lundi 13 juin 2016

892 Expérience en plein air (Lundi cinéma)

...entre jeunes !

Ado, j'aurais aime vivre une expérience de fessée en plein air avec un prince charmant de mon âge. Un truc sympa, décontractée et surtout sans que le jeune homme se sente obligé de me prouver quoique ce soit. Étant moi même sur un terrain nouveau, il me paraissait clair de ne pas pouvoir attendre une prestation parfaite. Qui n'existe pas d'ailleurs! Le charme se fait tout simplement par un « découvrir ensemble » et vit de la maladresse de l'un comme l'autre. Un truc comblant un de mes fantasmes toutes simples :

Que le jeune homme me mette toute nue et me donne une bonne fessée.

N'étant nullement pudique j'aurais sûrement accepté cette proposition de la part de ce garçon qui n'a pas été le premier à me donner une tape sur mes fesses, mais qui a été le premier à s’appliquer avec fermeté sonore. Cela a fait tilt en moi, non pas en imaginant de jouissances formidables, mais en l'imaginant capable de créer une situation enviable au niveau professionnel avec une telle poignée de fer. Je n'ai jamais été romantique. Toujours dotée de mon pragmatisme isabellien ! Hélas cette fessée sur ses genoux ne s'est pas faite, ni dans l'intimité, ni à l’extérieur. Pourtant je me suis prise avec soin.

Pour vivre mes premiers émois du plaisir de la chair en toute sécurité, j'ai pu compter sur mes parents. Aucun problème pour amener un prince charmant à la maison. Pas de questions indiscrètes, pas d'envahissement toutes les dix minutes dans ma chambre sous un prétexte. Ambiance cool, je pouvais décider librement d'inviter le jeune homme pour rester pour la nuit ou non. Je me suis donc glissée dans ma vie d'adulte en douceur, à mon rythme et non pas à celui des garçons. Ma maman achetais même des préservatifs goût vanille, fraise, banane pour moi et mes frères. Et pour elle aussi comme j'ai pu m'en apercevoir un jour lors d'une discussion entre maman et fille quand elle m'a dit :

Moi j'ai un faible pour la fraise !

Toutefois ce jeune gars avait indéniablement un faible pour les fesses des filles. Chose rare à la fin des années... 80 qui faisait éloge des poitrines opulentes. Je me suis donc retrouvée sur ses genoux, ben oui … je me suis donnée vraiment du mal avec lui... et lui il m'a caressé avec enthousiasme mon derrière.

Et... il s'est si bien pris que j'ai oublié la fessée.

Comme je l'avais pressenti, il était doué ce gars, promis à un grand avenir !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire