mercredi 18 octobre 2017

1054 Une jupe décidément trop courte

C'est pour la cueillette des champignons, isabelle !

Il arrive, pas trop rarement, que Monsieur rentre à la maison avec un joli paquet cadeau. Pour moi ! C'est un homme habituellement sur de lui. Quand il s'agit de prendre une décision importante. La bonne décision au bon moment. J'y ai pris vite habitude et pour cette raison il est le chef à la maison et non pas à cause de notre penchant pour la DD. 

Mais parfois en me tendant son cadeau je vois une hésitation dans ses yeux. Cette hésitation que l'on trouve chez les ados qui ne savent pas encore comment s'y prendre avec une fille. Alors je comprend que Monsieur s'est fait un cadeau surtout pour lui. Ses yeux brillèrent tellement que j'ai tout de suite eu une idée de quoi il s’agissait. Un petit truc pour stimuler sa libido. En défaisant l'emballage je tombe sur jupe, très jolie, mais audacieusement courte. Voila qui ne correspond pas à mes habitudes vestimentaires. Ce truc-là risque de dévoiler au moindre mouvement la naissance de mes fesses. Notamment parce que pour ce matin nous avons la cueillette de cèpes au programme.

Tu veux que je mette cette jupe pour t'accompagner dans les bois ?

Monsieur connaît parfaitement ma taille. La petite jupe me va comme une gant. Sa qualité première semble être l'exhibition involontaire. Je ne suis pas dupe en cernant bien le potentiel de séduction volontaire. Mais ce matin Monsieur est tenace.

Pas besoin de string, isabelle. De toute façon pour ce que ça couvre...

J'essaye de protester pour la forme, mais Monsieur sort les meilleurs arguments.

Pense à tes idoles les Kardashians, Katy Perry ou Nicki Minaj...

Effectivement cela se tient. Toutefois je ne lui propose pas de mettre sous ma jupe un collant résille. Non, non ! Je suis sagement les conseils de mon chéri. Loin de moi de vouloir briser une rêverie de mon grand garçon. Heureusement il fait encore assez chaud le matin dans les bois. Je suis nulle pour découvrir les champignons, mais je sais me pencher avec insistance sur chaque trouvaille de mon homme. Avec mon petit panier en osier et mes bottes je me sens comme un chaperon rouge des temps modernes. Nous sommes d’excellente humeur et je réagis par des rires les plus dévergondés à chaque fois que je sens la main de mon homme sous ma jupe. Parfois il se laisse aller pour m'appliquer de sonores claques avant de décréter que mon fessier aurait besoin d'être réchauffé. Rien de plus pénible qu'un rhume en début d'automne :

Ben voyons !

Les bûcherons, certainement des complices des amateurs de la fessée, savent créer des endroits idéals et discrets. On ne sait jamais qui se promène en pleine forêt et nous avons pas trop envie de nous donner spectacle. Ceci dit le bruit d'une fessée appliquée avec conviction suffit pour annoncer clairement ce qui se passe. Alors posé sur un tronc d'arbre, Monsieur n'a pas besoin de se fouler. Pas besoin de me déculotter, ni même de remonter significativement ma jupe. On dirait une tenue inventée pour un fesseur fainéant. Mon homme a raison. J'ai effectivement les fesses un peu froides et je savoure la caleur qui se transmet via sa main. Il commence tout doucement, puis sait monter en puissance.

Je trouve un charme particulier à la fessée en pleine nature. La fessée étant un fantasme originaire, c'est un retour aux source de la découvertes des sensations qui titillent. Un retour aux sources quand dans l'enfance l'imagination apporte la preuve qu'elle sache intervenir sur les émois dans la petite culotte. Je me revois à l'école en serrant mes cuisses, dans les trams et même à la fac en écoutant le prof nous expliquer l'appareil mathématique pour calculer les trous noirs. Ah ces hommes de savoir. Il m'ont toujours fait craquer. Je vie avec un qui outre sa passion pour la science, voue un culte à la discipline stricte. Vie saine et bonnes manières sinon c'est pan-pan cucul. Parfois c'est caricatural. J'ai été corrigée à plusieurs reprises pour insolence envers ma belle-mère par exemple. Cul nu au bureau de Monsieur avec une longue heure au coin en fin de spectacle. Pour bien me remettre les idées en place. J'aime les irrationalités de mon chéri. J'ai aussi une bienveillance sans fin envers mes propres irrationalités qui me titillent. Bien que je sache prendre du recul entre une morale au service de la libido et une morale imposée par le sens commun, je suis la première qui réclame une correction de taille pour un rôti brûlé ou un parquet mal ciré.

