mercredi 13 décembre 2017

1070 Discipline libidineuse (petite fiction)

(Suite de : L'élégante dame se confesse)

Monsieur est un fesseur attentif et chevronné

Il reproduit parfaitement la technique qui a fait ses preuves sur lui pendant son adolescence. Non, il n'aime pas trop en parler quand pour les graves écarts de comportement il fut invité de déboutonner son pantalon et de le baisser en même temps que son slip. Il avait fait sien ce geste et savait (et saurait encore) l'accomplir sans manquer de fluidité. Bien que très respectueuse de l'intimité de son fils, la punition représentait un univers à part et fut appliquée par sa mère toujours sur les fesses nues.
Pour ce elle se servit d'un martinet traditionnel, accroché en permanence dans l'arrière cuisine et faisant part des indispensables de du ménage. Ayant le poignet souple et tonique, le jeune homme fit la cuisante expérience que chaque non respect du règlement de la maison entraînât systématique une correction.

Apparemment une punition se composait de trois éléments : La douleur, la honte et la peur.

Douleur car le martinet causait autre les stries aussi une intense brûlure. Honte car sa sanction par l'élément de la nudité partielle ne tenait pas compte de sa pudeur et parce qu'en fin de l'acte il fondait régulièrement en chaudes larmes de repentance. Puis peur car il savait trop bien qu'en cas de récidive il fallait affronter à nouveau tout ce cérémoniel. Seulement en grandissant, arriva un quatrième élément dont il ne serait pas doute pour le moins du monde. Les fesses encore brûlantes, il se trouva le soir sous la couette en garde-à-vous. Quelque peu honteux de cette subite érection dans un premier temps, la tentation fut à la longue plus forte que lui et il commença à soulager son état tendu après chaque séance de discipline maternelle. Il devint même de plus en plus insolent pour goûter plus souvent à son plat favori.


A chaque acte de discipline infligé à sa dame l'érection est au rendez-vous.

Il arrivait à Monsieur au début de leur discipline conjugale, une fois sa femme au coin, ses fesses rouges devant les yeux, de mettre discrètement sous son bureau sa main sur la bosse de son pantalon. De là en ouvrir sa braguette pour un petit massage n'était qu'une formalité.

La passion de son mari pour la discipline corporelle n'échappa à sa femme. Certes, l’érection masculine dans un tel contexte ne faisait pas partie de ses préoccupations quand elle a été jeune fille, mais agrémenta vite son quotidien de femme adulte. Quelle heureuse surprise, pensa-t-elle, en découvrant son mari tendu à ce point sous son pantalon. Notamment quand il la faisait agenouiller devant lui pour embrasser autant la martinet que la main qui venait effectuer la sanction. Madame fort troublée d'une telle constellation à quelques centimètres de ses yeux a prit un jour son courage en main, en coupant court avec des ambiguïtés. Elle ouvrit hardiment la braguette de son mari pour lui exprimer avec une langue habile tout étendu de sa gratitude. Et monsieur se sentant enfin compris sous des airs d'un grand éducateur d'un autre âgé, accepta volontiers l'offrande. Cet extra est devenu une habitude qui les lie et qui renforce leur amour. Monsieur ne compte désormais plus de rester dans un état tendu. Il incombe a Madame de réparer les dégâts causés et elle s'en charge en prenant ouvertement plaisir. Contrairement à ses habitudes de gamine, elle préfère rester maintenant discrète. Sa libido lui a montré toute une gamme de sensations qui dépassent de loin les satisfactions narcissiques d'un simple passage au coin.

Elle ne s'en vante pas devant ses copines qu'à la maison, dans son couple, les châtiments corporels sont toujours d'actualité.

Qu'il y ait même un martinet dans le tiroir du bureau de son homme. Qu'elle retienne son souffle quand Monsieur le sort pour la rappeler à l'ordre. Que se propage dans son entrejambe l'émoustillent hors pair de la vilaine fille qui sous peu va être ramenée à la raison.

Pour elle, un « être vilaine » érotisée à souhait et apaisée de manière adulte se distingue d'un « pas être sage ».

C'est de cette dernière manifestation de sa libido qu'elle n'est pas fière du tout. Plutôt enfantin ce « pas être sage » avec une maladroite séduction qui tourne en rond sans savoir encore ce qui est sa visé. Pas sage rime avec agaçant. Se sentir sous l'emprise d'un impérieux besoin de faire chi.. son monde comme aime dire son homme. Car hélas, il arrive régulièrement à Madame ... d'être chian..te. C'est là où se pose le dilemme. Un impérieux besoin de faire chi.. son monde a -comme indique l'expression- besoin du monde, d'un témoin du déshonneur, d'un témoin sur la bonne longueur d'onde...

A suivre

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