lundi 29 février 2016

841 La fessée de la voisine bis (Lundi cinéma)

Un joli fantasme charnière !

J'aime quand on me raconte des rêveries érotiques. En voici une de mon homme qui date de son adolescence. A cette époque dans l’immeuble où il habitait avec ses parents, vivait une fille de son âge avec un air fort imbue de sa petite personne. Évidement il fut attirée par les charmes de la demoiselle, mais hélas elle resta distante. Alors sous la couette, il l'imagina s'en prendre de bonnes fessées de la part de sa mère, une dame aux allures fort austères. En l'écoutant j'ai failli éclater de rire tellement son histoire ressemblait à une sorte de conte de fée. Il n'aurait que manqué l'élan héroïque de mon chéri pour libérer une jolie princesses de griffes d'une terrible marâtre. Car en fait - tant qu'on y est - cette dernière avait strictement interdit à la jeune princesse de parler au princes. C'était donc bien un fantasme charnière entre l'enfance et adolescence.

Situons un peu plus le contexte. La rêverie de mon homme date d'une époque où la fessée avait encore cours dans bien de familles. Elle avait déjà perdu son innocence pour un ado qui savait très bien comprendre que ce châtiment comportait une autre dimension que purement disciplinaire.

La fessée car appliquée « cul nu » ne manque pas d'émoustiller la curiosité sexuelle et le sens voyeuriste.

Puis la nudité n'était pas encore omniprésente comme de nos jours. Dénuder un fessier était un événement exceptionnel. Puis quand un adulte faisait une allusion à la fessée ou la promettait ouvertement, il ne s'agissait rarement d'une plaisanterie. A ce propos mon homme, quelques années avant, avait été témoin d'une menacé de fessée envers la jolie demoiselle par sa mère. Ce qui n'a pas manqué de marquer son imaginaire. Notons aussi que mon homme savait très bien par l'expérience sur ses propres fesses de quoi il s’agissait.

Les fantasmes de l'adolescence sont intéressantes sur bien de points de vue, notamment parce qu'ils ils subissent un processus d’adaptation à la réalité. Voyons cela d'un peu plus près. Les enfant sont peu soucieux du côté réalisable de leurs rêveries. Cela ne veut pas dire qu'il manquent un sens de réalité. Ils sont bien conscients qu'il s'agit d'une rêverie et rien d'autre et ce qui compte c'est le plaisir qu'ils en tirent. L'ado par contre se trouve devant les impératifs de la nature qui lui impose (ou du moins lui suggère avec ténacité) de satisfaire ses pulsions pour de vrai. Voila qui implique d'adapter l'imaginaire excitant aux conventions du monde qui nous entoure. C'est la question du réalisable qui se pose. La rêverie est vu et revu pour lui donner une forme fantasmatiquement correct. Ce dernier n'est pas une vérité ou valeur immuable (d'où l'absurdité de la question de la normalité), mais rien d'autre qu'une convention sociale qui dépend de l'air du temps. Pour cette raison quand on écoute un adulte parler des ses fantasmes, nous sommes généralement en face d'un produit trafiqué qui se tient loin de ses premières formulations bien plus osées.

vendredi 26 février 2016

840 Liens de discipline domestique (206 ème édition)

Au menu cette semaine : Grands garçons et grandes filles !

La féminité décomplexée (Petit clip coquin)

Attention sexualité très explicite...

...que j'adore. Pour une fois que je trouve un truc P qui me plat je profite de mon blog pour le montrer !

J'ai une attitude bienveillante envers le monde fantasmatique d'un homme, surtout quand c'est celui de ma vie. Tout le monde n'est pas Guy de Maupassant avec une érection spontanée en regardant un mur dans les yeux de la dame. Je retiens une petite réflexion, fort utile de mon papa lors d'une discussion avec lui sur des princes charmants :

Ça se commande pas !

Ce fut une révélation et une démystification du mâle à la fois. Tout d'un coup j'ai compris que les hommes peuvent avoir des doutes devant une dame et ne pas les moindres. La pression que ressentent certains quand s'approche le moment fatidique pour accomplir le joli acte qui fait (aussi) perpétuer ce monde. Et que parfois la gentillesse, la vraie, aille de paire avec une... disons détente un peu longue.

La libération de la femme était déjà passée par là quand j'étais ado. Les vidéos P aussi. J'ai grandi dans une atmosphère qui permet à la jeune dame de prendre les initiatives.

