Personnellement
je trouve les uniformes émoustillants !
Je me suis fait un plaisir dans le
temps pour trouver la panoplie complète de la parfaite étudiante.
Commencé par la petite culotte en coton blanc, imprimé « jour
de la semaine » qui me sculpté un entrejambe façon
« tirelire » que mon
homme apprécie tant. Je passe sur sa manie de me glisser un doigt
sous l'élastique pour tester la douceur de ma peau. J'ai
l'impression que épilation intégrale décuple son plaisir pour
faire des fouilles. Moi aussi, j'ai des petites manies. J'aime
vérifier son état de... virilité. Surtout quand il s’apprête
pour me corriger. C'est en le frôlant doucement et en me frottant un
peu contre lui que je pousse mon cris de victoire !
Suivi de mon rire d'insolente gamine.
Et l'insolente gamine, je la représente bien. J'ai mis du temps pour
oser les longues chaussettes blanches qui vont jusqu'au genoux. Je ne
suis pas un homme pour pouvoir cerner en quoi c'est torride de voir
une femme adulte là dedans. Par contre je n'ai eu aucun mal pour
adopter un chemisier blanc, très moulant, en combinaison avec une
jupe plissée assez courte. Style élève irrévérencieuse qui
essaye de draguer son prof. Visiblement je suis tombée dans les
goûts de mon homme et j'ai dû à maintes reprises porter cette
tenue.
Pour
mettre en relief mon acceptation d'une discipline stricte qui passe
aussi par la tenue.
Je trouve le port d'un uniforme
érotisant. Certes, l'habit ne fait pas le moine, mais il aide à se
mettre dans une situation. Puis l'effet de chaussettes longues et
d'une ample jupe plissée est avant tout physique, provocant une
sensation inhabituelle et étrange. Surtout quand on est habituée
comme moi de porter des bas sous des jupes droites. Impossible alors
d'oublier que l'on porte un uniforme. La culotte en coton aussi
change les sensation ressenties à rapport de mes éternels strings.
L'approche aux coups de vents n'est pas la même. S'ajoute l'épée de Damoclès, car ma sanction ne s'arrête
pas à un changement de tenue.
Je
sais très bien que je seras corrigée au martinet à 18 heures pile.
C'est autour de cette heure fatidique
que se construit ma pensée. Parfois j'oublie, pour me souvenir
aussitôt. Préparation d'un instant précis auquel va se passer
quelque chose de bien précis sans pouvoir y échapper. Au plus tard
à 18h15, je vais me trouver au coin, mes fesses striées par le
martinet et mon maquillage coulée. Car en digne étudiante je n'ai
pas manqué de chanter haut et fort ma contrition. Cela débute
souvent par des larmes de rage qui changent au fil de ma fessée en
larmes qui purifient l'âme et l'esprit.
C'est
le but de ma punition : être à nouveau en paix avec moi-même.
Toutefois au fur et à mesure que
l'heure avance, ma nervosité augmente. Voila ce qui se ressent et
il n'est pas rare que j'aie de plus en plus de mal pour tenir ma
langue dans ma poche. Sans le vouloir je deviens insolente et sortent
des mots de ma bouche que je regrette à tête reposée. On est en
rien dans un jeux. Nous sommes dans un authentique rapport d'autorité. Mon
homme, détendeur de cette autorité à prononcé une punition à mon
égard que je prends très au sérieux. Certes je peux revendiquer
mon droit de femmes adulte, mais au fond de moi je sais que cette
punition me fera du bien. Enfin, je me vante, je me vante !
Quand il s'agit de régler une note qui s’annonce salée, je ne
fais plus du tout la fière. Il y a des jours que Monsieur ne me juge
pas digne du martinet.
Tu va passer
sur mes genoux, isabelle !
Ma culotte baissée, parfois enlevée,
il réjouit de ma nudité partielle, car une jupe ample se retourne
sans le moindre effort. Quelque fortes claques comme entrée en
matière. Nous ne cherchons pas le plaisir d'un long et progressif
échauffement, mais bien une punition. Je serre mes fesses pour
résister par une surface dure à l'assaut de Monsieur. Mais ma
résistance est de courte durée. Dans la pièce résonnent les
claques entrecoupées par ma forte respiration. Quand je suis punie
je n'ai aucune fierté. Je me laisser aller sans la moindre
réflexion. Tout est une question de feeling. J'ai les larmes
faciles, souvent hystériques, mêlées à quelques grossièretés et
insultes. Pendant que les claques pleuvent, Monsieur se prend un
déluge obscénités :
Va
te faire...
