vendredi 6 novembre 2015

791 Liens de discipline domestique (190 ème édition)

Au menu cette semaine : Fantasmes étranges


Ah mes associations ! Évidement en faisant mon analyse j'y ai pensé auprès de « mon adorable monsieur » d'un certain âge. Ce dernier était un grand amateur (et connaisseur) de la philosophie, de la science et... de la féminité triomphante. Cela je le savais d'avance. Comme quoi le choix de l'analyste n'est pas innocent. J'ai appris pas mal de choses utiles avec lui. Comme le concept de l’esthétisme d'une pensée. La beauté de sa construction. Son élégance. Sa brillance. Voila qui m'évite depuis de me prendre la tête avec les opinons disons peu esthétiques, avec les jugements de valeur disons mal construites, avec la recherche du vrai et du faux quand ces qualificatifs relèvent de la pure subjectivité.

J'ai eu beau a sortir toute une panoplie de tenues, l'une plus craquante que l'autre, rien à faire. Ce monsieur avait une conscience professionnelle, respectant scrupuleusement la maxime de la neutralité. J'ai appris donc, un peu contrariée, que...

...un bon psy(chanaliste) n'est ni là pour punir, ni pour donner des bon points.

Et encore moins pour juger nos fantasmes. Je me suis rendue - hélas - très vite compte de la place... ridiculement petite... que la fessée occupe dans cette démarche. Alors petit conseil, si on a envie d'aborder ce sujet en long et en large mieux vaut... à moins de disposer des moyens financiers inépuisables... d'en faire un blog !


Ben oui, pour sortir sans culotte il faut une occasion. A chaque fois que je passe chez JPC, il y a un petit truc qui s'incruste dans ma tête. Je me détache du quotidien pour un envol (c'est le cas de le dire ici !) dans un pays ou fantasme et fantaisie cohabitent. En gros je revis mes émois quand j'élaborai mes rêveries de fessée étant ado.

Disons le tout de suite, une culotte cela ne s'oublie pas. Mais l'idée de passer dans un but bien précis une nuit sans culotte, m'a effleuré la tête assez tôt. En gros, dès le moment que j'ai compris l'enjeu d'un tel « oubli » pour un monsieur. Je le vois avec mon chéri qui est loin d'être dupe. Toutefois il suffit que dans un tête-à-tête qui me rend inaccessible, comme au restaurant par exemple, que je mentionne mine de rien de ne pas avoir eu le temps de me mettre ma culotte avant de sortir. C'est basique, mais cela marche à tous les coups. L'attention de mon chéri est captée et la petite question comment se comporte mon entrejambe lui fait oublier toutes les autres. Voila ce qui est parfaitement pour passer une excellente soirée entre adultes...


A moi aussi, il arrive que je m’imprègne de l'odeur d'un vêtement de mon homme. Certes, je ne le fait pas toute nue, façon coït fétichiste avec une veste de costume. Alors j'étais peu étonnée l'autre jour de voir ma petite débarquer avec un T-shirt de son papa en m’expliquant toute fière d'avoir enfin un doudou papa. Et après il y a des personnes qui doutent de l'existence de la constellation œdipienne...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !









Discipline traditionnelle (Petite série)

















13 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,


    Voilà un Post qui sent bon le fétichisme. Qui n'a jamais une fois dans sa vie conservé ou caressé précieusement quelque objet ou pièce de vêtement appartenant à une personne pour laquelle on éprouve de la tendresse en particulier.
    Pour les spécialistes de la psychologie humaine, on nomme cette (insignifiante)habitude " le fétichisme" et pour le grand public "une obsession ou une maniaquerie". Et cela peut attirer ou la sympathie ou la moquerie exagérée.
    Au choix...
    Votre suggestion de parler de son fantasme de fessée au travers d'un Blog perso n'est pas une si mauvaise idée. A méditer.
    Concernant les Belles en petite tenue, ma préférence va "aux Dames à lunettes et chignon strict"... Je suis un grand garnement fétichiste, que voulez-vous ! On ne se refait pas. Hélas... ou heureusement. Rires.
    Mac-Miche

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je pense que tout le monde à des tendances fétichistes, cher Monsieur Mac-Miche. Et il n'y a rien de grave là dedans. La question se complique uniquement quand intervient la pathologie, c'est-à dire une souffrance de la personnes parce qu'elle vit mal son fétichisme et surtout quand son fétichisme dégrade sa vie sociale. Quant aux dames avec chignon et lunettes, croyez moi, vous n’êtes pas le seul qui s'y intéresse. Quand j'avais encore mes cheveux longs je mettais souvent un chignon pour sortir et je sais de quoi je parle... rire !