Bref quand mon fessier s'agite tout nu devant les yeux de mon homme, l'effet est foudroyant sur lui.

Et encore plus si je sors un grand jeu comme la petite dame du clip. D'ailleurs la nudité sous un imper semble parfaitement inspirer la gente masculine. Il ne fait pas partie de nos fantasmes d'attacher, mais pour le reste ce clip correspond bien à ce que j'appellerais... de la vanille très hot! Version dame active et monsieur qui se laisse faire. Voila qui comble mes fantasmes de garçonne. Toutefois pour bien pouvoir me déchaîner, j'ai besoin que la vilaine fille en moi se prenne de temps en temps pour ses audaces de bonnes corrections sur ses fesses. Manière de la remettre à sa place. Et ce mode de fonctionnement, ben...

cela ne se commande pas non plus !

Les vertiges d'Alice (Un nouveau blog de fille)

Voici une jeune dame qui illustre ses sujets avec ses propres photos. Ce qui est assez rare dans la fessée française. Le tout est très réussi. J'aime beaucoup les blogs 100% fait maison et après ce début prometteur, espérons qu'il y aura un suivi !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !













Discipline vintage (petite série)







Solide technique (petit clip)


mercredi 24 février 2016

839 Cette pulsion indomptée qui intensifie l'orgasme 2


Ah quand monsieur utilise un gros mots dans ma langue maternelle !

Tout un poème pour chauffer la salle. A conditions de s'en servir à petite dose. J'aime quand sa moquerie rejoint mon attitude envers mon propre fantasme. Je ne saurais rationnellement tout de même pas prendre trop au sérieux ce besoin de punition, notamment les modalités de sa satisfaction. Au lieu de l'accepter...

...comme particularité de ta personne et l'expression de ton individualité, isabelle,

je m'affirme sur un mode de crise adolescence, type gamine trop gâtée qui veut sentir une main ferme pour connaître ses limites. Mon affirmation cherche à défier l'autorité de mon chéri.

Tu sais ce qu'il de dit mon cul nu ?

Je suis parfaitement consciente du ridicule du rituel. Il ne manquerait plus qu'une personne qui éclate en fou-rire sur ce qui m'arrive...

Certes mon homme sait mettre l'élan nécessaire pour un effet parfaite punition, mais ce qu'il m'annonce, dépasse largement ce qui se passe réellement sur mon derrière. Et c'est très bien. Une fois la fantaisie mise en route par une jolie imagerie verbale, ma pulsion indomptée répond présent à la double stimulation, verbale et manuelle donc. Elle croit dans le bien fondé de l'action. La situation lui paraît crédible pour permettre d'enclencher le processus de satisfaction. Enfin, elle n'est pas complément dupe non plus.. Il lui faut une sacrée brûlure d'abord qui est on n'est plus réel. Mes fesses savent de quoi elles parlent. Peut-être pour cette raison, le mot jeux ne correspond pas à l'essence de notre petit ménage. Nous sommes plutôt dans un registre d'une fiction de nos inconscients qui donnent à notre discipline domestique son air de vrai. Selon cette fiction...

...moi je désire une vraie punition et mon homme désire me punir vraiment !

L'homme qui parle, n'abuse pas de sa force. Il canalise par ce biais le flux chaotique de ses propres pulsions au moment de se claquer en extase.

Et qu'en est-il de ce fameux orgasme pervers ?

Il est manquant chez nous concernant la fessée toute seule. Un haut niveau d’excitation ouiiiii..... (on y incluant surtout l'intense stimulation de mon épiderme fessier), une satisfaction psychologique sous forme d'apaisement aussi. Mais pour la détente physique... rien ne vaut chez nous la bonne vielle vanille dont le résultat est particulièrement fulgurant justement après une bonne fessée. On dirait que Freud avait visé juste...

lundi 22 février 2016

838 La fessée de bonne nuit (Lundi cinéma)

Avec ses émotions toujours au rendez-vous !

Difficile d'aborder la richesse d'émotions que m'évoque la fessée juste avant le dodo. Me vient aussitôt à l'esprit la poésie de la grande fille, jeune adulte voire plus qui s'est rendue coupable - à ses propres yeux - d'une grosse bourde. Parfois à nos débuts quand je revenais de mon travail, je tournais autour du pot, jusqu'à ce que mon homme me pose la question du saint Graal :

Mais qu'est-ce qui t'arrive, isabelle ?