Il reste calme et moqueur. Impossible
de le déstabiliser.
Je devrait
t’enregistrer isabelle...
On ne parle rarement de la satisfaction
de celui qui applique. D'un côté - vu ma position - je sens le
plaisir que prend Monsieur au travers de son pantalon. Mais j’entends
aussi sa joie de me faire la fête au travers de sa voix. Avec l'âge
il s'adonne de plus en plus à quelques interludes pervers. Il se
peut qu'il me glisse un doigt entre mes jambes pour vérifier l'effet
de mon châtiment. Comme la biochimie humaine est étrange. Je peux
être luisante comme après un long préliminaire coquin sans
toutefois ressentir la moindre jouissance. D'où ma colère quand
j’entends :
Tout va bien
ma chérie ? Est-ce que notre écolière nous prépare un bel
orgasme.
A vrai dire, j'adore ses moqueries.
Elle relativisent notre discipline domestique. Elle me rassurent sur
les impulsions sadiques de mon homme. En homme intuitif il donne
toujours la préférence aux mots et non pas à la force pure. Ce qui
ne veut pas dire que je ne regrette pas mes actes qui ont causés ma
punition. J'ai tellement mal aux fesses que je retiens parfaitement
ma leçon pour un bon bout de temps. Monsieur sait que certains de
mes mauvais comportements sont inguérissables. Malgré de copieux
châtiments. D'autres mauvaises habitudes - et c'est là que les
choses deviennent intéressantes – ont radicalement changées.
Voila qui me fait dire que la discipline domestique livre de bon
résultats quand le terrain est favorable sans toutefois provoquer
des miracles.
Au coin
isabelle. Frotte-toi tes fesses. Elles ont grand besoin...
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVotre goût immodéré pour les uniformes fait toujours plaisir à voir.
Votre rôle de l'étudiante malicieuse et séductrice m'a fait penser au film "l'Ange Bleu".
Votre compagnon endosse le rôle d'une sorte de Professeur Unrath au tempérament quelque peu "paternaliste" et qui se met alors en devoir de remettre sa très turbulence élève dans le "droit chemin".
Vous avez un certain talent pour la mise en scène. 10/10 !
( imaginons Maitresse Isabelle en tenue de gouvernante fessant sur ses genoux un de ses turbulents élèves vêtu en costume de gentleman des Highlands. Voilà qui serait original. Rires)
Mac-Miche.
Euh... Marlène n'est pas une étudiante, mais une chanteuse de cabaret, non?
RépondreSupprimerBonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerC'est juste.
Malgré tout, j'imaginais bien le côté provocatrice recadrée par une main virile et sûre de ces principes. Naturellement.
Mac'.
Un petit commentaire en passant, à propos de "l'étrange biochimie" de la discipline qui vous rend luisante sans pour autant vous apporter de jouissance : à titre personnel, j'ai cette (très) mauvaise habitude de me mettre au garde vous lorsque Madame me bat, si bien que ma compagne a récemment trouvé une utilité à la cage de chasteté (que je ne porte pas régulièrement, étant entendu que je doive rester sage par moi-même). Désormais il arrive à Madame de me corriger avec celle-ci, le fait de ne pouvoir exprimer mon plaisir, rendant, croyez-moi, la fessée beaucoup plus douloureuse. Sans cage, je ne pourrais pas dire que j'ai du plaisir mais avec la cage, ça devient un moment d'autant plus pénible. Bien entendu, je ne m'en plains pas car j'apprécie que Madame sache se montrer sévère lorsque je le mérite
RépondreSupprimerJe pense cher Monsieur Arthur que je cherche dans la discipline non pas une jouissance, mais un état entre exaltation et émoustillement. Sorte d'enthousiasme libidineux facilement visible et auquel mon homme tient beaucoup ceci dit. C'est un consentement non verbal, exprime par mon corps pour rassurer un grand garçon qui a appris dans sa jeunesse que seul les vilains garçons tapent les filles...
