Et
si la fessée aussi se glissait dans les mœurs ?
En voyant ce jeune homme s'amuser avec
sa copine je trouve dommage que cela n'a pas existé à mon époque.
Pourtant je suis de la génération dite P, de la génération
magnétoscope qui a découvert les plaisir de la chair en absence de
leurs parents ou par intermédiaire des films de leurs grands frères
comme moi. Pour le dire tout de suite, je n'ai pas trouvé cela
« intéressant » à regarder outre que...
...sur
un point de vue technique pour épater mes princes charmants par un
certain savoir faire !
Le préservatif faisait partie de mœurs
et il m'arrivait de les mettre sur la liste des courses de mes
parents qui était accroché au mur de la cuisine. Entreprise
relevant de toute la splendeur de l'adolescence avec ce besoin
quelque peu étrange avec le recul d'afficher ostensiblement mon
indépendance sexuelle. Mes parents ont pris mes tentatives avec
beaucoup d'humour et je me souviens d'une petite remarque de ma maman
qui ma fait comprendre le ridicule de mon comportement :
Tu
les veux quel goût, tes préservatifs, isabelle !
Ben oui, mes parents n'étaient pas de
vanillas normalisés (bien que on ne parlait pas encore de la
vanille) et j'ai dû admettre également que mes parents aussi
avaient encore une vie sexuelle.
Quelle
prétention de la jeunesse !
De toute façon ayant espionné comme
tout le monde les tiroirs de la chambre parentale, j'avais déjà
découvert entre autre ces belles choses qui se mettent dans le
derrière et procurent d'étranges sensations quand on est sagement
assise quelque part et personne ne se doute pour le moins du monde de
notre petit secret. Je fut moins enthousiasmée par les appareils de
massage et cela n'a pas changé depuis. Par contre j'étais vite
tentée par un rasage intégral de mon entrejambe comme le faisait de temps en temps ma maman.
Avec
un résultat littéralement sensationnel !
Parallèlement avec
l'auto-expérimentation du moindre recoin de mon corps, j'ai su aussi
me glisser dans ma vie de femme. En prenant le temps, en choisissant
bien et surtout sans me laisser forcer la main par
les princes hâtifs. J'ai laissé
tomber aussitôt tout prétendant qui ne s'adaptait pas à mon
rythme. J'ai pu ainsi vivre de jolies aventures amoureuses, peu
nombreuses, mais de qualité.
Manquait
seulement une découverte sensuelle de la fessée entre ados
découvrant les plaisirs de la chair
Ben oui, il faut y aller doucement.
Passer d'un fantasme à une réalisation demande de prendre beaucoup
de temps. On ne se lance pas non plus dans la vanille d'un jour à
l'autre. Prendre le temps pour comprendre les sensations des brûlures
dans les fesses. Comprendre que la fessée puisse produire un effet
qui lève certaines inhibitions. Comprendre que reproduire les
corrections imaginées des pensionnats de mes rêveries risque plutôt
de détruire une relation amoureuse au lieu de lui apporter un
surplus. Comprendre que le besoin de punition n'est pas un besoin de
maltraitance et ainsi de suite. Comprendre que la plupart des clips
de nos jours sur le net sont aussi éloignés de ce que souhaite la
dame lambda que les film P à rapport de la vanille amoureuse.
Je
pense que la fessée a sa place tout naturellement dans la sexualité
humaine !
Ma petite, ainsi que ses copines,
n'ayant jamais eu contact avec la fessée, ni comme moyen
d'éducation, ni comme une partie espionnée de la vie intime de
leurs parents, la connaissent pourtant comme allusion qu'elle se font
entre elles. Oui, je pense que la fessée vas se glisser (ou est déjà
en train plutôt) dans la vie intime des nouvelles générations,
justement parce qu'elle a perdu sa place dans les méthodes
éducatives. Elle existera sous sa forme sensuelle, plus ou moins
savoureuse et sous sa forme pour satisfaire un besoin de punition. Et
la fessée version « très fortes et très longues sensations »
sur postérieur ?
A
mon avis -l’être humain dans sa majorité étant peu intéressé
par les extrêmes - elle restera aussi marginalisée que de nos
jours...
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