vendredi 19 mai 2017

1003 Liens de discipline domestique (271 ème édition)

Au menu cette semaine : De la satisfaction de celui qui punit !

Intéressante perspective

Selon mes expériences punir par une claquante fessée une grande fille procure un bien fou a certains messieurs dont fait parti mon chéri. Rien que l'acte de me déculotter ou de regarder me déculotter suffit pour mettre son sang en ébullition. En déclenchant le rituel de la fessée conjugale, il devient (pour une fois!) le maître incontestable à la maison. Comme il est fier que j’exécute la moindre de ses commandes. Comme il est revalorisé que subitement les petites choses qui l'agacent en moi peuvent se verbaliser dans un cadre de bienveillante discipline.

Qu'est-ce que cette coupe de cheveux, isabelle ?

Je me suis laissée inspirer par Katy Perry mon chéri. Tu n'aimes pas ?

Mais bien sûr qu'il aime. Même s'il n'ose pas l'admettre. Je l'ai entendu dire à un de ses copains qui comme lui est nostalgique d'un certain image sexy de la femme. Ainsi j'ai appris qu'il me préfère avec une coupe très courte à effet toujours impeccable. Cela va un peu plus loin encore que des simples considérations esthétiques. A chaque fois que je reviens de ma coiffeuse en m'affichant en insolente garçonne- donc une fois par mois – j'ai droit d'abord à un sermon quelque peu « étrange », puis mon audace est punie par une fessée à la main.

J'adore ce rituel.

C'est lui qui va me déboutonner mon jeans, baisser mon string, puis m'allonger sur ses genoux. Il s'applique bien avec ardeur pour que je puisse faire du coin plus tard avec un fessier de plus rouge. Au début de la manœuvre je me sens comme une authentique rebelle pour retourner ma veste en moins de quelque minutes. Les choses se font toutes seules et je chante bientôt avec conviction la chanson de la fille contrite.
Psychodrame que je trouve fort agréable (avec le recul) et qui me laisse parfaitement détendue. Cet état de grâce vaut bien la bonne brûlure dans mes fesses. Monsieur le sait et pour cette raison il m'envoie toute nue au coin. En confisquant mon jeans, mon string et tout le reste. Seulement avec les années notre discipline se change de plus en plus en débauche éhontée. Après quelques minutes au coin je sens mon homme dans mon dos. Il me caresse mes fesses et me fait plein de bisous dans la nuque. Sans oublier de mordiller mes oreilles. Sensations que je trouve absolument délicieuses. Puis je sens qu'il commence à mes masser la petite porte avec de la vaseline. Encore une sensation que j'adore surtout quand mon fessier est préchauffé.

Tu va encore me mettre ton machin dans mon popotin ?

C'est toi-même qui m'a dit que c'est l'endroit par où passe la discipline, isabelle !

Monsieur sait s'y prendre pour m'agrémenter la discipline rectale. Des langoureux va et viens sans toute hâte que j'accompagne par une forte respiration et des soupirs d'un plaisir vraiment étrange. Je pense subitement à ma coiffeuse qui m'a demande si mon chéri aime les cheveux courts. En fait je n'en sait rien, mais je sais que dans les heures qui suivent je « passe à la casserole » pour mon plus grand plaisir.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !








Superbe position (Petit clip)










24 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Ah la satisfaction du devoir (de punition) accompli .
    Par discipline rectale, j'imaginais une sanction plus
    "médicale" (perso, le monde médical a toujours une grande influence dans ma vie courante).Dans le style "infirmier à domicile pour patientes... impatientes" avec prise de température et suppositoires à l'appui. Enfin, c'est ma version. Rires.
    Parmi vos liens, celui intitulé "un faible pour les gouvernantes" est illustré par un auteur appelé "Hardcastle" qui a œuvré pour le magazine Janus, entre autres.
    Voilà pour la petite info.
    Bon WE. Mac-Miche.