Moi, je n'attendais que cela pour vider mon sac et très rapidement, j'ai fait ce que déteste mon chéri: Parler le soir du travail. Parler, que dis-je, j'ai dû de le harceler avec mes histoires de boulot en espérant qu'il prenne farouchement position en ma faveur. C'est alors pour ma manière insistante et non pas pour ma bourde, au fond bien minime, que mon homme décida parfois de m'appliquer une fessée de bonne nuit pour me calmer.

Décidément, tu retiens pas tes leçons, isabelle !

Il n'est pas un secret, se calmer ne se commande pas toujours. Si on souhaite un résultat sous forme d'apaisement et d'un bon et profond dodo par la suite, mieux vaut instaurer un rituel qui vit surtout par ses alentours :

Va te préparer, il est l'heure, isabelle !

Voila qui veut dire, faire ma toilette de nuit, me démaquiller et de revenir habillée seulement d'une courte nuisette qui au moindre mouvement dévoile la naissance de mes fesses. Puis - personne n'est dupe –

...la satisfaction demandée qui va déclencher le processus d'apaisement, c'est bien sûr la fessée.

Il faut qu'elle s'adapte à la situation. Fort sonore en cas de grandes agitations, permettant ainsi d’évacuer le stress par un psychodrame qui se finit par les larmes. Modérée pour un effet tisane pour les mille et unes contrariétés de la journée du travail. Cette demande de discipline motivée grosso modo par un profond mécontentement de soi, il est facile à comprendre que la main vicieuse n'est pas vraiment la bienvenue. Elle ajouterait plutôt une contrariété supplémentaire de ne même pas être comprise par son partenaire. Un effet :

Il ne pense qu'au cul, celui-là et pas à moi.

Et ceci nuit gravement au couple. Mieux vaut que le partenaire sache créer un contexte riche en émotions. Un contexte punitif du type bon enfant qui ne cherche pas de prouesse de virtuosité manuelle. Ce que je cherche s'est un fessier bien rouge pour que je puisse voir dans la glace que mes odieuseries ne restent pas sans suite à la maison. Le fameux panneau rayonnant dont parle mon chéri qui selon lui me sera très utile comme bouillotte une fois au lit, surtout en hiver. J'aime beaucoup être envoyée au lit après ma punition sans toutefois que mon homme tarde trop pour sa part aussi de me rejoindre. Une petite demi-heure nous va à la merveille. Suffisant de temps que mes désagréments de la journée dissipent complètement et que ma brûlure dans mes fesses se transforme en chaleur de mon entrejambe. Je me sens comme dans un cocon, au bout de mes rêveries d'ado. J'ai enfin eu cette fessée conjugale dont je me languissait tant à porté de main. Puis celui qui me corrige n'est pas inaccessible comme le voisin, commerçant, parent d'un prince charmant de mon imagination d'antan. Voila qui change les perspectives et l'attente de la réconciliation expose au risque de la vilaine main...

vendredi 19 février 2016

837 Liens de discipline domestique (205 ème édition)

Au menu cette semaine : BDSM très bcbg


Parfois je me pose la question de ma réaction si mon chéri avait de tels fantasmes. A vrai dire, je ne me retrouve ni dans la métaphysique du BDSM, ni dans sa composante psychologique qui cherche certains escalades, ni dans son sentimentalisme de l'appartenance, voire de la possession. Cela ne veut dire nullement que je me sentirais choquée par des fantasmes très bcbg de sensualité comme dans clip. Enfin, pas le martinet sur les seins avec moi. Puis, connaissant bien mes mécanismes d’inhibition et les moyens de leur levée, je n'ai pas besoin que l'on m'apprenne le lâcher prise. S'ajoute que je préfère ce que la nature a fourni au monsieur aux lieu des mille et une choses dans les matériaux les plus divers pour soi-disant mieux jouir.