      Supprimer
  2. Quand j'ai lu "nuit sans culotte" je n'ai pas immédiatement compris que vous parliez de la sortie en extérieur. J'allais vous dire qu'assez tôt, dans notre couple, nous avons estimé qu'au lit (sauf circonstances particulières), la tenue adaptée c'était sans le bas. Nous avons un faible pour les contact peau contre peau, y compris et surtout pour le fessier...

    Quant à "penché sur la table de la cuisine", penché sur une table ou un bureau c'est pour nous la position "scolaire", pour le paddle ou le martinet. Notamment quand madame a passé la journée en "tenue de punition". :-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mais non, la nuit je dors habituellement sans culotte. Nous aussi nous aimons le contact de la peau. Par contre il m'arrive aussi de me pencher sur une table, bureau etc pour autre chose que de la fessée...

      Supprimer
    2. Un de nos grands souvenirs de couple. Un été à la campagne nous avions trouvé un lieu intéressant, mais où nous ne pouvions pas garantir que quelqu'un ne déboucherait pas. Hors de question de nous déshabiller. Madame n'avait pas de culotte sous sa longue jupe, elle s'est troussée, s'est penchée en avant en s'appuyant sur une sorte d'établi.. j'ai baissé mon pantalon. :)
      Nous n'avons pas traîné ensuite pour quitter les lieux, et elle m'a avoué avoir trouvé très troublante la sensation des fluides lui coulant le long des jambes lorsque nous avons poursuivi notre promenade. :)

      Supprimer
    3. J'aime beaucoup les galipettes en pleine nature. Par contre je ne suis pas une fan de marcher avec des liquides qui coulent. Sans vouloir paraître peu poétique dans ce cas j'ai recours aux kleenex. Dans un lit c'est différent. Je ne me sens nullement incommodée...

      Supprimer
    4. Ce n'est pas une habitude chez nous (trop timides?), mais là elle était revenue en disant que ça lui avait donné l'impression d'être une jeune paysanne de jadis culbutée dans une grange. :) Nous l'avons aussi fait avec elle qui a dû poser son pantalon et là il a bien fallu éponger avant de se renculotter. :)

      Pour les liquides, au lit, en général madame ne s'essuie pas tout de suite, elle trouve que se réveiller le matin avec des "traces" lui rappelle qu'elle a été bien "baisée". :)

      Supprimer
    5. Pas que je sois particulièrement prude, cher Monsieur Pecan, je ne le suis même pas du tout, mais je souhaite évités sur mon blog certains mots, déjà pour les moteurs de recherche et puis parce que j'aime bien un langage qui tourne autour du pot. Ceci dit, je comprends les « impressions » de votre dame. Puis, je suis bien d'accord avec elle, qu'il n'est pas très joli de se promener avec une tache équivoque sur un pantalon.

      Supprimer
  3. Ahaha ! Formidable le coup du doudou papa... Et je vais essayer le coup de l'aveu du faux oublie pour voir le tour que prendra ma prochaine soirée...Peut etre même que je pourrai manger son dessert ! ;D

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est jouable pour le dessert ! En tout cas j'espère que tu feras un récit de ton aventure de faux oubli...

      Supprimer
  4. Bonjour Isabelle,

    J’ai eu un grand sourire en lisant votre billet. Peut être vous souvenez vous pourquoi ? Car je suis sure que cela n’émoustillerais pas mon mari (plus que d’habitude ? Lol …) si je lui disais être sans culotte, ce serait plutôt de lui dire que j’en ai une qui le ferait réagir, et ce serait pour m’annoncer une sanction dès notre retour à la maison ….

    Car, et je me souviens vous l’avoir dit, cela se passa dans les premiers temps de notre « relation », j’eus, une fois de plus puisque sujette à cela, une poussée de pertes blanches. Notre ami médecin me prescrivit, pour éviter ou au moins grandement limiter ce problème, de ne plus jamais « enfermer » mon sexe, mais de laisser toujours « respirer », selon son expression. Depuis, j’ai donc totalement abandonné le port des petites culottes (tout comme par conséquent des pantalons et autres jeans), pour les remplacer par des jupons. Et certes, sauf dans des lieux où cela ne porte pas à conséquence, tel Le Levant, pas question de mini-jupes, mais au moins des « midi ».

    Ce désagrément d’avoir facilement de telles pertes, je l’ai hérité de ma mère ! Et comme cette prescription s’est avérée efficace, ma mère qui en avait souffert elle aussi durant tant d’années l’a adoptée elle aussi …. C’est en principe un secret entre elle et moi, et je n’ai pas demandé à mon père ce qu’il en pense ! (rires…)

    Je vais oser vous raconter une mésaventure qui va vous permettre de vous moquer de moi : avec cette prescription d’être dorénavant les fesses à l’air, le médecin m’avait aussi prescrit comme traitement d’urgence des sortes de gélules (capsules ?) vaginales, qui se présentaient un peu comme des petits comprimés. Le soir, au moment de nous mettre au lit, j’en mets une dans mon vagin. Peu après, avec celui qui n’était pas encore mon mari ( !), nous avons un rapport passionné, lequel terminé nous incite à passer par la salle de bains. Et là, il aperçoit sur son gland comme une ampoule. Passionné à ce point ? Cela paraissait exagéré et je me suis toujours demandée, car cela date quand même des premiers temps, ce qu’il avait pu alors imaginer !.....

    En fait, l’une des demi-coques de la gélule avait fait ventouse ….. et ce n’était donc pas dû à un excès d’activité de sa part … ou à subite maladie ……..

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah ah vous aussi! Ma femme, l'été, aime bien se mettre sans culotte sous sa jupe ou robe (longue, pour éviter tout incident compromettant) en expliquant que c'est bon pour l'aération des parties intimes...

      Avant d'avoir des enfants, il était d'ailleurs courant pour nous de nous promener à demi nus en intérieur. Là encore, suggestion de madame: pourquoi enfermer les choses dans des sous-vêtements accumulant la sueur? Je me rappelle d'occasions où elle m'a annoncé "allez, cul nu", m'a déculotté, lavé rapidement les fesses et indiqué qu'elle entendait bien se "rincer l'œil"...

      Supprimer
  5. Je me souviens parfaitement de vos commentaires sur vos habitudes en couple, chère Christine. Je pense que si mon homme me demandait de renoncer aux petites culottes, je n'y verrais pas d'inconvénient non plus. Mais lui il aime surtout la surprise, l'incertitude de ce qui se trouve sous mes vêtements.

    Je vous vois très complice avec votre maman. Voila qui me rappelle un peu mes rapports avec la mienne. Le point en commun serait chez nous plutôt l'épilation intégrale et un certain goût partagé pour les bijoux qui se glissent... dans le derrière. Je ne saurais rien dire de qualifié sur le bienfait du « sans culotte » au niveau de la sante intime, mais ce qui me paraît important c'est le fait que cela marche pour vous et votre mère. Toutefois j'ai entendu dire, mais non de la part d'un professionnel de la sante, que l'épilation intégrale peut s’avérer bénéfique à ce niveau.

    J'ai effectivement bien rigolé de votre mésaventure avec les gélules/capsules vaginales. Voila qui est vraiment nouveau pour moi. Certes, je connais les brûlures comme effet secondaires de rapports trop passionnels, mais jamais il y a avait effet d'ampoule. Je prends donc bonne note  et je saurais mettre en garde des risques si on me parlait un jour d'une telle médicamentation !

    RépondreSupprimer