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  2. L'infirmière à domicile c'est moi... rire! Enfin, nous aimons bien parfois une minime touche médicale, mais dans l'ensemble nous sommes assez traditionnels.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Vous avez bien raison : le classique visité et revisité mais un plaisir sans cesse renouvelé. J'envie votre compagnon . Quel veinard.
    Mac-Miche.

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  4. "une coupe très courte à effet toujours impeccable" : style Louise Brooks dessiné par Manara? il y a en effet de quoi perdre son sang-froid, et corriger l'insupportable provocatrice!

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    1. Celle-là, je l'ai aussi essayée cher Monsieur Bertrand. Je n'ai pas d'explication, mais ces coupes courtes semblent attirer la fessée. Preuve donc que "la garçonne" ne laisse pas indifférente.

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    2. Bonjour Isabelle,

      Eh oui, la coiffure influence parfois l'idée que l'on se fait des comportements des femmes.
      Dans les années 1920 et 1930, "les Années Folles" comme on les a nommées à postériori, les robes et les chevelure raccourcissent.
      Une coiffure courte pour une femme de cette époque était une "mini révolution sociale" !!
      Une horreur pour les conservateurs puisque synonymes de rébellion. Une forme de défi à la puissance de la famille et du mari. Dans les mœurs de l'époque, cela nécessitait un "recadrage conjugal" et je vous laisse juge du traitement approprié.
      Seules les classes aisées ou les artistes, avant-gardistes s'autorisaient ces "folies".
      Quelques temps plus tôt, le port du pantalon par les femmes fut interdit par voie légale. Autre époque...
      Mac-Miche.

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    3. Beaucoup d'hommes, dont je suis, sont très attiré par la nuque de la femme, et la coupe à la garçonne la met très bien en valeur, c'est très érotique et chaste à la fois. Mais le rapport entre cette coupe et la fessée, là non je ne vois pas le rapport.

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    4. Pour Monsieur Mac-Miche

      N'oublions pas que les dames pendant la première guerre ont fait l’expérience de pouvoir se passer des hommes. Cela gonfle forcement l'ego...

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    5. Pour Monsieur Bertrand

      Je vous donne raison. Selon mes expériences l'érotisme d'une nuque bien visible n'est pas à sous-estimer. Je me suis même déjà faite mordre par mon homme...rire!

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    6. Bonsoir Isabelle,

      Très juste. Et heureusement, que la gent féminine a su remplacé avec efficacité et brio leurs hommes occupés au front.
      On comprend mieux les revendications et le combat des "suffragettes" britanniques, qui a souvent été raillé par la presse entre autres...
      A la Révolution, en France, une citoyenne avait ainsi harangué ses consoeurs à la tribune pendant une séance en exigeant les mêmes droits que leurs maris puisque elles étaient leurs égales devant la peine capitale. Demande somme toute logique et justifiée.
      (Petite digression "historique". Désolé)
      Mac-Miche.

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    7. Ce qui me parait vraiment triste c'est qu'il faut encore discuter l'égalité des droits entre hommes et femmes au lieu de la considérer comme une évidence...

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    8. Bonjour Isabelle,

      Mazette ! Monsieur 183 serait-il devenu subitement un... un vampire ??? Mon Dieu, quelle horreur !!!
      Vite ! Croquons une gousse d'ail !!! Rires.
      Mac-Miche.

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    9. Bonsoir Isabelle,

      Vous avez tout à fait raison: il semble par moments que les femmes n'ont pas assez prouvé qu'elles étaient capables de prendre des décisions à l'égal des hommes et d'en mériter les mêmes droits.
      Le combat ne serait donc jamais terminé ?
      Mac-Miche.

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    10. Il n'y a pas de combat, ni un principe de mérite pour avoir des droits, cher Monsieur Mac-Miche. Regardez le monde, bien de pays ont une dame en haut de la pyramide politique et cela marche très bien.