Pourtant il y a des éléments dans ces vastes pratiques qui me plaisent bien dans ma vie de couple. J'adore mon bâillon dont rien que la vue me procure une intense émotion. Il incarne pour moi le meilleur moyen pour calmer littéralement les très vilaines filles comme moi qui trouvent leur plaisir en poussant de cris obscènes au lit. Bref mon chéri avait marre de se faire remarque par mes parents. Je n'aurais rien non plus contre une petite lubie, très claquante, de ce style, si mon homme y trouvait son compte. Toutefois et là je suis formelle que l'on ne me parle pas de soumission et autre attirail folklorique. En fait ce qui me plaît dans clip, c'est son univers de pures sensations ...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




De l'amateur ? (petit clip)















Discipline entre filles (petite série)

mercredi 17 février 2016

836 Cette pulsion indomptée...

...qui intensifie l'orgasme !

Un jour j'avais expliqué à mon chéri...

...la théorie de l'orgasme dit pervers qui selon Freud est si intense parce qu'il est provoquée par la satisfaction d'une pulsion indomptée !

D'où peut-être la barrière morale des braves gens qui se méfient de ceux qui cherchent un comble d'extase en utilisant des pulsions peu communes. En apparence mon chéri est de bonne écoute au moment du petit déjeuner en tête à tête, mais je me pose souvent la question s'il m’écoute vraiment. Enfin, dans ce cas précis je suis de mauvaise langue, car peu après, suite d'un écart de comportement, j'ai entendu dire mon homme :

Allons nous occuper de ta pulsion indomptée, isabelle !

Étant été déjà déculottée et en attente d'un feu d'artifice sur mes fesses, j'ai eu l'impression qu'ils se paye...hm.. ma tête ? Ah comme il sait bien me lancer de jolies piques pour mettre à vif ma nervosité au moment fatidique. C'est un fait avéré, malgré un apparent foutage de gueule, ces petits mots détendent l'atmosphère. Une note d'humour qui sert pour me rassurer. Car dans ce que nous appelons communément nos pulsions ne se trouvent pas uniquement celles qui sont sexuelles, mais aussi celles qui sont agressives. Et pour réussir une bonne fessée punitive il faut engager un peu ces dernières, sinon je me sens volée de quelque chose. C'est par la moquerie qu'elles s'annoncent, pour mieux faire passer la pilule. Une certaine agressivité c'est l'épice pour garantir une bonne cuisson de mes fesses. Mais pour des filles trouillardes comme moi, petites pisseuses comme aime dire mon chéri, c'est à ce moment-là que peut s'installer un sentiment d'insécurité.

Alors les phrases bien pimentes comme l'action qu'elles soutiennent me font chaud dans le dos, physiquement et psychologiquement. Indispensable dans une pratique comme la fessée qui rend le contact avec les yeux impossible. D'où l'importance de la voix et du choix des mots. J'aime bien du calme et du (pseudo)sérieux pendant le sermon et en phase préparatoire avec pourquoi pas une petite touche de paternalisme :

On se met sagement en positon, les yeux droit devant et on tend convenablement son derrière pour participer activement à sa punition.

Puis de la moquerie ouverte pendant l'acte :

Jetzt gibt's tüchtig was auf de Arsch, isabelle !

(Je vais m'appliquer vaillamment sur ton cul)

A suivre...

lundi 15 février 2016

835 Quel est le secret d'une belle sonorité ? (Lundi cinéma)

Pour ceux et celles qui comme moi y soit sensibles !

Je ne suis pas forcement une adepte de fortes claques bien intenses, mais quand il s'agit d'une fessée à la main, moi allongée sur les genoux de mon homme, je me sentirais volée de quelque chose, s'il n'y a pas une belle sonorité qui se propage dans la pièce. Une fessée qui s’entend de loin et qui ferait dire à une bonne copine, témoin auditif malgré elle de mon déshonneur :

Mais qu'est-ce que tu te prends, isabelle ?

A vrai dire, n'ayant pas un esprit scientifique pour rien, je me pose toujours la question quel est l'ingrédient indispensable d'une prouesse sonore. Est-ce que le fessier de la dame, son volume au bon endroit qui améliore l'acoustique ? Est-ce la main du monsieur qui par sa taille, sa forme, sa façon de s'appliquer qui crée le prodigue ? Ou nettement moins romantique, est-ce que le choix d'une pièce avec une résonance particulière comme une salle de bain par exemple qui fait monter l'amplitude ? Bref quand mon homme me dit :

Nous allons faire d'abord chanter ton derrière, isabelle !

ce n'est pas une promesse vide. Malgré un tapage d'enfer (c'est le cas de le dire!) cela reste toutefois bien supportable.