RépondreSupprimerMerci pour votre témoignage sur la cage de chasteté qui contient des éléments que j'ignorais pour des raisons évidentes... rire ! Le garde à vous me semble une réaction naturelle parfaitement compréhensible, car ne nous leurrons pas : Sans les méandres de la libido pas de DD ! C'est aussi simple que cela. Toutefois je comprends la réaction de votre dame. Le garde-à-vous brise en quelque sorte la magie d'une punition. Il peut aussi être perçu comme un « geste » d'insolence mal placée...
Effectivement, il me semble qu'on a pas à montrer son contentement lorsqu'on est puni, sinon, c'est donner l'impression qu'on fait des bêtises pour avoir le plaisir d'être fessé, ce dont ma compagne à horreur et qui la pousse d'ailleurs à varier les châtiments (lignes d'écriture, sport etc.). Ceci dit elle n'est pas totalement insensible à l'effet qu'elle me fait avec un loopy johnny en main puisqu'il a pu lui arriver d'interrompre une correction pour profiter de mon état avant parfois... de reprendre les choses là où elle les avait laissées (mais pas toujours). Comme chez vous, les fessées prennent parfois une tournure lubrique (lorsque la faute n'est pas trop grave) mais la temporalité n'est pas la même qu'avec Monsieur183. Ma compagne sait que je crains les punitions qui viennent après une éjaculation, mes fesses étant soudain beaucoup plus sensibles et il lui arrive donc de m'indiquer durant l'acte qu'il ne faut pas que j'imagine sorti d'affaire sous prétexte qu'elle exige une pause. Bien qu'excité par son ton menaçant, je deviens paradoxalement beaucoup plus endurant que d'habitude, car je sais ce qui m'attend après. Madame apprécie mais ce qui doit arriver arrive et je redeviens soudain tout petit devant elle que je supplie bientôt de faire doucement. Cela l'a fait généralement bien rire (et parfois moi aussi) mais ça ne l'empêche pas de faire son devoir en se moquant de me voir soudain si douillet. Après ça, en général, je me sens remis à ma place pour un bon moment car on se sent beaucoup moins fier à se faire punir après avoir joui qu'avant, enfin, à mon sens...
RépondreSupprimerEn vous lisant, il me semble que la stratégie punitive de votre dame porte ses fruit. En appliquant un subtil mélange entre satisfaction libidinale, moteur de la DD et sévérité nécessaire pour que la punition reste une punition. J'aime pour ma part aussi l'effet de la féminité triomphante quand le monsieur devient subitement tout petit devant sa dame. Tout petit dans tous les sens comme implorer la clémence par exemple... Voyez, la dame en charge de la discipline cherche aussi son plaisir et selon mes lectures sur le net il importe beaucoup de voir prendre son mâle habituellement viril et puissant pendant le moment d'une punition une attitude peu glorieuse. Madame goûte pleinement au pouvoir qui bien souvent s'avère enivrant...
RépondreSupprimerMon épouse a des "tenues de punition" inspirées par l'esthétique scolaire. Toutefois, ces tenues étant destinées à être portées dans la vie de tous les jours, y compris au travail, elles ne peuvent aller trop loin dans l'apparence fétichiste ou "uniforme". C'est plutôt l'esprit "jeune fille de bonne famille rangée des années 1960": jupe plissée, culotte en coton, chemisier etc., ou encore, plus rarement, une robe stricte.
RépondreSupprimerMadame part donc avec sa tenue, en sachant que quand elle reviendra elle devra se pencher sur un meuble, jupe relevée (culotte pas forcément baissée dès le début) et recevra le paddle (une planche à découper) ou le martinet.
Quand à l'entrejambe, je suis moi aussi un adepte de la vérification digitale. Trouvez-vous une volupté particulière à recevoir votre mari après une fessée, alors que les mouvements du coït sollicitent les chairs endolories?
Soyons clairs la fessée chez nous n'est pas un massacre de mon derrière...rire. Certes je me plains dans mes textes de leur sévérité, mais c'est surtout pour le plaisir justement de pouvoir me plaindre. Le mal dans mes fesses est par conséquence supportable sans s'apparenter à un simulacres. Je trouve que cet état particulier augmente considérablement ma sensibilité lors de nos galipettes, mais surtout il me désinhibe complètement.
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