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    11. Bonjour Isabelle,

      C'est vrai. Les femmes ont une vision différente du pouvoir par rapport aux hommes. Il est peut-être plus axé sur le sociétal et l'économique pour le bien-être de tous , moins offensif peut-être dans certaines situations.
      Dans les conflits, les femmes semblent privilégier très souvent la persuasion par le dialogue alors que les hommes, eux, ont recours à l'action avant la parole. C'est mon avis perso.
      L'Histoire universelle a retenu le noms et le règne de femmes dirigeantes, et en premier lieu la reine Cléopâtre IV et la liste n'est pas exhaustive...
      Mac-Miche

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  5. Bonsoir Mr Bertrand,

    Louise Brooks revisitée sous le crayon de Manara ? Il faut que je me replonge dans mes classiques.
    J'avais confondu avec Betty Boop, la pin-up accompagnée de son fidèle toutou Bimbo , le complice de ses aventures et crée dans les années 1930/1940... Merci pour l'info.
    Bon W-E. Mac-Miche.

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    1. Sans être une fan du Manara "commercial" j'aime bien la série sur Louise Brooks, version très coquine. Sinon j'adore le "Manara " créatif, style "Jour de colère".

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    2. Ah je ne connais pas ce Manara là. Je crois que Manara a rencontré Louise Brooks dans les années 80/90, elle était bien sur une femme âgée mais elle avait encore fière allure.

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  6. J'ai un point commun avec votre mari : je suis fan de Katty Perry!

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  7. Pour sa musique aussi ? Enfin, la petite et moi nous adorons sa musique, mais mon homme doit avoir aussi des motifs moins chastes... rire.

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  8. Bien sur, la musique. De même je regarde les clips de Rihanna ou de Beyoncé uniquement sur le plan du rapport son-image, c'est très intéressant, votre homme aussi je suppose.

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  9. Soyons clairs, ces dames savent s'y prendre pour attirer l'attention des messieurs. Celle des dames aussi... j'essaye par exemple avec ma petite de reproduire les chorégraphies de Beyoncé. Le chant aussi d’ailleurs , mais cela n'est pas mon fort.

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  10. "C'est toi-même qui m'a dit que c'est l'endroit par où passe la discipline, isabelle !"

    Vous avez vraiment de grandes similitudes avec ma compagne!

    Celle-ci dit que le "devant", certes c'est intime et honteux, mais qu'au moins la pénétration c'est le "devoir conjugal" classique que l'on attend de respectables femmes mariées.

    En revanche le "derrière"... c'est vraiment honteux et "naughty".
    - C'est le lieu sale par excellence.
    - C'est par là que sa maman lui administrait la purge (pas un moment de grande dignité).
    - C'est le lieu de la fessée, là encore pas un acte très digne pour une grande fille.
    - C'est un lieu où la pénétration, faute d'avoir une justification pratique (absence de contraception, préservation de l'hymen...) relève vraiment de la perversité.

    Chez nous ça donne madame qui regarde le sol et dit "chéri, ce soir, je voudrais hem... enfin... dans le derrière".

    Elle approuve également le choix de la Vaseline par rapport au gel à base d'eau. Celui-ci est préférable s'il faut pouvoir se laver rapidement après l'acte (la Vaseline colle au pénis), mais celle-ci est plus visqueuse, sèche moins et laisse un "petit souvenir" (l'anus reste ensuite gras) qui lui rappelle sa condition de femme qui vient de prendre par derrière...

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    1. Je pense tout simplement que le titillement par derrière est assez commun chez bien de dames (et messieurs aussi!). J'entends par titillement une réelle sensation d’excitation qui demande un apaisement. Seulement notre culture ne prévoit pas ce mode de satisfaction. Entre autre pour le lien avec le propre/sale. Il est difficile pour une dame d'en parler à cause du risque d'être prise pour une délurée. D'un autre côté le plaisir dans le sens physique est souvent lié à la honte. Sorte de « mauvaise connexion » qui s'établit quand la pudeur se met en place.
      Il en va de soi que je comprends bien votre dame, déjà comme vous avez remarqué pour des similitudes évidentes dans certaines approches. Notons que pour ma part aussi je trouve agréable le contact avec la vaseline...

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