vendredi 29 mai 2015

713 Liens de discipline domestique (168 ème édition)

Au menu cette semaine : Ces choses qui se passent dans notre dos


Assez souvent d'ailleurs. Au début j'avais du mal à m'y faire. Il y a un côte particulièrement vexant, de devoir exposer son fessier fraîchement châtie, rouge comme pas permis et... douloureusement brûlant au bon plaisir de la personne qui vient d'appliquer la discipline.

Que ça te serve de leçon, isabelle !

Ben oui, on ne fait pas la fière en entendant dans son dos de petits sarcasmes, pendant que l'on essaye tant bien que mal avec la culotte ou pire encore avec le string et le jeans autour des chevilles de rejoindre le coin. Interdiction de se retourner, cela va de soi. « Démarche » qui fertilise hautement l'imagination.

Mon homme dans mon dos, que fait-il ?

A vrai dire j'ai tout imaginé au fil du temps, de la mine réjouie ou de la hilarité sur le visage à la vilaine main qui se glisse dans son pantalon. Cette dernière idée m'est venue un jour quand sachant mon homme sorti de la pièce pendant un moment, je n'ai pas pu résister de me passer ma main entre mes jambes, étonnée à quel point ma correction m'avait fait de l'effet... malgré moi.

En gros, pendant ma correction, je n'ai pas l'impression de vivre une situation excitante.

Je me sens... corrigée, remise à ma place. Par contre l'inconscient travaille et doit fournir matière à s'extasier pour mon entrejambe. Et cela se voit parfois en allant au coin.

Alors tu as pris du bon temps sur mes genoux , isabelle ?

Là, j'ai envie d'exploser, de gifler mon homme. Il vaut mieux donc que je me dépêche pour rejoindre mon coin et de me calmer. Et à vrai dire cela me réussit. Je compose dans ma tête mes sujets pour mon blog, je structure ce que j'ai à faire dans la semaine et surtout je fonds vite en gratitude envers mon chéri. Je n'ai pas de doute, la fessée que je viens de recevoir m'a fait beaucoup de bien.


Combien de fois quand j'étais ado, j'ai imaginé une situation qui rejoint le pur classicisme freudien, un fantasme sur un mode « une copine est punie ». C'est la position de la spectatrice qui rend la fantaisie agréable et qui permet en même temps de libérer une phénoménale quantité de sentiments haineux envers la vraie personne qui sert de (fille) modèle. Une de mes copines éloignées, une que je ne peux pas saquer. Dans un fantasme il est facile de trouver un prétexte pour arriver à l'improviste.

Comme tu vois isabelle, ta copine reçoit encore la fessée quand elle n'a pas été sage...

Ah quel instant jubilatoire ! Joie de courte durée, toutefois. Subitement un sentiment de jalousie de ma part. Je me souhaite à la place de ma copine. Je la jalouse de la fessée qu'elle reçoit....


Pour finir une petite pensée à Constance et Simon qui ont retiré leur blog du net.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





Viser le bon endroit (petit clip)
















Histoire de pantoufle (petit clip)



4 commentaires:

  1. J'aimais bien mettre au coin ma dulcinée après une fessée. Ensuite j'allais travailler tout en jetant un coup d’œil pour savoir si elle gardait bien les mains sur la tête. Souvent j'étais nu à mon bureau, et elle aussi regardant le mur et méditant sur sa mauvaise conduite. Des longs moments silencieux où j'usais sa patience, et elle la mienne. Parfois je lui disais : "que pensez - vous de cette fessée Agnès?", "Que je l'ai bien mérité Maître", "Appelez moi Bertrand, je déteste que l'on m'appelle Maître" (C'est vrai) Silence "Je crois que j'en mérite une autre." À ce moment j'avais du mal à me concentrer sur ce que j'avais à faire (mais qu'est ce que j'avais de mieux à faire que la corriger?) mais je me remettais au travail. "je crois aussi que cette fessée n'était pas suffisante." Agnès se mettait à tortiller de la partie douloureuse de son corps et qui aller le devenir encore plus. Mouvements de bassin très expressif, dont elle savait à quel point il me faisait de l'effet. Parfois je m'approchais le plus silencieusement et la frôlais du bout des doigts et des lèvres en commençant par la nuque mais il n'y avait rien de systématique, je laissais aller l'inspiration. D'autre partie de mon corps pouvaient caresser d'autres parties plus secrètes du sien. Dans ces cas là la 2e fessée n'arrivait pas et le fesseur devenait beaucoup moins redoutable, se prosternant devant le popotin chatié.

    RépondreSupprimer
  2. Merci pour ces belles confidence cher Monsieur Bertrand. Je vous vois familier avec la poésie du coin. Il en va de soi que parfois chez nous aussi le coin perd sa « chasteté » pour une raison ou une autre. Mais bon, cela reste exceptionnel. Par contre, il nous arrive de discuter, moi avec le nez vers mon coin et mon homme dans mon dos. Je trouve toujours édifiant de parler de choses sérieuse en exposant mes fesses rouges. Cela crée un rapport d'autorité que j'aime beaucoup...

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour,
    Ah, le coin, c'est toujours beaucoup d'émotions pour Madame et Monsieur. Chez nous aussi, il arrive que nous discutions de chose et d'autre, alors que madame a les fesses bien rouges après avoir reçu une bonne fessée.
    Une autre façon est que Madame soit obligée de rester cul nu après la fessée pour continuer à évoluer dans la maison. Effectivement, dans un cas dans l'autre, le rapport est marqué par l'autorité de celui qui a donné la fessée envers celle qui l'a reçue, et cela semble satisfaire ma femme.
    Milu

    RépondreSupprimer
  4. Je comprends votre dame, cher Milu! J'aime bien parfois faire du ménage ou de l’entretiens avec me fesses rouges à l'air. Cela permet de méditer en profondeur sur mes mauvais comportements tout en me délectant du trouble que je cause à mon homme qui me regarde.

    RépondreSupprimer