca cadre bien avec le mini-côté sulfureux du gag. Bravo Isabelle !
      Il me semble que ce coquin de Benny avait parodié ces loubards de la route dans un sketch, et ce,entouré de quelques belles "Angels". A vérifier. Rires.
      Mac-Miche.

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    7. Enfin, Monsieur Mac-Miche, on ne fait pas languir une dame ! Au monsieur de vérifier et de chercher le lien, non ?

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    8. Bonsoir Isabelle,

      En effet. Je manque à tous mes devoirs ! Quelle maladresse !
      En cherchant sur YouTube, je n'ai pu trouver qu'un court extrait de 23 secondes par une recherche par les mots-clés : Benny hill show : les motards.
      Mais il me semble avoir vu un autre sketch avec une séquence plus longue sur le même thème. La liste de ces sketchs est assez corsée. Il faudrait que je les re-visualise . Mais pourquoi pas. Rires.
      Mac-Miche.

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    9. J'adore Benny Hill sans être une spécialiste du sujet, alors je ne saurais vous être d'aucune utilité... rire!

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  3. Comme d'habitude j'aime bien votre sélection de photos...

    Le troussage, un grand moment! Que ce soit pour la fessée ou pour la vanille... Madame mon épouse met rarement des jupes droites et courtes comme vous décrivez. L'été elle met assez souvent des jupes ou robe assez longue mais rien dessous (pour aérer, comme elle dit). Par contre elle ne joue pas à ne rien mettre sous une jupe ou robe courte... mais bon qui n'a jamais baissé ou enlevé une culotte! En tout cas elle évite ce qui ne peut pas se relever facilement. Sinon c'est pantalon...

    Elle a aussi deux jupes plissées, un peu "écolières" mais tout de même portables sans trop attirer l'attention, qu'elle met quand elle sait qu'elle va recevoir une punition en rentrant... style penchée sur le canapé, tenant sa jupe relevée, culotte baissée et recevant martinet ou paddle.

    J'aime bien aussi le petit film avec la température rectale d'avant fessée. Comme l'explique bien le site Mariposas de Chocolate, c'est une manœuvre anodine qui produit la honte de la punie ou du puni, avant même que la fessée n'ait commencé. Une ou deux fois le thermomètre a été suivi d'un suppo de glycérine, ce qui a rendu la fessée et le temps d'exposition qui a suivi.. intéressants.

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  4. J'aime beaucoup le blog de Mariposas. Il y a un vrai questionnement sur la nature de notre fantasme avec des réflexion souvent surprenantes ou nouvelles. Enfin, j'aime aussi beaucoup les jeux de thermomètre...

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    1. Isabelle, au fait, je voudrais vous raconter la petite cérémonie du soir quand ma conjointe me met "en observation".
      Cela n'a lieu que quand les enfants sont en vacances car ce n'est pas très discret !

      Le matériel suivant est laissé sur le chevet du lit: une brosse à cheveux large et à dos plat, un flacon d'alcool camphré, des petites compresses de coton, un pot de vaseline avec un thermomètre en verre planté dedans. Vous me direz pourquoi ne pas ranger le thermomètre dans son étui? Pour qu'un simple coup d'œil me rappelle ce qui m'attend le soir venu.

      Après la toilette du soir, je suis appelé dans la chambre. Ma femme est assise sur le lit avec le matériel à côté d'elle. Je prends place sur ses genoux, déculotté bien sûr. Elle m'écarte les fesses et me met le thermomètre. J'ai ensuite droit à des questions sur ma journée, mon comportement, ma santé, ma nervosité, mon transit etc. Cela dure plusieurs minutes. Ma température est relevée, le thermomètre nettoyé et remis dans son pot.

      Ensuite, suivant mon comportement et mes éventuels besoins exprimés de correction, mon postérieur est soit "peloté", soit fessé, à main nue ou avec la brosse.

      Parfois le matériel est amené sur un petit plateau dans le séjour, histoire que je passe un moment sur les genoux de ma femme assise sur une chaise. Nous n'osons pas l'y laisser en permanence, ce n'est pas très discret, si nous devions recevoir quelqu'un à l'improviste!

      Figurez-vous que d'habitude c'est moi qui suis "en observation" mais ces vacances scolaires ce fut madame. ;-)

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    2. Un très joli rituel du soir, plus proche de mettre la pudeur à l'épreuve que de la fessée intense. J'aime beaucoup l’élément de la rétrospective du jour. Evidemment l’absence des enfants s'impose...

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  5. J'aime beaucoup lire vos billets, j'admire votre aisance à décrire ces moments.

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  6. Soyez la bienvenue sur mon blog et merci pour vos compliments.

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  7. Bonsoir Isabelle,

    Miss Maya a entièrement raison. Vous êtes une magicienne des mots: d'un coup de votre baguette magique (de maitresse) et hop ! les mots fleurissent sous votre plume...
    Et l'on oublie trop souvent de vous en remercier (moi le premier). Mon premier commentaire remonte à 2006 sur votre ancien Blog avec mon très petit texte sur le rapport entre mode classique et fessée.
    Alors : on vous dit : Merci Isabelle !!
    Mac-Miche.

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  8. Les textes ne s'écrivent pas par magie cher Monsieur Mac-Miche. Rire! Il faut de la constance, une bonne dose de discipline et aussi avoir... des choses à dire. Enfin, j'aime beaucoup le travail régulier y compris dans les loisirs.

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    1. Bonsoir Isabelle,


      Ah oui ! Et c'est bien dommage !!! Le monde serait un paradis ! Mais descendons de notre nuage, le rêve est terminé.
      Naturellement, tout cela nécessite de l'organisation, des efforts et beaucoup de travail personnel.
      Vous faites au travers de votre inimitable Blog un travail d'écrivain sur un sujet particulier mais en sommeil ou qui demande d'éclore dans bien des couples certainement.
      Mac-Miche.

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  9. A vrai dire j'ai surtout un penchant pour la recherche ce qui explique un manque de temps pour l'écriture pure, mais c'est l'ensemble qui donne mon style si particulier.

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  10. Bonsoir Isabelle,

    Oui, c'est très juste. Votre manière d'aborder notre thème favori sous une apparence anecdotique et ludique cache tout un travail fouillé de recherche sur les tenants et les aboutissants de notre fantasme. C'est la clé de votre "succès".
    Le travail de recherche préparatoire représente souvent 90 % du "produit fini", si je puis dire, et les 10 % restant sont consacrés à la rédaction finale du projet proposé.
    Et mon travail de documentaliste en Lycée Professionnel consistait à établir des dossiers pour les travaux pratiques des groupes de lycéens encadrés par leurs enseignants. Ma tache consistait aussi à enregistrer les émissions à but pédagogique pour les profs pour pouvoir retravailler sur leurs sujets avec leurs élèves.
    L'occasion m'a été donnée de jouer les projectionnistes lors d'évènements "portes ouvertes" pour présenter des projets aboutis aux visiteurs de passage. Et la présence du Proviseur ne nous autorisait aucune maladresse. Rires.
    Mac-Miche.

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