Plus de bruit que de douleur en fait !

Selon lui, c'est une question de bon endroit qui fait frisonner les oreilles et évite la fausse note. Un peu comme dans ce clip où on voit sans le moindre mal (enfin façon de parler) quel sont les endroits les plus propices. Notons que la fessée qui sonne bien, est aussi à mon goût celle qui laisse le moins de traces, bien que la rouge uniforme mette évidement un moment pour disparaître. C'est à force de claquer que la douleur arrive au rendez-vous. Rien d'insupportable, mais suffisant pour que mes cris de rage, se transforment en larmes salutaires. D'où la subtilité verbale de mon chéri de faire d'abord chanter le derrière. Passons sur le fait que je ne suis pas toujours polie avec ce que je dis au moment de l'échauffement. Généralement il me suffit de deux minutes pour fondre en larmes, sachant que pour le prix d'une tenace brûlure je me retrouverai en paix avec moi-même. Satisfaite aussi par... la belle érection que se trimbale mon chéri sous son pantalon. Il arrive souvent, notamment après une belle correction qu'il me reprend sur ses genoux, assise cette fois-ci, pour me sermonner un peu et pour me faire quelques câlins aussi.

Il adore quand je n’arrête pas de gigoter sur la chose qui distingue les garçons des filles.

Et parfois, il nous arrive aussi de mettre une peu la discipline domestique de côté, que je m’installe entre ses jambes pour me pencher sur ce qui le démange. Enfin, cela n'élucide pas le mystère de la belle sonorité. Selon mon homme le phénomène serait dû au bon rebondi de mes fesses et bien sur son coup de main...

vendredi 12 février 2016

834 Liens de discipline domestique (204 ème édition)

Au menu cette semaine : Une fessée devant témoin !


La meilleure copine c'est celle qui nous connaît le mieux. Celle en qui on a vraiment confiance. Celle qui est au courant de nos mille et un grands et petits secrets. Celle avec elle nous avons l'habitude d'être mauvaises sans mauvaise conscience en nous moquant des malheurs de notre entourage. Souvent jusqu'au fou-rire. Il est donc peu étonnant qu'elle se glisse aussi dans nos petites fantaisies sous la couette. Au moment de journée quand on met ses aspirations libertaires de côté pour un univers « de se laisser faire ».

Évidement on cherche aussi de se donner des airs devant sa meilleure copine. Recherche d'une revalorisation narcissique particulièrement délicieuse, reconnaissance suprême par ses pairs. Mais étrangement dans la petite rêverie la chute est bien différente.

Littéralement une chute de la star qui se fait rappeler à l'ordre !

De manière peu orthodoxe. Malgré l'âge dépassé, c'est le moment de descendre sa culotte et de se préparer à une médecine qui n'existe plus. Certes il n'est pas revalorisant de devoir admettre d'être disciplinée de cette manière. Mais l'imaginer fait tellement de bien. Certes, il n'est pas revalorisant non plus, de nos jours, étant adulte d'admettre que l'on éprouve un besoin pour cette forme de discipline. Pourtant on l'imagine si bien appliquée dans son couple. Puis, la meilleure copine regarde. Non seulement, elle ne juge pas la situation, mais elle prend plaisir, mieux encore part à ce qui se passe. Elle c'est un penchant pour la brosse...


Pas besoin d'une oreille absolu pour reconnaître la sonorité caractéristique d'une bonne fessée. N'ayant pas connu la fessée comme punition dans mon enfance, ni chez mes copains et copines, mes associations se portent plutôt sur un sujet souvent évoqué et décrit sur les forums. Et bien que je manque de l'expérience cuisante dans un hôtel, je me pose souvent la question de tous ces adeptes de la fessée qui s'y rencontrent pour passer un bon moment.

Cela devrait s'entendre tout de même depuis le couloir ?

Pas besoin non plus que la dame soit aussi bruyante que moi. Même si elle « souffre en silence », impossible d'échapper aux fréquences de la main qui s'abat sur le popotin. Faisant partie plutôt des petits gens, je n'ai jamais vu un hôtel avec une insonorisation parfaite. Malheureusement les anecdotes sur un témoin auditif sont plus que rares. Ceci dit dans le feu de l'action, il me semble clair que la dame ait « d'autres chats à fouetter » que de se soucier d'un éventuel témoin.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !







Monsieur prend son pied (petite série)






Le paddle en cuir (mini clip)






mercredi 10 février 2016

833 Le paradis perdu de l'adolescence

Parfois il suffit de quelques jolies dessins!

En regardant ces chambres de grandes de JPC je me suis sentie aussitôt rajeunir, retrouver les émotions dans mon adolescence. Je pense qu'il n'est pas évident du tout de réveiller qui se trouve au fond d'une grande fille. Peut-être tout simplement parce que cet univers n'existe plus. Mais n'oublions pas qu'il a servi de base pour la construction de nos fantasmes intermédiaires entre l'enfance et notre âge d'adulte actuel. Mes souvenirs de mes activités sous la couette ou à l'école en serrant mes cuisses avaient perdu au fil du temps leur lien avec les émotions. Comme par miracle ce lien fut réactivé en regardant les jolis dessins, donnant une dimension de plus au souvenir, celle de l'instant. Voyons un peu ce que cela donne.

Le premier caractéristique de la sexualité enfantine, c'est la curiosité qui donne envie de chercher, de découvrir, d'expérimenter avec objet de l'étude, veut dire son propre corps. Et pour ceci l'enfant ne peut que compter sur lui. C'est un passage très passionnant quand je vois les jeux de ma petite qui me demande le soir de ne plus venir dans sa chambre, car elle a découvert un truc « trop bien » en ayant recours à un des ses doudous. Maman attentionnée, je respecte la pudeur de mon enfant, sachant très bien de quoi il s'agit. Mais j'aimerais pointer sur sa préoccupation principale qui me semble fort caractéristique pour un petit être humain de cet âge :

Suis-je la seule qui ressens de cette manière ou est-ce que c'est pareil pour tout le monde ?

Question à laquelle nous avons répondu, mon homme et moi, chacun en tête à tête avec notre fille. Et voilà l'enfant rassuré autant de ne pas faire quelque choses « d'interdit », mais aussi déjà adapté à la convention sociale qui veut que l'on ne fasse pas de telles choses devant autrui. Enfin pas avant d'être adulte au moins, mais bon cela ne regarde pas un petit enfant.

Passons à l'adolescence. Il y a beaucoup de changement. Il ne s'agit plus de se procurer des sensations en solitaire, mais d'impliquer une autre personne. Ado on sait que ces sensations fort plaisantes font partie de la condition humaine. Seulement on a compris aussi qu'il semble exister « certaines normes » concernant les associations et les modalités d'apaisement de ces sensations. Et on retombe à nouveau sur notre vielle question :

Suis-je la seule de rêver de me prendre une bonne fessée ?

Certes, on a compris qu'il ne s'agit pas de la manière dont se perpétue ce monde, mais quel dommage de renoncer subitement à ses évocations sous la couette. Pour ma part les rêveries de fessée se passaient à cet âge dans un univers très « JPCien » entre filles, rassurant par le fait de trouver une similitude de fantasmes par ses pairs. Cet univers était distinct de mes rêveries concernant les princes charmants et j'ai mis beaucoup de temps pour projeter mon fantasme dans une relation amoureuse avec le futur homme de ma vie.

lundi 8 février 2016

832 Question de bonne cadence (Lundi cinéma)

La fessée est un acte d'amour charnel...

...que les uns aiment avec une cadence plutôt soutenue et intense, les autres avec plein de câlins et une main plutôt vicieuse que fort claquante. Il me semble parfaitement inutile de discuter les différentes manières techniques. Cela me rappelle les soirées entre hommes qui se rencontrent leurs prouesses ou pire encore le monsieur qui essaye de vanter ses performances devant la dame pour pouvoir mieux l'emballer par la suite.

En gros, ma fessée de rêve n'est pas sur net.

Ma fessée de rêve ne rentre pas dans un mode d'emploi en ce qui concerne les travaux pratiques. Ma fessée de rêve n'est pas stéréotypée, et dépend de mon humeur du jour.

Il faut savoir lire en moi pour détecter ce qui cherche satisfaction.

Mon besoin de punition ou mon besoin d'un petit frisson en pleine journée. La jolie aventure qui brise la routine du quotidien avec déculottage hâtif qui me montre à quel point mon chéri est pressé de me faire la fête. Pas besoin d'un instrument. C'est le moment propice à la main qui s’occupera de mon postérieur. Allongée sur les genoux de monsieur qui me communique l'enthousiasme pour son action par une virilité fièrement dressée par mes charmes sous son pantalon.

