vendredi 30 septembre 2016

942 Liens de discipline domestique (238 ème édition)

Au menu cette semaine : Faire passer la pilule


Il y a une similitude entre petits et grands garçons. Une sorte d'obstination de refuser catégoriquement certaines choses.

Pourquoi ? Parce que...

De l'autre côté pour leurs propres exigences, comble d'incohérence, ils n'hésitent pas d'insister, parfois lourdement. Outre son penchant pour la fessée mon chéri adore sa petite femme intégralement épilée et de préférence dans de jolies tenues qui évoquent un sexy glamour d'un autre âge. Entendons pas là toute la panoplie autour des bas comme les porte-jarretelles, les serre-tailles ou encore les guêpières.

Jeune et amoureuse je n'ai pas hésité de lui donner... satisfaction !

Ce terme convient parfaitement. Alors j'ai abandonné mon gazon anglais, version très court pour un lisse de plus sobre. Puis j'ai adopté dans ma vie privée une façon de m'habiller qui n'a jamais existé au quotidien a part dans les magazines pour grands garçons. Bref je me suis transformée sous mes robes et jupes en paquet cadeaux avec plein de petits lacet, agrafes et boutons à défaire.

Mais jeune et amoureuse ne veut pas forcement dire naïve au point d'oublier mes propres désirs !

Je me suis donc fait un énorme plaisir d'annoncer à mon chéri tout beau tout nouveau que moi aussi j'avais des exigences irrationnelles, des petits trucs chez un homme qui me donnent infailliblement des frissons partout, partout. Il a appris ainsi que je ne compte pas faire ma vie à avec un homme portant une chevelure de hippie. J'exagère bien entendu. Il avait disons une petite longueur. L'idée de passer à l'ultra court ne l'a pas vraiment enchanté. Mais au prochain rendez-vous j'ai eu une superbe surprise. Il est venu me chercher avec une coupe que j'ai trouve très virile, un court de chez court. Et depuis je surveille, car il a tendance de traîner un peu trop avant de passer chez le coiffeur. C'est devenu un jeu entre nous qui nous amuse toujours après tant après tant d'années. Ceci dit je ne manque pas de tendances perverses. Et parce que je sais couper des cheveux, sans me vanter mieux que convenablement, je lui ai annoncé un beau jour que ce sera moi qui lui coupera cette fois-ci les cheveux. Je lui donné rendez-vous dans notre salle de bain et quand il est entré son regard s'est posé sur moi. J'étais habillée seulement d'une paire de très hautes sandales et d'un courte blouse blanche. Il a bien vu que j'étais toute nue en dessous. Bref, il est sortie de la salle de bain avec la boule à zéro, non pas parce que j'avais eu envie de le tondre, mais parce qu'il n'a pas arrêté de me tripoter pendant que j'ai effectué mon travail. Alors vu le nombre de ratures irrattrapable, j'ai dû lui appliquer la tondeuse. Enfin, il est sorti de a salle de bain après m'avoir fait dignement ma fête...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Douleur partagée (petite série)










Quelle résonance (petit clip)













mercredi 28 septembre 2016

941 L'éloge de la levrette

Ne cherchons pas la soumission partout...

...même si cette position y est souvent associée. Pour ma part je l'associe à un plaisir inouïe de vanille qui me permet de garder ma mobilité intacte et de prendre des initiatives, car je ne me sens pas aplatie comme dans le missionnaire. Alors s'il y avait soumission à chercher je la situerait plutôt dans cette dernière position qui permet facilement d'immobiliser la dame. La levrette permet également une inversion des rôles habituelles dans le sens que madame propose et laisse disposer le monsieur dans quelle voie il souhaiterait s'engager. Je garde aussi la mobilité de mes bras et mains pour m'adonner si l'envie me chante à la vilaine main qui accompagne les efforts de mon homme.

Non, non il ne se sent pas diminué dans sa virilité !

Au contraire, il adore ma petite touche du vice. Puis la levrette se prête aussi à des jeux de main de sa part. L'honneur à mes seins par exemple. Même si je n'en parle jamais sur ce blog, je suis très sensible aux douces caresses à cet endroit. Il en va de soi que je ne suis pas opposée à la langue vicieuse de mon chéri. Virtuose à ce niveau, il s'occupe de ma jouissance sans le moindre tabou.

L'honneur à mes fesses aussi. Ben voyons !