Selon mon homme la fessée en pleine air oxygène autant les poumons que la tête. Surtout quand je commence à haleter parce j'ai besoin de gérer la brûlure dans mes fesses. Monsieur me fesse avec parcimonie. Quelques courtes minutes est l'affaire est réglé. Ici en pleine forêt, il n'hésite pas de balader sa main. Comme c'est agréable de se faire tripoter avec les fesses en feu. Je sens son envie de me faire jouir et je me laisse aller en toute confiance. Parfois on entend des bruits bizarres dans nos forêts. Comme mon long et fort cri de plaisir qui annonce la fin d'une belle matinée. De nouveau sur les jambes, je n'hésite pas à embrasser mon homme et de me frotter contre sa virilité au grade à vous. Sensation de plus plaisante que je prolonge en lui prodiguant un massage en recourant uniquement à mes fesses. Pour cette tache aussi, ma nouvelle jupe se révélé à la pointe du faisable.En me penchant en avant mon derrière tout nu et ultrasensible, vu la fessée que je viens d'encaisser, rencontre un sexe d'homme caché sous une épaisse couche de coton jeans. Matinée plutôt classique. Monsieur ouvre sa braguette et me prend penchée contre un arbre. Encore des bruits peu habituels dans ce bois en montagne. Puis nous continuons notre cueillette comme si rien ne sétait passé. Seul mon fessier, outrageusement rouge, témoigne de notre récréation à chaque fois que je me penche pour couper un champion...

13 commentaires:

  1. Je découvre, chère Isabelle, au détour d'une phrase qu'il peut vous arriver de passer une heure au coin! Moi qui y passe rarement plus de 10 min, voilà qui m'impressionne! Madame m'y envoie pour me calmer (dans tous les sens du terme d'ailleurs) et jamais cul nu que ce soit avant la fessée (ce qui décuple mon angoisse) ou après (pour méditer sur mon erreur et, si besoin, retrouver une attitude décente). Je note aussi qu'il ne fait pas bon manquer de respect à votre belle mère chez vous. Je serais curieux de lire de vous un petit récapitulatif (ou de typologie) des fautes qui sont sanctionnés chez vous. Chez nous, c'est essentiellement (1) ma mauvaise humeur, (2) mes manques de respect envers Madame, sa famille ou ses amis ou (3) un défaut d'obéissance envers elle qui sont punis. Il n'y a pas de fessée pour des petites erreurs du quotidien du style vaisselle cassée ou rôti brulé (ce qui pourtant m'amuserait). Lorsque Madame est sur un mode de fessée ludique, c'est plutôt à travers d'une définition très extensive des 3 catégories de fautes cités que cela se passe. Il arrive aussi que Madame, pour une raison qui ne me concerne pas totalement, soit de forte mauvaise humeur et qu'elle décrète (voire que je propose) qu'elle a besoin de se passer les nerfs. Elle peut alors être fort sévère mais les choses finissent généralement bien pour moi, Madame ne tardant pas à tendre les fesses à son tour en me demandant de me soulager vite et fort. Cela détend tout le monde et replace la bonne humeur au sein du foyer

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    1. Je remarque cher Monsieur d'Arthur d'avoir écrit de centaines de textes en restant flou sur les motifs de la plupart de mes punitions... rire ! Je vous avez déjà promis un récapitulatif de mes mauvais comportements qui méritent punition sous forme de post, mais il me manque le temps car j'aimerais parler également des constructions fantasmatiques qui se cachent derrière. Disons pour l'instant que nous nous basons assez peu sur une morale traditionnelle (comme mes insolences envers ma belle-mère), mais sur une morale irrationnelle qui comble mon besoin de punition et le besoin de punir de mon homme. Alors on ne se moque pas du rôti brûlé, des plat non fini, des expéditions nocturnes au frigo, la visite de trop chez le coiffeur. En suite toutes les formes de mauvaise fois, de refus catégorique, d'insolence, d'effronterie, de provocation sexuelle qui déconcentre mon homme. La liste serait encore longue... Par contre pas de mauvaise humeur de ma part ! J'ai une joie de vivre communicative et inépuisable que j'ai légué d'ailleurs à ma fille.

      Notons que je conçois pas mal de mes textes au coin parce que... les circonstances s'y prêtent. Alors une heure (ce qui tout de même très exceptionnel) passe très vite. Voyons dans le coin surtout le plaisir de « mon grand garçon » de visualiser en toute tranquillité mon derrière. Et moi j'aime l'idée de sentir ses yeux dans mon dos.

