...un
corset noir se porte avec un fessier de plus rouge !
Pour ce il convient le matin quand je
me pomponne de rester sans jupe et string. Puis ,une fois mon visage
mis en valeur, c'est à Monsieur de s'occuper des finitions. Selon la
devise :
Il faut
souffrir pour être belle,
je dois me présenter pour un
traitement qui relève plus du vice que d'un désagrément. Penchée
en avant, les jambes écartées, mes mains autour de mes chevilles,
nous débutons par une minutieuse vérification de mon hygiène
intime. Inspection fort agréable. Déjà parce que mon chéri est
très friand de...
...cette
position qui ne laisse aucune possibilité aux cachotteries !
Et sous prétexte de discipline
domestique il peut s'adonner en toute impunité aux jeux de docteur,
version adulte. Passe en revue ma réactivité au doigt examinateur
qui essaye d'établir un lien entre caresses du petit bouton et
humidité d'un entrejambe parfaitement épilé. Ne manque pas non
plus une promesse avec son pouvoir suggestif de me beurrer
copieusement l'un de ces jours l'orifice mignon pour une
souplesse sans faille avant de me pencher sur la table du petit
déjeuner.
Étant très susceptible à un discours
viril (de la part de mon chéri !), le cqfd
(concernant l'humidité de mon entrejambe) ne se fait pas attendre.
Le
terrain ainsi préparé, il s'annonce propice à une longue et
copieuse fessée.
L'accent et mis sur une belle teinte
rouge Stendhal qui devrait par la
suite contraster avec la noirceur de mon corset. Interdiction sous
peine d'aggraver mon cas de déconcentrer Monsieur qui prend son
temps pour m'installer sur ses genoux avant de passer aux travaux
manuels.
Et en avant la
musique...
C'est un homme comblé qui s'applique
sur mon fessier dans une action rythmique, accompagnée d'une belle
sonorité. Étant été jeune à une époque qui connaissait encore
les châtiments corporels, la fascination de Monsieur s'est vite
portée sur les fessées que recevaient les grandes filles de son
entourage. Derrière portes fermées certes, mais indiscrètes
parfois
au niveau d'un son caractéristique
propice à l'imagination. Tandis que les punitions infligées aux
garçons s'apparentaient pour lui à un héroïque acte de courage,
celles des filles prenaient un aura d'un frissonnant événement, lié
à la nudité ce qui se cachait habituellement sous leurs jupes. Puis
un jour cette fantaisie de la fille honteuse pendant son traitement
pris une brusque fin. En consultant une revue de charme, Monsieur
découvrit une dame en corset qui présenta son fessier tout nu avec
une arrogance frôlant l'obscène :
Elle en
mériterait bien une pour ce comportement inadmissible...
« En » dans le sens d'une
fessée, bien entendu. Apparaissait ainsi le fantasme de l'élégante
dame qui remplaça sans regret les grandes filles pas sages.
Il doit y penser pendant qu'il me
rougit soigneusement le derrière
dans mon beau corset de cuir. Il compte
bien de savourer l'acte et prends son temps. Des petites pauses entre
des salves pour promener en toute impunité ses doigts dans mon
entrejambe. Connaissant a fond son terrain, mes fesses se couvrent
vite de chair de poule, puis des sensations de plus voluptueuses se
propagent dans mon bassin. Il ne fait aucun doute pour moi que la
fessée préalable rend ma peau plus sensible aux caresses et très
vite je remplace la « musique » accompagnante d'une
solide déculottée par des soupirs lascives et éhontés. En
alternant fessées et attouchements savants je navigue sur un océan
d'intenses émotions... qui émanent de mon entrejambe. Mon seuil de
sensibilité douloureuse s'abaisse ce qui permet de gagner quelques
nuances plus rouges encore sur mon derrière. Et pour mériter ma
détente orgasmique, il faut d'abord passer d'abord par un bouquet
final sans retenue. C'est seulement une fois revenue à moi que je me
rends vraiment compte de l'état de mon postérieur.
Le
feu est au rouge vif. Impossible de m'asseoir pendant des longues
heures. Impossible aussi de me vêtir.
Le sourire sur les lèvres, Monsieur me
tend le string assorti à mon corset en cuir. Comme c'est bien vu !
Nous sommes donc partis pour une matinée sans jupe. L'image que me
revoie le grand miroir de mon boudoir est plutôt flatteuse. Le noir
brillant du cuir contraste avec le profond rouge de ma peau. Image
visiblement irrésistible aux yeux de mon chéri qui affiche pour sa
part un jeans prêt à exploser. Le brave, il mériterait bien une
belle récompense pour tant d'attention à ma petite personne...
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Je
profite pour la mise à jour annuelle de ma rubrique « Anecdotes
et récits » !