Au fil des années mes rêveries de fessée pour nudité aguichante
se sont collées dans un décor de glamour sexy.
C'est la vie de tous les jours qui
ajoute les ingrédients. Les magazines spécialisés pour montrer des filles plus ou moins dénudées étaient un véritablement
phénomène de société à partir des années 70 en Allemagne. On en
trouvait presque partout, dans les familles jusqu’à dans les
salles d’attentes de pas mal de docteurs.
Pour
mieux comprendre le contexte de l'époque voici un peu d’histoire…
La libération sexuelle des années 70
va de paire avec la révolution commerciale et l’arrivée de la
consommation de masse. Il n’est pas étonnant alors que «
l’industrie coquine » cherche à profiter de cette manne par des
magazines les plus divers. Pour faire du grand tirage, il faut
échapper à la censure. Présenter les choses d’une telle manière
que les images ne choquent pas le grand public. Ou heurtent la
sensibilité des mineurs.
En Allemagne la recette est simple. On
mêle la nudité à toutes les sauces pourvu qu'il y ait de l'humour.
Il est seulement interdit de montrer des parties génitales
explicitement. A cette condition le magazine peut être vendu
n’importe où et acheté par n’importe qui. Ce qui veut dire en
clair que les messieurs par la spécificité de leur anatomie ne se
prêtent pas à ce genre de publication. Pour les femmes c’est
beaucoup plus simple. Elles sont dotées selon les méandres de la
législation allemande d’une censure intégrée :
Les
poils pubiens suffisent pour cacher ce qui est interdit de montrer.
Il en va de soi que les allusion au
rasage pubien ne manquaient pas. Petit frisson à l'évocation d'un
interdit et d'une limite à ne pas dépasser qui de nos jours donne
un air rétro à ses publications avec ces dames aux toisons très
fournies. Depuis dans ma génération l'épilation intégrale à fait
un raz-de-marré en Allemagne. Toutes mes copines ont cédé à cette
mode.
Ces magazines coquins ont a fertilisé
mon imagination. On aurait dit des filles à moitié nues avec des
sous-vêtements affriolants en déguisements de carnaval :
Soubrettes,
policières,
militaires,
danseuses,
infirmières
etc se dévoilèrent de manière assez impudique sans toutefois tout
montrer. (A défaut de magazines allemands accessibles j'ai mis des
liens de leurs équivalents anglais qui vont tout de même un peu
plus loin). Laissant planer le doute (surtout pour un enfant) si au
fond il ne s'agissait qu'une ambiance de fête entre filles. Ces
magazines passaient bien parce que l’accent était toujours mis sur
un humour « joie de vivre ». Calqué sur ce modèle, dans mes
fantaisies...
...
intervenait toujours une personne d’autorité, très en colère,
homme ou femme, peu importe qui mettait une fin à ce qui semble
ludique en appliquant une claquante fessée à chacune des
participantes.
Il y avait également quelques rêveries
concernant les fessées dans les vestiaires de filles. Comme la
punition d’une rapporteuse ou des actes motivés par la rivalité
ou jalousie. L'accent étant mis sur le côté humiliant de la fessée
et nettement moins sur le côté sensuel.
A suivre...
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