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  2. Bonjour Isabelle,

    J'espère que la cueillette a été fructueuse et l'omelette... délicieuse ! Il faut s'y connaître en champignons.
    Oui, je vous imagine bien vêtue en "Chaperon Rouge". Et gare au... loooooooup !!! "Promenons-nous dans les bois..."
    Vous n'avez pas été importunés. C'est l'essentiel, au fond.
    (ca me rappelle "la fessée au bois" que je vous avais illustré en 20015 pour votre Blog d'alors: Discipline Domestique. Rires.)
    Mac'

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    1. Je me souviens bien de votre joli dessin, cher Monsieur Mac-Miche. Il est sur mon blog de maîtresse isabelle. Le sujet revient chaque année, nous adorons les promenades en forêt. Pas de promeneurs à priori là où nous aillons, mais nous nous méfions des chasseurs... myopes qui présentent un réel danger comme en apprend tristement dans les actualités. Peut-être le bruit d'une solide fessée censée les fait partir...

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  3. Ce qui est sans doute très différent, entre une fessée donnée à une dame et une fessée donnée à un Monsieur, c'est l'attrait suscité par une paire de fesses féminine et... masculine. Je ne dis pas que les Dames ne sont pas sensibles aux postérieurs de ces Messieurs, mais il me semble que c'est sans commune mesure avec la passion - voire l'obsession - que les fesses d'une Dame peuvent susciter chez un grand garçon. Cela offre un terrain privilégié, je pense, au développement des jeux de fessées moins disciplinaire et plus ludique du style de cette charmante cueillette au champignon à laquelle vous vous êtes livrée de bonne grâce, consciente de votre potentiel de séduction côté pile. Moi qui voue un culte aux fesses de ma compagne, qui ne me lasse pas de les regarder, de les embrasser, qui adore y poser mon visage, y coller mon nez et, à l'occasion, leur servir de coussin, je ne déteste pas non plus les voir s'agiter sous quelques claques bien senties, les voir se strier de rouge sous la strap. Madame autorise parfois ces pratiques : quand elle juge elle-même qu'elle s'est mal conduite (ce qui nous fait quoique très rarement inverser les rôles, à ceci près que ce n'est pas moi qui décide ce qui est mérité ou non mais toujours et seulement Madame) ou effectivement lorsqu'il s'agit de s'amuser un peu. Depuis quelques semaines, Madame apprend une nouvelle langue et elle me demande parfois de la faire réviser. Pour elle, je joue donc au professeur sévère. Ceci dit, elle n'aime pas que je me montre trop sadique (ce qui est ma tendance) et sait vite (après la leçon) me remettre les pieds sur terre. Une des plus grosse corrections que j'ai reçue récemment était d'ailleurs après une séance de révision. Elle m'a bien fait comprendre que si on peut jouer au professeur et à l'élève, je me dois de rester bienveillant en toute circonstance et de ne pas abuser de ma position. Samedi dernier, je l'ai appris à mes dépends : Madame a joui seule et moi je suis allé au lit, frustré et les fesses plus rouges et douloureuses que celles de Madame ne le seront jamais

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    1. Je pense que la différence de l'attrait pour les fesses se base sur le fait que la nature a prévu une pulsion de pénétration chez les messieurs, tandis que pour les dames le plaisir est plutôt de l'ordre esthétique, mais aussi sécurisant. Fesses solides et musclées égal mâle protecteur. Enfin, rassurez vous mon homme aussi fait parvenir toutes les attentions imaginable à mes fesses. Des plus tendres aux plus sévères sans tomber dans l'abus : C'est un garçon qui n'a pas habitude d’abîmer son jouet favoris. Même s'il aime marquer dans nos jeux éducatives ou tacher dans la vanille...

      Je comprends bien votre dame. La fessée au service de son instruction est un fantasme de plus utiles et de plus répandus qui met en relief la pulsion de savoir/interdiction de savoir... biblique. Construction complexe se basant sur le fantasme précédent voir/interdiction de voir.
      Retenons que ce fantasme est avant tout au service du narcissisme de la dame (je sais de quoi je parle) et non pas comme chez bien de messieurs au service de leur libido. J'adore l'enseignement à l'ancienne, mais gare au monsieur si sa libido passe avant le fait que j'acquière de réeles connaissances...