C'est un terrain de communication non verbale, un terrain de sensations physiques.

Je ne cherche pas que l'on fasse un concours de résistance mutuelle, je cherche... l’excitation sexuelle tout banalement. Je cherche que la chaleur de ma peau du derrière communique avec mon entrejambe en le rendant luisant, pénétrable en douceur. J'aime une position qui me permet de gigoter à ma convenance, contracter mes muscles au rythme des claques. D'où l'importance de bien s'accorder et la nécessité d'une certaine lenteur dans l'application. Puis, l'art non négligeable, je souhait une forte sonorité, entendre s'extasier bruyamment la peau de mon fessier sans toute fois me trouver à affronter une brûlure ingérable. Je me délecte de l'imprévu, des originalités et le vice de la main est le bienvenu. Loin de la monotonie d'une correction qui sert à remettre les idées en place, je veux de la créativité. Bref comme dans un acte d'amour de plus banal, de la vanille pure comme disent dédaigneusement certaines mauvaises langues, je veux un riche bouquet de sensations. Et une fois la cuisson à point, je suis prête à toutes les vilaines choses possibles. Qu'il s'agisse de soulager l'état tendu de mon chéri par un habile jeu de langue ou de me mettre à disposition pour qu'il me montre virilement qu'il possède la bonne clef pour toutes mes portes, la grande comme la petite. Et fort heureusement le plaisir est toujours au rendez-vous après tant d'années...

vendredi 5 février 2016

831 Liens de discipline domestique (203 ème édition)

Au menu cette semaine : Une fille bien élevée...


J'imagine la sensation particulièrement plaisante et le petit tu mériterais bien une, isabelle de mon homme pour endiguer mes élans de vilaine fille. J'imagine le coup de vent qui se superpose aux puissantes vibrations. Malheureusement je ne suis pas courageuse. Non pas dans le sens de ne pas oser de montrer mon popotin dans un string, ni même tout nu, mais de choses et situations qui me font peur. Par exemple monter sur une grosse moto, même en compagnie d'un charmant monsieur en fait partie. Idem pour les manèges à haute sensation dans une fête lorraine. Pas de sport extrême non plus. A la imite je me laisserais convaincre pour monter en selle (sans cheval!), bravant ainsi une autre danger qui est le sujet de ce blog. Ce manque de courage n'est pas une donnée personnelle qui me dérange. Car bien heureusement je ne me sens pas tentée non plus par les défis de toute sorte. Même pas chiche ! Je n'ai rien à me prouver et encore moins aux autres. Mais bien souvent j'accepte volontiers un petit coup de main.

Déjà toute petite j'ai su comment trouver quelqu'un pour m'accompagner au train fantôme.

Et je n'ai pas changé depuis. Pour ce qui est délicat ou dépasse mes capacités j'ai mon chéri. Et bien que je ne ferais même pas un tour de vespa toute seule, je saurais peut-être vaincre ma peur pour m’accrocher (agripper !) à lui qui est bon et surtout raisonnable conducteur le cas échéant.

Pourtant j'aime comme beaucoup de filles les vibrations.

Il m'arrive par exemple de me mettre sur la machine à laver quand elle essore. Sans complexes et sous le sourie parfois de mon chéri. J'imagine alors le petit truc en plus avec les fesses à l'air sur une moto. Ben oui, mon petit clip m'a procuré de jolies rêveries cette semaine. Pour sauver mon honneur, j'aime beaucoup me produire en Brigitte (tenue à l’appui) pour copier dans le fêtes familiales sa déclaration d'amour à l'Harley Davidson...


Quel superbe sujet de Monsieur le professeur. Malheureusement il me manque en ce moment le temps pour philosopher, mais me fiant à mon expérience je ne puis que confirmer. Il semble donc exister des constructions de fantasme qui permettent de vivre une satisfaction tout en étant puni. Sous forme d'un agréable apaisement assez proche de celui survenant à la suite d'une bonne séance de vanille. L'exemple le plus frappant concerne certains mécontentements avec moi même. Quand je m'en veux pour ceci ou cela et que je devienne par ce fait « inconsommable ». Il suffit dans ce cas que mon chéri proclame mon litige intérieur comme faute punissable, ou plus subtilement quand il constate mes agissements inacceptables décide que mes états d'âme ne justifient nullement un tel écart de comportement.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Personne n'a l'air malin dans pareille situation






J'aime l'élégance





Une autre époque




Plutôt érotique que fessée (petit clip)



lundi 1 février 2016

830 Certains commencent tôt (Lundi cinéma)

Et si la fessée aussi se glissait dans les mœurs ?

