(Suite de : L'élégante dame se
confesse)
Monsieur
est un fesseur attentif et chevronné
Il reproduit parfaitement la technique
qui a fait ses preuves sur lui pendant son adolescence. Non, il
n'aime pas trop en parler quand pour les graves écarts de
comportement il fut invité de déboutonner son pantalon et de le
baisser en même temps que son slip. Il avait fait sien ce geste et
savait (et saurait encore) l'accomplir sans manquer de fluidité. Bien que très respectueuse de
l'intimité de son fils, la punition représentait un univers à part
et fut appliquée par sa mère toujours sur les fesses nues.
Pour ce elle se servit d'un martinet traditionnel, accroché en permanence dans l'arrière cuisine et faisant part des indispensables de du ménage. Ayant le poignet souple et tonique, le jeune homme fit la cuisante expérience que chaque non respect du règlement de la maison entraînât systématique une correction.
Pour ce elle se servit d'un martinet traditionnel, accroché en permanence dans l'arrière cuisine et faisant part des indispensables de du ménage. Ayant le poignet souple et tonique, le jeune homme fit la cuisante expérience que chaque non respect du règlement de la maison entraînât systématique une correction.
Apparemment
une punition se composait de trois éléments : La douleur, la
honte et la peur.
Douleur car le martinet causait autre
les stries aussi une intense brûlure. Honte car sa sanction par
l'élément de la nudité partielle ne tenait pas compte de sa pudeur
et parce qu'en fin de l'acte il fondait régulièrement en chaudes
larmes de repentance. Puis peur car il savait trop bien qu'en cas de
récidive il fallait affronter à nouveau tout ce cérémoniel.
Seulement en grandissant, arriva un quatrième élément dont il ne
serait pas doute pour le moins du monde. Les fesses encore brûlantes,
il se trouva le soir sous la couette en garde-à-vous. Quelque peu
honteux de cette subite érection dans un premier temps, la tentation
fut à la longue plus forte que lui et il commença à soulager son
état tendu après chaque séance de discipline maternelle. Il devint
même de plus en plus insolent pour goûter plus souvent à son plat
favori.
Devenu adulte,cette érotisation des châtiments corporels , malgré unretournement du côté du manche, ne l'a jamais quitté.
A
chaque acte de discipline infligé à sa dame l'érection
est au rendez-vous.
Il
arrivait à Monsieur au début de leur discipline conjugale, une fois
sa femme au coin, ses fesses rouges devant les yeux, de mettre
discrètement sous son bureau sa main sur la bosse de son pantalon.
De là en ouvrir sa braguette pour un petit massage n'était qu'une
formalité.
La
passion de son mari pour la discipline corporelle n'échappa à sa
femme. Certes, l’érection masculine dans un tel contexte ne
faisait pas partie de ses préoccupations quand elle a été jeune
fille, mais agrémenta vite son quotidien de femme adulte. Quelle
heureuse surprise, pensa-t-elle, en découvrant son mari tendu à ce
point sous son pantalon. Notamment quand il la faisait agenouiller
devant lui pour embrasser autant la martinet que la main qui venait
effectuer la sanction. Madame fort troublée d'une telle
constellation à quelques centimètres de ses yeux a prit un jour son
courage en main, en coupant court avec des ambiguïtés. Elle ouvrit
hardiment la braguette de son mari pour lui exprimer avec une langue
habile tout étendu de sa gratitude. Et monsieur se sentant enfin
compris sous des airs d'un grand éducateur d'un autre âgé, accepta
volontiers l'offrande. Cet extra est devenu une habitude qui les lie
et qui renforce leur amour. Monsieur ne compte désormais plus de rester dans un état tendu. Il
incombe a Madame de réparer les dégâts causés et elle s'en charge
en prenant ouvertement plaisir. Contrairement à ses habitudes de
gamine, elle préfère rester maintenant discrète. Sa libido lui a
montré toute une gamme de sensations qui dépassent de loin les
satisfactions narcissiques d'un simple passage au coin.
Elle
ne s'en vante pas devant ses copines qu'à la maison, dans son
couple, les châtiments corporels sont toujours d'actualité.
Qu'il
y ait même un martinet dans le tiroir du bureau de son homme.
Qu'elle retienne son souffle quand Monsieur le sort pour la rappeler
à l'ordre. Que se propage dans son entrejambe l'émoustillent hors
pair de la vilaine fille qui sous peu va être ramenée à la raison.
Pour
elle, un « être vilaine » érotisée à souhait et
apaisée de manière adulte se distingue d'un « pas être
sage ».
C'est
de cette dernière manifestation de sa libido qu'elle n'est pas fière
du tout. Plutôt enfantin ce « pas être sage » avec une
maladroite séduction qui tourne en rond sans savoir encore ce qui
est sa visé. Pas sage rime avec agaçant. Se sentir sous l'emprise
d'un impérieux besoin de faire chi.. son monde comme aime dire son
homme. Car hélas, il arrive régulièrement à Madame ... d'être
chian..te. C'est là où se pose le dilemme. Un impérieux besoin de
faire chi.. son monde a -comme indique l'expression- besoin du monde,
d'un témoin du déshonneur, d'un témoin sur la bonne longueur
d'onde...
A
suivre
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