(Suite de : L'élégante
dame et son faible pour le martinet )
Le
mari de notre élégante dame prend grand plaisir à corriger
régulièrement sa femme.
On
pourrait même dire qu'il se languit que le besoin de discipline de son épouse se réveille. Il y a des
signes qui ne trompent pas. Une certaine nervosité qui se manifeste
par une irritabilité particulière qui s'apparente à une insolence
post-pubertaire. Elle peste pour un rien, se met en colère noire,
refuse tout échange mesuré.
Il arrive également - bien que rarement - que des gros mots lui échappent. Sa bonne éducation, habituellement sa qualité première, est en chute libre. Cela se remarque et ne pas uniquement par son mari. Il serait erroné de croire qu'elle se plaise dans de telles attitudes. Au contraire, c'est elle la première qui se fait des reproches. Pour remédier à son état elle recourt d'abord aux remèdes maison d'un autre âge, comme le lavement à la camomille ou des suppositoires relaxantes. Elle ne se refuse pas non plus de longues séances masturbatoires dans son boudoir. Avec l'accord de son mari. Voila qui permet parfois de gagner quelques jours. Monsieur pour sa part se contente d'observer dans un premier temps. Littéralement, en assistant au boudoir aux jeux de vilaine main de sa femme. Cette forme d'échange leur convient et le soir venu c'est la fête dans leur chambre à coucher. Pendant que Monsieur enfonce vigoureusement sa virilité, Madame en position de levrette crie sa jouissance à qui veut l'entendre. Dans de tels moments, Monsieur juge opportun de suggérer dans l'oreille de son épouse l'emploi d'une sonore fessée.
Il arrive également - bien que rarement - que des gros mots lui échappent. Sa bonne éducation, habituellement sa qualité première, est en chute libre. Cela se remarque et ne pas uniquement par son mari. Il serait erroné de croire qu'elle se plaise dans de telles attitudes. Au contraire, c'est elle la première qui se fait des reproches. Pour remédier à son état elle recourt d'abord aux remèdes maison d'un autre âge, comme le lavement à la camomille ou des suppositoires relaxantes. Elle ne se refuse pas non plus de longues séances masturbatoires dans son boudoir. Avec l'accord de son mari. Voila qui permet parfois de gagner quelques jours. Monsieur pour sa part se contente d'observer dans un premier temps. Littéralement, en assistant au boudoir aux jeux de vilaine main de sa femme. Cette forme d'échange leur convient et le soir venu c'est la fête dans leur chambre à coucher. Pendant que Monsieur enfonce vigoureusement sa virilité, Madame en position de levrette crie sa jouissance à qui veut l'entendre. Dans de tels moments, Monsieur juge opportun de suggérer dans l'oreille de son épouse l'emploi d'une sonore fessée.
Oh
oui, mon chéri....
Monsieur
connaît l'étrange mécanisme d'apaisement que procure un châtiment
corporel. Il a dû tendre pendant longtemps lui-même ses fesses
dénudées à la médecine maternelle et sais par conséquence ce qui
se passe dans la tête de sa dame. Son mauvais comportement, malgré
une activité conjugale en hausse, montera en escalade pour provoquer
enfin une décharge salutaire. Toutefois avant de sévir, pour avoir
le cœur net, Monsieur imposé à sa femme une confession strictement
ritualisée qui se tient avant châtiment. L'idée qui a été
adoptée par la concernée non pas sans une volupté particulière.
Privée
de ses vêtements mis à part de hauts talons, elle s'adonnera
pendant deux heures aux taches ménagères. Comme par hasard il
s'agit de petits chantiers qui par leur nature particulière exposent
de manière édifiante ses parties intimes sous le regard attentif de
son époux. En signe de modestie, elle s'est auparavant débarrassée
par un rasage soigneux de son ticket de métro. Ce petit geste
renforce son sentiment de nudité et lui apporte l'excitant frisson
d'une obscénité
inadmissible pour
reprendre une expression de la belle-mère concernant la mode de
l'épilation intégrale. Heureusement cette dernière ne se doute
nullement des autres exigences de son fils. Sinon elle serait
peut-être capable de le rappeler à l'ordre malgré son âge adulte.
Il a par exemple un faible pour
que sa femme porte pendant le ménage un bijoux rectal qui lui semble
indispensable pour un bon déroulement des préparatifs de la
confession. Étant un fervent amateur de la sodomie conjugale, rien
que la vue du petit orifice provoque des sueurs de volupté à cet
homme d'une virilité affirmée. Mieux vaut prévenir !
Comment
veux-tu que je résiste autrement à une telle tentation ?
Madame
ne contredit pas son mari. Étant sensible de cette partie de son
corps aussi, elle déguste la délicieuse sensation causée par son
bijoux intime pendant qu'elle cire le parquet. Par conséquence elle
s'applique avec ardeur pour une brillance qui rend jalouses ses
copines.
Mais
seul son mari sait que lueur du parquet et lueur de son entrejambe
sont étroitement liées.
Toutefois
tenant à sa réputation d'élégance, loin d'elle d'avouer ses
pratiques qu'elle estime honteuses. Il suffit de l'entendre en
prenant le thé avec sa belle-mère. Elle ne cesse de pester contre
ces hommes qui demandent à leur femme des rapports peu convenables
en les traitant de pervers. Ce qualificatif, elle le prononce avec
délectation. Petits détails croustillants qui vont surgir pendant
sa confession, en suppliant Monsieur de la pencher plus souvent sur
la table du petit déjeuner.
Pourquoi
crois-tu que je te mette toujours le beurrier devant ton nez !
Il
en va de soi que Monsieur suit les confessions de sa dame avec attention. Sans toutefois
admettre qu'il a horreur du beurre et préfère la vaseline. Bref le
tube de vaseline se trouve désormais dans sa poche au petit matin.
Il a vite constaté que Madame se montre ravie de ces nouvelles
habitudes. La preuve, la vaseline se trouve régulièrement sur la
liste des courses comme si elle craignait une pénurie.
Ajoutons
que Madame est confessée toute nue sur un prie dieu qui orne la
chambre du couple. Un achat en commun, en amoureux dans une brocante.
En se cambrant elle met en valeur son fessier donnant une vue
imprenable sur le bel objet enfoncé entre ses globes. A croire qu'il
maintient Madame dans un état second. Ce qui la rend
particulièrement bavarde. Ainsi sortent maints écarts du bon chemin
dont Monsieur ne la soupçonnait même pas l'existence. Rien n'y
manque, pas même les petites piques lancées à sa belle-mère.
Aucun
doute un châtiment exemplaire s'impose.
A suivre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire