vendredi 10 juin 2016

891 Liens de discipline domestique (221 ème édition)

Au menu cette semaine : Les yeux dans le dos


Après presque 18 ans de vie en commune mes fesses restent une source d'attirance majeure pour mon homme. Il ne se lasse pas de les regarder, habillées ou nues. Il ne se lasse pas les tripoter avec une préférence de remonter avec sa main le long de mes jambes pour se glisser sous mes jupes ou robes. Il ne se lasse pas de la bonne claque joviale qu'il m'applique quand je porte un jeans bien serré. Il ne se lasse pas de me fesser dans toutes les positions possibles. Et - très important - il ne se lasse pas de me complimenter... sur mes fesses aussi.

Il a aussi une autre qualité importante. Quand il se trouve devant mes fesses nues, dans une situation où il ne s'y attend pas, il marque un temps d’arrêt et son visage s'illumine comme celui d'un petit garçon dont le vœux le plus cher se réalise.

Miroir, mon beau miroir ? Ben non !

Des années de « pratique du coin » , m'ont donné un sixième sens. J'ai l'impression de voir ce qui se passer derrière moi. Enfin, c'est simple à savoir, je connais trop bien bien ses expressions. J'ai souvent les plaisir de savourer toute la gamme dans les situations les plus diverses.

Bref, parfois je le surprend ainsi le matin par ma nudité intégrale, pour notre petit déjeuner en tête-à-tête. L'émerveillement opère sans qu'il y ait forcement question de fessée. Il réagit (en laissant le petit garçon de côté) comme un ado pris en flagrant délit d'espionner l'intimité d'une dame. Un peu gêné, mais trop fasciné par ce qu'il voit pour pourvoir détourner son regard. Puis l'homme se saisit de lui, il retrouve son assurance imperturbable qu'il sait si bien afficher.

En manque d'idée pour t'habiller, isabelle ?

Superbe sujet ! J'adore écouter ses suggestions. Certes cela reste toujours dans le même registre, mais au fond je trouve cela fort rassurant. J'adore les habitudes. Et pendant que je bois mon café, le mâle en lui se réveille. Hors de question de me laisser partir sans gros câlin. Il reste dans un registre de plus banal en me penchant sur la table. Ben oui, je n'ai pas envie non plus de formalités et préliminaires, d'où ma nudité d'ailleurs, mais je prendrais bien quelques claques bien inspirées comme pousse-café...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





En route pour la fessée (petite série)


Double perspective (mini clip)





Un bêtisier ? (petit clip)






4 commentaires:

  1. La photo de votre premier lien
    http://shortskirtredbottom.tumblr.com/post/140094473012/theotkgirl-asajones2-i-love-this-stage-of-a
    est ravissante!

    Tellement ravissante que quand mon épouse m'a vu la consulter, elle m'a rappelé que je devais très prochainement recevoir une bonne fessée, dès que les enfants seraient partis. Ce qu'elle n'a pas manqué de faire, en ironisant sur la posture "comme la dame" et en me demandant à un moment si moi aussi je voulais être épilé comme elle.

    Quant à la photo "elle a quelque chose dans sa culotte"..
    http://kaylex9176.tumblr.com/post/109713316763/bringbackthecane-roue18

    J'ai bien peur que ce que l'on y voit est une serviette hygiénique.

    Pardonnez une question aussi indiscrète, mais, je me demandais: comment fait-on pour recevoir la fessée déculottée pendant les menstrues, sauf à utiliser des tampons? Je me pose notamment cette question face aux témoignages de femmes, souvent assez âgées, ayant reçu une "éducation à l'ancienne" y compris des fessées à l'adolescence...

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  2. Je ne saurais vous renseigner sur les fessées pendant l'adolescence. Mais je pense justement que cette photo essaye à sa manière de témoigner de cette époque.

    Sinon rien ne s'oppose à recevoir une fessée déculottée pendant les réglés en portant un tampon, mais rien ne s'oppose non plus d'enlever une serviette hygiénique. Après tout ce n'est que du sang. Il ne faut pas se complexer pour ce qui est naturel. On peut aussi très bien faire l'amour pendant les règles.

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    1. L'amour durant les règles est chez nous un des acquis de la discipline domestique. A notre rencontre et dans les années qui suivirent je ne voulais pas en entendre parler (du moins pas par la voie classique), ce qui ne m'empêchait pas de réclamer durant cette période des petits extras à ma compagne qui à l'époque faisait ce que je demandais. Désormais qu'elle a sifflé la fin de la récréation, mieux vaut que je m'occupe d'elle comme il faut dans ces moments qui sont souvent synonyme d'abstinence pour moi davantage que pour elle. Mais cela n'exclut pas que ma compagne puisse m'inviter à venir la pénétrer (en général sous la douche). J'y prends d'autant plus de plaisir que c'est désormais les seuls instants où nous n'utilisons pas de préservatifs (elle a dit adieu à la pilule sensiblement au même moment qu'elle a adopté la strap). Avec le temps je dois même dire que je développe un certain fétichisme pour ses serviettes hygiénique que j'ai parfois le droit de respirer et dans lesquelles j'ai pu de rares et exceptionnelles fois m'abandonner. Jouir oui mais à condition de prouver sa dévotion. Et croyez moi dans ces cas, elle est particulièrement intense. Du dressage, en somme, qui permet de développer un goût naturel pour des choses qui effectivement le sont.

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  3. Décidément vous arrivez à me surprendre à chaque fois, cher Monsieur Arthur. Ceci dit tout dépend de la dame. Certaines n'aiment pas les pénétrations pendant les règles. N'en parlons pas de ces messieurs qui tournent facilement l’œil ... rire ! Il paraît qu'il en existe même qui font des cauchemars sur le sang. Pour ma part concernant les galipettes pendant mes règles pas de généralité, cela dépend vraiment du jour. Mais disons à la façon que je harcèle habituellement mon homme, il trouve parfaite la petite pause suggérée par la nature. Par contre je n'étais pas au courant du fétichisme de la serviette hygiénique. C'est un fétichisme qui ne fait du mal à personne. Je prends bonne note du développement de la DD dans votre couple. Notons-le pour mettre cette structure bien en place il en faut... des années.

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