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    2. Pour ma part, quand Madame me demande de l'aider à réviser, je prends mon travail très à coeur et je ne me laisse pas déconcentrer par le spectacle qu'elle m'offre que je sais apprécier en toute discrétion. C'est d'ailleurs ce qui doit vexer Madame, couplé au fait qu'elle n'aime pas se faire sermonner. Dans la vie quotidienne, il est dit que je ne dois jamais lui faire de "reproches" même s'ils sont justifiés (ce qui est rarement la cas) et que je dois uniquement présenter les choses sous forme de "doléances". Madame tient à cela et c'est la cause de fréquentes et sévères mises au point de sa part (cela fait partie des "manques de respect" envers elle qui sont punis comme telle mais il s'agit en fait de me faire passer ma facheuse habitude à partir sur mes grands chevaux pour un rien). C'est ainsi que ces derniers jours, la proposition de Madame de la faire réviser a tourné court et je me suis systématiquement retrouvé dans la position de l'arroseur arrosé, contraint en fin de leçon de baisser mon pantalon pour "remettre les pendules à l'heure", Madame me reprochant de prendre mon rôle de professeur trop à coeur et d'avoir la main trop lourde. Hier, je lui ai poliment expliqué qu'elle me mettait dans une situation difficile consistant à la fois à me demander de sanctionner ses erreurs et à me reprocher de le faire. Elle a convenu en riant qu'elle était une élève capricieuse qui attendait seulement de son professeur qu'il la félicite pour ses progrès. Tandis qu'elle me prenait dans sa bouche, elle m'a fait avouer que j'aimais qu'elle se comporte en élève capricieuse et comme une petite garce puis, une fois son affaire terminée et mon excitation retombée, elle est allée chercher le... loopy johnny pour achever la démonstration. Comme vous noterez, n'est pas professeur qui veut chez nous et mieux vaut ne pas vouloir prendre la place de Madame même lorsqu'elle le réclame... Tout cela n'étant bien sûr pas pour me déplaire, conscient que s'il y a quelqu'un qui a fondamentalement besoin de leçon chez nous, ce n'est certainement pas Madame et qu'il est finalement bien que chacun reste à sa place. Sur cette confidence, je vous souhaite un très agréable week end

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    3. Instruire une dame qui se dit capricieuse n'est pas une affaire aisée pour le professeur. Surtout qu'il soit tenu à un résultat convaincant, voire un résultat qui dépasse les espérances de la dame. Les fantasmes à structure narcissiques ne présentent pas la même structure que ceux bases sur la libido et ce qui peut sembler aux jeux de Monsieur le professeur une contradiction ne l'est nullement pour la dame. J'ai lu donc beaucoup de plaisir vos confidences cher Monsieur Arthur ont le mérite de présenter un sujet vieux comme le monde sous un angle nouveau : Le professeur sous la baguette de son élève...

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  4. Ah les sorties bucoliques en forêt! Les odeurs de champignons, les bruissement du vent dans les feuilles , les bourdonnements d'insectes, les chants des oiseaux... Vous ajoutez quelques claques retentissantes sur des fesses rebondies, et c'est le paradis !

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    1. Vous y êtes parfaitement cher Professeur Max. J'ai l'impression que vous avez l'habitude d'amener vos élevés récalcitrantes en sortie découverte dans les forêts... rire !

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    2. Bonjour Isabelle,

      vous avez raison. Rires.
      Ah les "leçons de choses" en forêt... L'éveil à Dame Nature et à ses merveilles cachées. Que d'agréables souvenirs...
      Mac'

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  5. Madame mon épouse a appris le français et aime le mot "trousser" et les images à laquelle il renvoie: la femme culbutée, jupes relevées, jambes écartées, sur un talus; la femme penchée en avant ou à genoux, les mains de son partenaires sur les hanches, son membre dans l'orifice adéquat; la même posture mais pour le martinet ou la pantoufle.

    Pour être troussée et "prise", il est plus pratique de ne pas porter de culotte (et puis, surtout en été, il est bon de laisser aérer certaines parties), alors que pour la fessée, la culotte qui descend fait partie de la honte. Toutefois, ne rien porter dessous expose à des risques d'"accident", aussi ne fait elle cela qu'avec des jupes ou robes suffisamment longues et peu susceptibles de se relever spontanément.

    Nous préférons toutefois en général les ébats totalement déshabillés (plus de contact), mais madame aime bien la petite honte de ne montrer que son postérieur et éventuellement son sexe.

    Vous n'avez pas peur des accidents?

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  6. Non je n'ai pas peur des accidents cher Monsieur Pécan, car deux possibilités se présentent:Soit mon homme me demande d'oublier la culotte et je sais par conséquence que va-t-arriver un accident façon droit de seigneur. Soit c'est moi qui commet une négligence pour vérifier se mon homme saurait la découvrir et gare à lui si cela se passerait inaperçu...

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