Au
menu cette semaine: Quand le monsieur s'impose
Passons sur la poésie du petit matin
avec un monsieur en caleçon et chaussettes. Rien à voir avec une
dame en nuisette... très courte et suggestive. Chez nous le bon
matin, c'est moi qui parle et cela restera ainsi toute la journée. A
moins que la petite prenne la relève. Monsieur pour sa part a une
étonnante capacité d'écoute. Même s'il semble être ailleurs, il
est incollable sur ma dernière phrase. Idem pour la petite qui a
vérifiée il y a quelques jours, si son papa, épuisé par une
longue journée était attentif à ses propos. Toutefois cet aspect
bonne pâte est trompeur. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds
et ne manque pas d'autorité qu'il exerce exclusivement sous forme
verbale avec notre enfant sans lever la voix. Et cela marche. Par
contre avec moi il est moins patient. Il n'hésitera pas de me
menacer du martinet style :
Tu veux que
j'ouvre le tiroir de mon bureau, isabelle ?
Évidement, à la façon que c'est
prononcé je sais très bien qu'il ne s'agit pas d'un petit bijou
intime dont il fait allusion. Il y a même des matins où il arrive à
table le martinet en main. Un acte qui ne manque jamais d'effet sur
moi. J'ai des frissons partout et l'ambiance me rend toute
guillerette.
Je ne vais pas cesser de rire...
bêtement, car je sais ce qui m'attend. La petite étant à l'école,
Monsieur profitera pour me corriger pour un manquement qui a dû
rester sans suite faute de bonne occasion. Aussi, depuis quelque
temps j'ai lourdement insisté auprès de mon chéri de mettre sur la
liste de mes fautes les péchés de gourmandise pour garder une
ligne... disons acceptable. Ce qu'il fait sans abus, mais avec
sérieux.
C'est
ce sérieux que je trouve terriblement viril !
Pas de promesse en l'air, mais de
l'action à coup sûr pour mes excès de table. Son regard, sous
lequel je baisse ma petite culotte comme si c'était la chose la plus
naturelle au monde. Puis cette fessée matinale que je reçois,
penchée sous son bras. Mordante certes, mais pas au point de faire
peur à une grande fille. Aussi, un fessier strié par les lanières
du martinet retrouve au bout de quelques heures son apparence
habituelle. Pour ma part, ma mauvaise conscience efficacement
chassée, j'éprouve une gratitude sans pareil pour mon chéri. Ah
quel homme qui sait tout faire !
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Action et réaction
(mini-clip)
Inépuisable le monsieur
(petit clip)
Quelle belle vue (Petit clip)
Avant/Après (Petite série)
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerSavoir manier le martinet, se faire obéir sans élever la voix et en même temps être incollable sur la dernière phrase que vous avez dite même après une journée de dur labeur, voilà une belle virilité!
Ben oui, cher monsieur Bertrand, mes critères ne sont pas forcement ceux que l'on trouve sur les sites coquins...rire!
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