J'aime beaucoup, une fois mise en place quelques encourageantes et énergiques claquer sur mon popotin. Ma sensation de douleur vraiment coupée à cet instant, je veux du très fort. A la main bien sur, car pour moi la vraie intimité ne laisse pas de place aux objets. C'est une affaire entre corps qui se procurent mutuellement du plaisir. J'aime quand la chaleur des claques se propage de partout dans mon entrejambe. Quand je ne sais plus faire la distinction lequel de mes orifice se languit de plus d'une pénétration en douceur. J'adore les ébats langoureux sans hâte, des va et viens d'une sensualité torride. J'adore entendre dans mon dos la respiration de mon homme qui s’accélère au fil de l'action. J'adore quand il se fige dans le mouvement et me laisser dicter le rythme. Quand je lui pousse au comble du désir par mes ondulations fessières devant son nez. Nous ne sommes ni l'un , ni l'autre verbeux en ces instants. La communication se fait par les soupirs et je sais pertinemment qu'un laisser aller éhonté de ma part avec de fortes cris trouvera son écho dans les assauts de mon « mâle »...

lundi 26 septembre 2016

940 Une fessée pour la tricheuse (Lundi cinéma)

La poésie des soirées sexy

J'aime beaucoup l'ambiance de ce clip qui reste dans un registre bien sage. Pas de fessée abusive à la matraque, pas de partouze qui s'annonce, seulement de la bonne humeur. En gros une soirée sexy avec une petite touche de piquant.

Sans avoir un penchant pour l'échangisme, nous aussi, nous aimons bien ajouter une petite touche de sexy à certains repas entre amis. Mon grand classique c'est la tenue de la soubrette stylisée dont on devine sous la jupe droite une panoplie de lingerie sexy qui tient mes bas impeccablement en place. Une petite coiffe dans mes cheveux, sans oublier un de mes nombreux mini tabliers. Personne n'est dupe. Une ambiance sexy sert à délier facilement les langues et un bon repas accompagné d'un bon vin rehausse l'effet. Nous restons dans une gamme bon enfant rappelant les booms costumées de mon adolescence. Transposées sur un niveau d'adultes... d'un certain âge : Mon chéri est proche de la soixantaine ! En résultent des discussions qui vont parfois très loin. Étant parfaitement à l'aise dans mon rôle d’une souriante hôtesse-soubrette, je profite du service à effectuer pour écouter avec attentions les fantasmes explicites ou sous-jacinthes qui font surface. Parfois je pose, mine de rien des petites questions.

Depuis la libération du pseudo BDSM, la fessée se cache de moins en moins. La plupart des dames sont rassurées par la nature ludique et peu éprouvante des activités proposées. Avec comme conséquence que le vrai BDSM reste toujours aussi marginalisé qu'avant. La libération des mœurs implique également une libération des allusions. Il en va de soi que quand « mon service laisse à désirer », il peut y avoir plus de menaces de fessée qu'avant. Une fessée qui s'annonce dans un registre ludico-punitf.

Parfois je me pose la question comment serait-elle m'a réaction si mon chéri accepterait la demande de ces taquineries !

La réponse est vite trouvé. Je me prêterait au jeu avec le sourire et le rire. Puis je ne suis pas une personne pudique. Je ne serais pas dérangée par un éventuel déculottage.

Alors pourquoi nous passons pas à l'acte ?

Peut-être parce qu'au fond nous aurons l'impression de tricher sur la nature de nos fantasmes.

La discipline domestique vit de l'illusion d'une vraie punition qui s'applique avec sérieux.

En fait rien ne fait fuir les adeptes de la DD plus vite que le mot jeu ou la simple allusion à un jeu entre adultes consentent. Le mot jeu est en quelque sorte l'équivalent de l'ail pour les vampires....

vendredi 23 septembre 2016

939 Liens de discipline domestique (237 ème édition)

Au menu cette semaine: Pimenter sa vie de couple !


Punitive ou érotico-ludique, il m'importe beaucoup que le vice y soit. Avec bien entendu selon le registre un vice particulier à chaque variante. J'adore l’hypocrisie concernant la fessée punitive chez mon chéri. Il sait me sermonner avec imagination, théâtralité et beaucoup de sérieux (en surface) concluant inévitablement que je n'aie pas encore dépassé l'âge du martinet. Ainsi pour cette raison nous allons continuer les bonnes vielles méthodes.

Tu sais ce qui te reste à faire, isabelle !

Pendant que je me déculotte, car je suis censée de participer activement à mes corrections, lui il se lèche les babines. Ses grandes aspirations moralisatrices font se trahir par son jeans et cette bosse qui m'est si familière. Tandis que que moi je vais passer un mauvais moment, Monsieur se réjouit des sensations, certainement fort agréables, sous son jeans. Ceci dit cette expression de sa virilité me convient parfaitement. C'est l'idée d'être rappelée à l'ordre par un mâle sexuellement vigoureux qui stimule mon imagination. Et bien qu'il n'y aura avec grande probabilité pas le moindre attouchement « déplacé » pendant toute ma séance punitive, l'érotisme sous-entendu opère en douceur sans manquer d'intensité.

Concernant la fessée érotique le vice est littéralement plus palpable. La main baladeuse alterne avec les claques et moi pour ma part je n’hésite pas de me frotter contre la partie sensible de mon homme en espérant secrètement de lui provoquer un petit accident se manifestant par une belle tache chaude.

A moins qu'il cédé à mon péché mignon de la sucette amoureuse post fessée.

Instant de grande intimité dans lequel Monsieur a pris l'habitude de me faire des confidences sur ses fantasmes. Cet échange verbal entretient la libido en couple et crée un grande complicité. Le fait de ne pas pouvoir parler me permet de me concentrer pleinement sur ce que j'entends. De découvrir de petits détails qui font grimper monsieur aux rideaux...



Qu'on se le dise : « Une personne soumise ne le fait pas pour plaire à quelqu'un: elle le fait car c'est ce qu'elle croit essentiel pour se sentir accomplie.»

Ceci dit on peut aussi aimer la fessée sans se retrouver dans le folklore, les pratiques et ce qui est « vendu » parfois comme philosophie du BDSM. Je dirais même pour faire fuir bon nombre d'adeptes de la fessée, il suffit rien que de prononcer ce sigle...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !










Fessée en couple (petit clip)








Vu de très près (petit clip)




Punie (petite série)


mercredi 21 septembre 2016

938 Ce soir ce sera la fête (Petite fiction ou non)

T'as pris ton pied pour m'emm..der la vie, isabelle, maintenant je prendrai le mien en me rinçant l’œil.

Mon homme aime parfois m'infliger en sortant de mon coin du ménage toute nue ou habillée de manière très sexy. Infliger c'est peut-être un peu exagéré. Il sait que je connais ses préférences et compte sur mon ingéniosité pour le surprendre. Il ne prétexte pas une philosophie éducative ou une élévation spirituelle pour que j'accomplisse cette punition supplémentaire... mais pointe sur les évidences. Ben oui, la poésie de la ménagère sexy au fesses toutes rouges le titille fortement.

Un glaçon pour apaiser la paume de ta main, mon chéri ? Tu dois avoir mal après la fessée que tu viens de m'appliquer !

Comme d'autres hommes de sa génération, il a gardé la nostalgie pour les indiscrets aperçus de l'anatomie féminine via les souvenirs de sa maman ou des voisines en faisant le ménage pendant son enfance. Une jupe ou robe qui remonte en passant l'aspirateur, dévoilant ainsi un haut de bas, frontière où commence le territoire du papa. Voila la version sexy du complexe d’œdipe. Pour trouver un heureux dénouement, il faut que le petit garçon abandonne ses illusions d'une exclusivité de sa Maman à son service. Il faut qu'il comprenne aussi que c'est en imitant son papa qu'il puisse un jour espérer d'explorer à son tour la terre promise. Mon homme se souvient d'ailleurs fort bien d'avoir observé son géniteur glisser sa main sous la jupe de maman pour s'avancer vers ce qui reste défendu au petit garçon.

Quand je serais grand, je ferai comme papa !

Voici venu le temps que mon chéri peut enfin réaliser ses fantaisies de jadis. Il veut voir, il veut toucher aussi. Ben oui, c'est cela une relation amoureuse et charnelle entre adultes. J'aime beaucoup sa sollicitude, car cela met du piment dans notre couple. J'adore particulièrement la sensation de sa main qui remonter le long de mes jambes pour se perdre sous mes jupes droites. C'est un peu étroit comme endroit et il faut se serrer pour un petit plaisir qui agrémente le quotidien.

Tiens, tu as mis une petite culotte aujourd'hui, isabelle ?

Devine sa couleur !

Nous voilà partis pour un jeu de piste. Mon chéri en me tripotant et moi en rigolant bêtement. J'aime bien rigoler bêtement quand je trouve une sensation sexuellement agréable. De toute façon je sais que ma très vaste gamme de rires et le fait que je sois souriante et de bonne humeur dès mon réveil, est source d’émerveillement pour mon homme. Puis j'ai le sens de m'amuser et de me laisser taquiner. Combien de fois je me fais pencher sur ses genoux pour une petite fessée « joie de vivre ».

Puis, si c'est possible il ne va pas se gêner pour mettre mes fesses à nu pour une plus belle sonorité.

Habituellement la fessée me désinhibe, bien que selon mon homme ce soit déjà pas mal sans, à l'état naturel quoi. Donc quand je sors du coin après une bonne fessée punitive l'effet est décuplé. J'aime me produire aguichante devant lui et le prétexte de la punition interdit un tripotage surprise. Chez nous la bonne correction se respecte. On touche uniquement avec les yeux, ce qui n'est pas sans effet secondaire sur nos émoustillements réciproques.

Vu ma nudité au bon endroit, je ne puis lui cacher que je suis en train de jouir littéralement de la situation.

Mon entrejambe de plus lisse, brille de sa moiteur naturelle. Il m'arrive aussi de mettre une crème luisante et la sensation de sentir tout glisser en faisant un travail de frottement comble mes aspirations névrotiques. Le tout pour pouvoir m'adonner à une perversité éhontée, une transgression suprême de nos codes sociaux, le fantasme de la dame qui aime s’occuper de son foyer, de sa famille, de son homme. Le plaisir de balancer mes fesses toutes rouges devant ses yeux, le plaisir de lui offrir des inévitables aperçus de plus indécentes de mon intimité.

J’assouvis mes tendances névrotiques sans me sentir coupable, car n’oublions pas que je viens juste recevoir ma punition !

Passer l'éponge, frotter et cirer avec ardeur, activités hautement rythmiques que dit-on se conçoivent chez certaines dames comme des équivalents masturbatoires. Me concernant, je confirme que je suis sensible à l'érotisme sur un mode Bree Vandenkamp.

Désespérée, avez vous dit désespérée ?

Certainement que non, car de l'autre côte je sais aussi que mon homme sera au top de sa forme le soir au lit.

lundi 19 septembre 2016

937 La fessée au bon vieux temps (Lundi cinéma)

Un temps qui n'a jamais existé peut-être...

Du vrai cinéma pour une fois avec une jeune dame qui se trouve après sa fessée pour des raison évidentes sur un coussin. Excellente idée du scénario pour mettre l'imagination en route. Pour ma part qui connais bien la situation sans toutefois la rendre publique en ayant recours à un coussin. Je garde la brûlure de mes fesses pour moi, « je souffre en silence », en me disant comme les chosent étaient plus simples au bon vieux temps. Seulement mis à part des fessées enfantines, puis envers les ados aussi, nulle part la moindre trace de la fameuse discipline domestique.

Il paraît même que « Plan de Spencer » n'est rien d'autre qu'une légende urbaine.

Ce « plan » attribué à une dame du nom Dorothy Spencer et établi selon selon les différentes sources vers la fin des années 20 aux années 30 du siècle dernier est en gros un accord par écrit sur l'emploi de la fessée dans le couple. Rien que l'existence d'un tel « plan » prouverait que la discipline domestique n'existait pas il y a 100 ans. Mais notons l'aspect résolument égalitaire de ce plan qui prévoit également des punitions (au fouet!) pour le mari.

On ne trouve nulle part des avis contemporains sur ce « plan » et ses premières traces ne semblent apparaître que tardivement vers la fin de années 60 comme j'ai lu sur un défunt forum anglais de DD. A croire alors dans un contexte comparable aux années 20 quand les dames cherchent leur émancipation. Peut-être s'agit-il d'une pure invention pour rassurer du moins fantasmatiquement les messieurs ? De leur fameuse angoisse de la castration dont la fessée est un excellent calmant. Ou pour les dames l'envie du pénis dont le fouet en main peut faire l'affaire.

Quoiqu'il en soit je suis très sensible à poésie de ce plan, déjà par le fait qu'il s'annonce consensuel. La dame a son mot à dire et sans son accord pas de fessée conjugale. Étant un pur produit de la libération de la femme, loin de moi de vouloir renoncer à mes acquis sociaux. En aucun cas je m'imagine aux pieds d'un monsieur, même pas fantasmatiquement.

C'est moi et moi toute seule qui accorde ou non les droits sur moi !

Comme je ne suis pas trop contrat écrit ( nous ne sommes pas mariés!), nous avons tout de même une sorte de « plan » de Spencer par accord commun. Mon chéri s'occupe de mon besoin de punition et il en tire un très grand plaisir. Et moi aussi par la même occasion.

vendredi 16 septembre 2016

936 Liens de discipline domestique (236 ème édition)

Au menu cette semaine : La fessée au petit déjeuner !


Ah comme il aime me trouver toute pomponnée pour notre deuxième petit déjeuner en tête à tête, mon chéri. Comme il aime découvrir sous mes jupes ou robe dentelles et lacets d'une féminité d'un autre âge. Et comme il aime aussi parfois de débuter la journée avec une vigoureuse salve bien claquante.

J'ai envie de te mettre le feu aux fesses isabelle !

En quel honneur mon chéri ?

Question inutile en fait, car je sais à quel point il m'arrive de l’exaspérer par ma lenteur et par mes indécisions. Il va me sortir alors un événement fort récent sans possibilité de me rappeler à l'ordre sur le champs. Que je me sois encore éternisée au rayon beauté pendant les courses, un coup de fil avec une bonne copine pendant que monsieur m'attendait, attendait, attendait. Puis ces matins où je me promène devant lui sans jupe, mes fesses à l'air car j'ai dû mal à choisir une jupe à associer avec mon nouveau chemiser.

C'est peut-être la couleur de ton chemisier qui pose problème...

Méchant...

Tu as décidé de m'emme..der dès le bon matin, isabelle ?

Ben oui, j'adore embêter mon chéri avec des choses les plus futiles. Comme l'autre jour une subite envie de bas couleurs havane.

Et bien sûr il te les faut pour ce soir...

Là, il bouillonne. Et subitement je me rends compte à quel point je projette sur lui une toute puissante de réaliser instantanément mes moindres désirs. Le déclic a été notre petite (mon mini-moi en quelque sorte) qui ne cessait pas de demander des choses à son papa. Et lui attentif et patient comme envers moi se donne un sacré mal pour être à la hauteur. Seulement il y a dû favoritisme. Avec la petite il prends le temps de lui expliquer l'impossibilité de la toute puissance humaine, tandis qu'avec avec moi il sort vite le martinet.

De toute façon tu m'écoutes pas, isabelle ! Alors je me défoule sur ton derrière.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Et étrangement j'ai l'impression que le feu aux fesses me réussit bien. Je retrouve mes idées bien en place et mes exigences se font plus raisonnables. Comme dit mon chéri :

Rien ne vaut le martinet pour avoir la paix à la maison.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !








Sympa ce restaurant (mini clip)

















mercredi 14 septembre 2016

935 Une place pour la discipline domestique dans le couple moderne

J'aime la discipline domestique à dosage raisonnable.

Punir n'est pas synonyme de pratique extrême d'un côté, mais de l'autre il ne faut pas que ma fessée prenne les allures d'un jeu érotiquement frivole entre adules consentants et patati et patata. Car sinon impossible de convaincre mon inconscient que je suis en train de recevoir une correction à la hauteur de mon méfait. Ce dernier est souvent purement anodin pour ma conscience, mais bien réel pour mon inconscient qui s'exprime avec insistance par mon besoin de punition en réclamant des sanctions pour bon nombre de mes comportements. Que ce soit le fameux rôti brûlé, le retard pour rentrer à la maison ou des petites insolences envers ma mère ou belle mère mon besoin de punition est fort pointilleux et ne cesse de me harceler pour des absurdités qu'aucune femme moderne ne saurait prendre au sérieux.

Ben oui, mais dans certains inconscient ne règne pas une femme moderne, mais un complexe mécanisme archaïque qui prend plaisir de nous punir.

Voila qui montre contrairement à ce qui nous plaît d'imaginer que tout le monde ne règne pas en maître souverain dans son esprit. Une conséquence de cette situation est le besoin de certaines personnes justement d'un maître pour mettre de l'ordre dans leurs désirs et tendances contradictoires. Notons que ce mécanisme sait se faire entendre en liant subtilement le besoin de punition à notre affectivité créant des désirs de pardon, des sentiments d'insécurité, d'abandon ou de risque de perdre l'amour et d'autres combinaisons tellement vicieuses pour nous empoisonner la vie. Certes nous pouvons nous mentir à nous même en prétextant des circonstances ludiques pour ne pas perdre notre face de femme moderne. Mais peut-être serait-il plus réaliste de faire face aux évidences. De dire à notre partenaire :

J'éprouve un besoin de punition pour ceci ou cela. C'est complètement incohérent, mais cela m'empoisonne la vie. J'aimerais que tu me corriges à chaque fois que je produise un comportement qui risque enclencher mon besoin de punition.

Et si ce besoin ne s'enclenche pas ? Ben, dans ce cas, il suffit de dire non à la punition et il faut que notre partenaire respecte notre non. Ceci dit par le biais de l'affectivité dont j'ai parlé plus haut chez certaines personnes il y a forte chance qu'après un petit instant de réflexion qu'elles acceptent la punition en faisant confiance à leur partenaire. Ce qui me semble important c'est de laisser à tout instant le libre choix à la personne d'accepter une punition ou pas.

Il faut être très explicite pour aborder le besoin de punition en couple. Se déculotter psychiquement pour affronter les conséquence. Je pense qu'un partenaire « idéal » sera celui qui nous parlera en échange de son besoin de punir. Qui dit que certains de nos comportements l'agacent et s'il écoutait sa « petite voix intérieure », il aimera nous baisser la culotte pour nous faire passer nos caprices.

Personnellement j'ai l'impression que le fait d'avouer son méfait, de devoir le verbaliser, puis d'accepter une correction calme considérablement le besoin de punition. Il faut mettre sa fierté de côté, il faut se déculotter ou se laisser déculotter pour endurer sa sanction. C'est tout un cérémoniel qui apaise. La situation me paraît analogue pour le partenaire qui est chargé de punir. Puis notons que la plupart des personnes ne se cherchent pas dans les pratiques extrêmes. Leur quête ne vise ni de jouissance suprême ou secrète, ni d'une intensité particulière de leur vécu. Elles veulent simplement expier leur besoin de punition dans de bonnes conditions avec une personne de confiance. Une DD sur mesure en quelque sorte. Voila une base qui me paraît saine, sécurisante et consensuelle comme on dit dans le BDSM...

...pour mettre en route une structure de discipline domestique  pour pantouflards !

lundi 12 septembre 2016

934 Le sexe faible (Lundi cinéma)

Ne nous laissons pas tromper par les apparence !

Bien de dames malgré un physique menu ne manquent pas de force qui permet des gestes plus que généreuses. Voila qui donne un autre attrait supplémentaire cette petite fessée entre dames. Nous sommes donc loin du sexe dite faible. Hors de question pour moi de vouloir m'offenser contre cette légende urbaine. Je suis pragmatique et le nombre de messieurs qui conscient ou inconscient chérissent l'idée de la dame faible affiche l'énorme potentiel de chevaliers galant qui ne rêvent que de se mettre au service d'une dame. Tout le monde y trouve son compte. Ceci dit, je pense que c'est justement cette constellation sans doute favorable aux dames qui crée parfois un certain comportement abusif. Pour les taches ingrates comme sortir la poubelle, dégivrer un pare-brise, déboucher un lavabo etc quand j'étais enfant, il y avait mon père qui s'en chargeait. Pour moi c'était normal. Voila qui m'a amenée ado d'inclure dans les qualités humaines d'un futur compagnon de vie ce côté serviable. Et voilà pourquoi je ne me retrouve pas dans un rôle de soumise qui elle investit tout son énergie pour plaire et servir son maître.

Par contre je dois avoir quelque part une sorte de conscience qui regarde avec lucidité mes comportements abusifs et...

...qui me punit avec mon besoin de punition !

Alors quand j'ai été particulièrement odieuse, je me languis vite d'être remise à ma place qui hélas n'est pas le centre du monde. Toutefois même punie je sais que je resterai le centre du monde pour mon homme.

Quand je vois son attention pour me mettre en garde, de sermonner, de me déculotter, de me fesser.

Pas une seconde qu'il va me quitter des yeux. Pas une seconde qu'il va penser à une autre personne que moi. Et quelle patience. Il sait pertinemment que certaines choses, jamais je les apprendrai. Têtue comme ma mère, j'ai décidé de ne me pas encombre l'esprit et surtout ma journée avec de telles broutilles. En gros cela veut dire que j'insiste pour garder un certain partage de taches « à l’ancienne ». Et je serais plus que vexée si mon chéri essayait de se substituer à moi pour effectuer les « miennes ».

Mon homme de son côté s'est bien adapté à ma vision personnelle de concevoir la vie en couple. Il compense son côté serviable par un côté « chef de famille responsable ». Il est reconnu par moi, notre petite et notre entourage comme une personne au jugement juste et loin de moi de le contredire quand il estime que je mérite une punition. D'ailleurs il semble me connaître parfaitement et aucun indice d'un besoin de punition naissant de ma part lui échappe. Il a le martinet facile avec moi comme il aime dire parce qu'il sait que je peux me montrer adorable tant que mes fesses brûlent et dans un sens plus large tant que mon souvenir de ma dernière punition est encore frais.

vendredi 9 septembre 2016

933 Liens de discipline domestique (235 ème édition)

Au menu cette semaine :Un grand moment de solitude !


Pour moi le coin c'est avant tout un havre de paix dans une vie très active qui bouge sans cesse. Une pause imposée pour une personne qui comme moi a beaucoup de mal pour rester en place. Il y a aussi l'aspect structurant. Une fois le besoin de punition satisfait par une copieuse brûlure de mon derrière, restent certainement encore les répercussions sur la libido, mais je ressens avant tout un grand apaisement. Je fais mon planning pour le reste de la journée, parfois pour la semaine. Je réfléchis à des question que je repousse habituellement par manque de temps. Je conçois pas mal de mes posts aussi. Mais il y a un autre aspect dont je n'ai pas encore parlé.

Le coin fertilise ma fantaisie !

Par exemple quand j'expose mes globes rouges au bureaux de mon chéri, il me plaît d'imaginer que quelqu'un fasse subitement apparition dans la pièce, me voyant dans ma posture peu glorieuse. Certaines de mes copines, certains amis de mon homme ou encore certaines personnes envers lesquelles j'éprouve un purement irrationnel besoin de punition déclenché par un de mes gestes maladroites par exemple. Certains semblent faire comme rien n'y était, enfin je le suppose, car je n'ai pas le droit de me retourner. Mais c'est surtout idée d'un regard moquer dans mon dos qui m'émoustille. D'autres lancent des petites piques :

J'en connais une qui n'a pas été sage !

On ne badine pas avec la discipline dans cette maison !

Étant absolument sure que cette situation ne se produira pas, je peux cultiver ma fantaisie en toute tranquillité. Ce qui ne lui enlève rien de son aspect excitant qui me trahit parfois très clairement via mon entrejambe. Mon chéri, aimant beaucoup me voir avec une belle luisance dans une position évocatrice ne se prive rarement d'un petit mot :

Un penny for your thoughts ! (Une petite pièce pour connaître tes pensées!)

Il ne commet pas l'erreur de m'interroger sur la source de mon indécence, ce qui briserait à mes yeux tout le charme de la situation. Il se contente de me dévorer de ses yeux en me lançant ce que je souhaite entendre :

Je m'occuperai de toi après mon travail !


*Un petit mot à part : Il semblerait que blogger ait changé son système pour afficher la liste des liens. Apparaissent désormais en ordre chronologique de la dernière publication en haut de la liste seulement les autres blogs blogger, tandis que tous les autres plate-formes sont reléguées dans les bas fonds du classement dans un ordre dont la logique m'échappe. Je trouve ce nouveau système fort injuste...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Le bienfait de la maintenance (Mode d'emploi joliment illustré)









La force tranquille (petit clip)










mercredi 7 septembre 2016

932 Secret de dame 2 (Petite fiction ou non)

(Suite de : Secret de dame)

T'as décidé de me faire attendre, isabelle ?

Pas de raison pour m’inquiéter. Là, il râle pour la forme. En savourant ce strip-tease imposé que je viens de lui livrer et qui précède ma fessée. Il n'en a pas perdu une miette.

Pfff... aucune gratitude !

Bien entendu nous ne parlons pas de strip-tease. En surface je me prépare pour à un acte qui me permettra de rentrer dans le droit chemin.

Moi, j'aime beaucoup le droit chemin.

Je trouve la discipline structurante et je n'ai jamais eu des problèmes avec le concept de autorité. Voila qui me fait penser un peu à une poésie militaire à la Forest Gump. J'adore faire habituellement exactement ce que mon chéri me demande. Je sais même claquer mes hauts talons pour un garde-à-vous digne de ce nom. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'il croit parfois que je me moque de lui quand je me tiens raide comme un piquet devant lui. Dans cette posture, débarrassée de ma jolie jupe et avec mes fesses à l'air, nous pourrions tout aussi bien s'adonner à des plaisirs qu'offre le monde de la vanille.

D'ailleurs j'adore quand il me penche sur son bureau pour me montrer qui est le garçon et qui est la fille.

Mais nous avons d'autres projets en tête.

Tu m'écoutes là, isabelle ?

Euh...

Pendant qu'il était en train de me sermonner, j'ai encore joué avec mes jarretelles qui pendouillent autour de moi. Pour mieux cacher un peu mes émois. C'est un drôle de sentiment de se faire réprimander pour de bon à l'âge adulte avec seule perspective pour me racheter une punition corporelle, réservée dans le temps aux jeunes filles récalcitrantes. Et récalcitrante je le suis pour certains de mes comportements. Mes caprices peuvent être exaspérants avec un point en commun qu'il se mettent mon chéri en position d'attente. Là, maintenant j'ai l'impression qu'il se venge. J'attends stoïquement qu'il finisse mon sermon et passe à l'acte punitif. J’attends que ma fessée soit déjà finie. J'attends ma récréation au coin. J'attends... avec savoir faire.

Parfois j'ai l'impression que l'attente comble quelque part un archaïsme de la condition féminine.

Nous attendons nos seins, nos rondeurs des hanches, nos règles (les premières, puis celles qui se répètent mois après mois), notre grossesse, notre bébé, l'accouchement, la fin de allaitement, la ménopause... événements bien concrets liés à des changements réels du corps. Sauf que maintenant ce n'est pas l'horloge de dame nature, mais mon chéri qui tient en main les rênes.

C'est lui qui orchestre l'attente pour m'amener à un événement auquel je ne peux, je veux m' échapper : Ma fessée !

Pour ce il désire ma passivité, ce qui lui permet de jouer pleinement à la barbie. Et il y a de quoi pour le régaler. Le rituel du déshabillage préalable ou du moins le déculottage, chercher l'instrument, me mettre en position etc. Un jeu à la poupée vivante censé d'aiguiser le désir de sa dame. J'avoue quand c'est joliment présenté cela marche très bien avec moi, car mon attente passive s'est érotisée et me permet ainsi de prendre du bon temps ! Et cela se voit sur mon corps.

Il me semble même parfois que mon chéri cale les étapes punitives sur la brillance de mon entrejambe.

Attente après attente pour préparer encore une de ces transformations miraculeuses, transformer la vilaine fille à nouveau en dame digne de ce nom. Significativement cette « alchimie » opère par le biais d'un objet qui m'évoque ce qui fait la différence entre garçons et filles. Je trouve que le martinet en main donne une allure terriblement sexy à mon homme. Hélas, les apparences sont trompeuses. La transformation ne se fera pas sans mal. Un sacré mal parfois. Mais le résultat flatte tellement mon ego que le désagrément prend avec le recul la forme d'un moindre mal.

Mais chut... c'est un secret !

lundi 5 septembre 2016

931 Le plaisir dans le déplaisir (Lundi cinéma)

Ambiance discipline domestique

J'ai un faible pour les clips qui mettent en scène monsieur et madame tout le monde dans leur salon. De préférence de manière assez pudique et loin des fessées professionnelles qui trouvent leur credo dans un toujours « aller plus loin ». J'aime regarder ce qui arrive à d'autres dames qui trouvent leur plaisir dans le déplaisir d'une punition domestique appliquée par le monsieur. Contrairement de la fessée à la main qui me paraît impossible à détacher d'une intimité charnelle, les instruments me permettent de glisser sans ambiguïté dans une situation purement punitive. Bien évidement il me faut un motif valable qui justifie cette sanction. Comme un mauvais comportement, une transgression d'un interdit, une insolence, un manque de respect etc. Pour éclore le plaisir dans le déplaisir le monsieur aussi doit être crédible dans son intention de vouloir punir pour de bon. Ma préférence va vers une attitude ferme d'une éducation traditionnelle d'un autre âge qui implique une touche paternellement bienveillante :

Nous allons travailler tes bonnes manières isabelle !

Une telle formule flatte mon narcissisme par le « nous », veut dire un homme à mon service, puis par la perspective d'atteindre un certain idéal.

Ce dernier je ne le conçois pas vraiment dans le sens d'une valeur morale, mais plutôt comme un état apaisant, sorte de nirvana qui me libère de mon besoin de punition.

Hélas comme dit le dicton les dieux ont placé la sueur en avant de la vertu. Ou avec des mots plus simple :

J'en connais une qui va passer un très mauvais moment !

Il n'y a pas pour moi de jouissance propre dans la punition domestique. Il s'agit plutôt de chasser un mauvais état d'esprit qui ne cède que par le biais d'un traitement intense. L'attitude moqueuse de mon chéri fait partie de la préparation psychologique. Idem mon mea culpa dans lequel il convient que je m'explique :

Qu'est-ce qui t'a pris isabelle ?

Ayant un peu de mal d'associer ma nudité dans un contexte punitif à la honte, les mots sont plus propices pour préparer ma rédemption.

Si tes copines pouvaient te voir...

Ben oui, je ne fais pas la fière du tout. Déjà déculottée je me trouve devant mon chéri qui tient le martinet entre ses mains pendant qu'il m'interroge. Le rapport d'autorité se met tout naturellement en place. Mon homme ne s'éternise pas pour me punir et souvent en à peine dix minutes, ma confession y compris, toute l'affaire fâcheuse est réglée. Seulement ces dix minutes me paraissent comme une éternité...surtout pour la partie finale qui concerne mon derrière...

vendredi 2 septembre 2016

930 Liens de discipline domestique (234 ème édition)

Au menu cette semaine : Quelle durée pour...

...une bonne fessée ?

C'est en lisant un article traitant les rapports sexuels humains que j'ai commencé à me poser des questions sur la durée d'une bonne fessée. Certes, nous ne chronométrons pas, mais mon chéri, à l'occasion grand amateur de musiques de marche (je vais te siffler la marche isabelle!) ne se prive pas de temps en temps, avant de s'appliquer sur mon derrière, de mettre un peu d'ambiance. Parfois il pousse même le vice, car il s'agit bien de cela, à se retrousser les manches. Cérémoniel hypnotisant qui vaut bien le gant de Gilda, me prouvant ainsi qu'il sait faire mieux que taper tout simplement avec adresse sur mes globes charnus. A mes yeux que comme dans la sexualité classique un petit prélude bien mené n'est jamais un trop. Toutefois les préliminaires finies, passons au plat principal. A ce propos je me suis très bien retrouvée dans le résultat du rapport qui donne des fourchettes suivantes pour le coït pur de la pénétration à l'éjaculation:

Trop court : 1 à 2 minutes
Convenable : 3 à 7 minutes
Souhaitable : 7 à 13 minutes
Trop long : 10 à 30 minutes

Évidement on ne parle pas d'un registre exceptionnel comme les retrouvailles après une séparation imposée par la vie ou un amour tout nouveau, tout beau où il s'agit d'accorder deux corps. S'il y avait à cocher, moi aussi j'aurais choisi la tranche 7 à 13 minutes.

Quant à la durée d'une bonne fessée j'hésite !

Tout dépend de la situation. Si j'ai affaire à une punition ou par exemple à une « distraction coquine » entre adultes... 




L'âge d'or des forums de fessée ? Je l'ai connu. J'ai participé à  l'aventure « Discipline domestique » (toujours en ligne mais verrouillé), « Dialogues de femmes » et aussi à « Oserais-je » en gardant d'excellents souvenirs. Je regarde donc avec bienveillance et nostalgie toute tentative de création d'un espace sympa qui permet aux adeptes de notre sujet de papoter et aussi de se rencontrer. Il me manque hélas le temps de participer à une nouvelle aventure proposée par une jeune dame qui tient également un blog sur notre sujet. Mais je vous recommande un petit tour dans son univers qui s'affiche résolument girlie !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














Une sacrée brûlure (petit clip)