En voyant ce jeune homme s'amuser avec sa copine je trouve dommage que cela n'a pas existé à mon époque. Pourtant je suis de la génération dite P, de la génération magnétoscope qui a découvert les plaisir de la chair en absence de leurs parents ou par intermédiaire des films de leurs grands frères comme moi. Pour le dire tout de suite, je n'ai pas trouvé cela « intéressant » à regarder outre que...

...sur un point de vue technique pour épater mes princes charmants par un certain savoir faire !

Le préservatif faisait partie de mœurs et il m'arrivait de les mettre sur la liste des courses de mes parents qui était accroché au mur de la cuisine. Entreprise relevant de toute la splendeur de l'adolescence avec ce besoin quelque peu étrange avec le recul d'afficher ostensiblement mon indépendance sexuelle. Mes parents ont pris mes tentatives avec beaucoup d'humour et je me souviens d'une petite remarque de ma maman qui ma fait comprendre le ridicule de mon comportement :

Tu les veux quel goût, tes préservatifs, isabelle !

Ben oui, mes parents n'étaient pas de vanillas normalisés (bien que on ne parlait pas encore de la vanille) et j'ai dû admettre également que mes parents aussi avaient encore une vie sexuelle.

Quelle prétention de la jeunesse !

De toute façon ayant espionné comme tout le monde les tiroirs de la chambre parentale, j'avais déjà découvert entre autre ces belles choses qui se mettent dans le derrière et procurent d'étranges sensations quand on est sagement assise quelque part et personne ne se doute pour le moins du monde de notre petit secret. Je fut moins enthousiasmée par les appareils de massage et cela n'a pas changé depuis. Par contre j'étais vite tentée par un rasage intégral de mon entrejambe comme le faisait de temps en temps ma maman.

Avec un résultat littéralement sensationnel !

Parallèlement avec l'auto-expérimentation du moindre recoin de mon corps, j'ai su aussi me glisser dans ma vie de femme. En prenant le temps, en choisissant bien et surtout sans me laisser forcer la main par
les princes hâtifs. J'ai laissé tomber aussitôt tout prétendant qui ne s'adaptait pas à mon rythme. J'ai pu ainsi vivre de jolies aventures amoureuses, peu nombreuses, mais de qualité.

Manquait seulement une découverte sensuelle de la fessée entre ados découvrant les plaisirs de la chair

Ben oui, il faut y aller doucement. Passer d'un fantasme à une réalisation demande de prendre beaucoup de temps. On ne se lance pas non plus dans la vanille d'un jour à l'autre. Prendre le temps pour comprendre les sensations des brûlures dans les fesses. Comprendre que la fessée puisse produire un effet qui lève certaines inhibitions. Comprendre que reproduire les corrections imaginées des pensionnats de mes rêveries risque plutôt de détruire une relation amoureuse au lieu de lui apporter un surplus. Comprendre que le besoin de punition n'est pas un besoin de maltraitance et ainsi de suite. Comprendre que la plupart des clips de nos jours sur le net sont aussi éloignés de ce que souhaite la dame lambda que les film P à rapport de la vanille amoureuse.

Je pense que la fessée a sa place tout naturellement dans la sexualité humaine !

Ma petite, ainsi que ses copines, n'ayant jamais eu contact avec la fessée, ni comme moyen d'éducation, ni comme une partie espionnée de la vie intime de leurs parents, la connaissent pourtant comme allusion qu'elle se font entre elles. Oui, je pense que la fessée vas se glisser (ou est déjà en train plutôt) dans la vie intime des nouvelles générations, justement parce qu'elle a perdu sa place dans les méthodes éducatives. Elle existera sous sa forme sensuelle, plus ou moins savoureuse et sous sa forme pour satisfaire un besoin de punition. Et la fessée version « très fortes et très longues sensations » sur postérieur ?

A mon avis -l’être humain dans sa majorité étant peu intéressé par les extrêmes - elle restera aussi marginalisée que de nos jours...