Au
menu cette semaine : Une fille bien élevée...
...ne montre pas ses fesses (petit clip)
J'imagine la sensation particulièrement
plaisante et le petit tu mériterais bien
une, isabelle de mon homme pour endiguer mes élans de
vilaine fille. J'imagine le coup de vent qui se superpose aux
puissantes vibrations. Malheureusement je ne suis pas courageuse. Non
pas dans le sens de ne pas oser de montrer mon popotin dans un
string, ni même tout nu, mais de choses et situations qui me
font peur. Par exemple monter sur une grosse moto, même en compagnie
d'un charmant monsieur en fait partie. Idem pour les manèges à
haute sensation dans une fête lorraine. Pas de sport extrême non
plus. A la imite je me laisserais convaincre pour monter en selle (sans cheval!), bravant ainsi une
autre danger qui est le sujet de ce blog. Ce manque de courage n'est
pas une donnée personnelle qui me dérange. Car bien heureusement je
ne me sens pas tentée non plus par les défis de toute sorte. Même
pas chiche ! Je n'ai rien à me prouver et encore moins aux
autres. Mais bien souvent j'accepte volontiers un petit coup de main.
Déjà
toute petite j'ai su comment trouver quelqu'un pour m'accompagner au
train fantôme.
Et je n'ai pas changé depuis. Pour ce
qui est délicat ou dépasse mes capacités j'ai mon chéri. Et bien
que je ne ferais même pas un tour de vespa toute seule, je saurais peut-être
vaincre ma peur pour m’accrocher (agripper !) à lui qui est bon et
surtout raisonnable conducteur le cas échéant.
Pourtant
j'aime comme beaucoup de filles les vibrations.
Il m'arrive par exemple de me mettre
sur la machine à laver quand elle essore. Sans complexes et sous le
sourie parfois de mon chéri. J'imagine alors le petit truc en plus
avec les fesses à l'air sur une moto. Ben oui, mon petit clip m'a
procuré de jolies rêveries cette semaine. Pour sauver mon honneur,
j'aime beaucoup me produire en Brigitte (tenue à l’appui) pour
copier dans le fêtes familiales sa déclaration d'amour à l'Harley
Davidson...
Quel superbe sujet de Monsieur le
professeur. Malheureusement il me manque en ce moment le temps pour
philosopher, mais me fiant à mon expérience je ne puis que
confirmer. Il semble donc exister des constructions de fantasme qui
permettent de vivre une satisfaction tout en étant puni. Sous forme
d'un agréable apaisement assez proche de celui survenant à la suite
d'une bonne séance de vanille. L'exemple le plus frappant concerne
certains mécontentements avec moi même. Quand je m'en veux pour
ceci ou cela et que je devienne par ce fait « inconsommable ».
Il suffit dans ce cas que mon chéri proclame mon litige intérieur
comme faute punissable, ou plus subtilement quand il constate mes
agissements inacceptables décide
que mes états d'âme ne justifient nullement un tel écart de
comportement.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Fantasme de discipline scolaire (petite série)
Merci Isabelle, malgré votre manque de temps pour philosopher, d'avoir apporté une contribution constructive au débat. J'ai eu plusieurs commentaires intéressants sur mon blog: apparemment la question ne laisse pas indifférent. Je proposerai certainement bientôt d'autre sujets de réflexion.
RépondreSupprimerJ'aurais bien laissé vendredi dernier mon petit texte en commentaire sur votre blog, cher Monsieur le Professeur, mais ma façon de considérer notre sujet passe parfois mal et je ne souhaite pas déranger. Ceci dit, vu que vous y voyez son côte constructif, je me rattrape. N'hésitez pas de sortir d'autres sujets aussi intéressants.
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