...entre
jeunes !
Ado, j'aurais aime vivre une expérience de fessée en plein air avec un prince
charmant de mon âge. Un truc sympa, décontractée et surtout sans
que le jeune homme se sente obligé de me prouver quoique ce soit.
Étant moi même sur un terrain nouveau, il me paraissait clair de ne
pas pouvoir attendre une prestation parfaite. Qui n'existe pas
d'ailleurs! Le charme se fait tout simplement par un « découvrir
ensemble » et vit de la maladresse de l'un comme l'autre. Un
truc comblant un de mes fantasmes toutes simples :
Que
le jeune homme me mette toute nue et me donne une bonne fessée.
N'étant nullement pudique j'aurais
sûrement accepté cette proposition de la part de ce garçon qui n'a
pas été le premier à me donner une tape sur mes fesses, mais qui a été le premier à s’appliquer avec fermeté sonore. Cela a fait tilt en moi, non pas en
imaginant de jouissances formidables, mais en l'imaginant capable de
créer une situation enviable au niveau professionnel avec une telle
poignée de fer. Je n'ai jamais été romantique. Toujours dotée de
mon pragmatisme isabellien ! Hélas cette fessée sur ses genoux
ne s'est pas faite, ni dans l'intimité, ni à l’extérieur.
Pourtant je me suis prise avec soin.
Pour vivre mes premiers émois du
plaisir de la chair en toute sécurité, j'ai pu compter sur mes
parents. Aucun problème pour amener un prince charmant à la maison.
Pas de questions indiscrètes, pas d'envahissement toutes les dix
minutes dans ma chambre sous un prétexte. Ambiance cool, je pouvais
décider librement d'inviter le jeune homme pour rester pour la nuit
ou non. Je me suis donc glissée dans ma vie d'adulte en douceur, à
mon rythme et non pas à celui des garçons. Ma maman achetais même
des préservatifs goût vanille, fraise, banane pour moi et mes
frères. Et pour elle aussi comme j'ai pu m'en apercevoir un jour
lors d'une discussion entre maman et fille quand elle m'a dit :
Moi
j'ai un faible pour la fraise !
Toutefois ce jeune gars avait
indéniablement un faible pour les fesses des filles. Chose rare à
la fin des années... 80 qui faisait éloge des poitrines opulentes.
Je me suis donc retrouvée sur ses genoux, ben oui … je me
suis donnée vraiment du mal avec lui... et lui il m'a caressé avec
enthousiasme mon derrière.
Et...
il s'est si bien pris que j'ai oublié la fessée.
Comme je l'avais pressenti, il était
doué ce gars, promis à un grand avenir !
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