Au
menue cette semaine : Ce que l'on essaye de nous faire croire...
C'est l'histoire d'une petite dame qui
regarde les traces de la sévère correction qu'elle vient de
recevoir de la main de Madame, car elle s'est rendue coupable de ne
pas avoir mis sa tenue de soubrette comme il le fallait.
Quelle
impertinente !
Ô inconscient, merveille des
merveilles qui approuve sur un point de vue fantasmatique et
« accessoirement » de manière bien visible sur notre
corps ce qui s'oppose à notre raison. Une photo qui provient de
l’Allemagne des années 30, extraite d'un des livres du Docteur
Ernst Schertel, spécialiste du sujet de châtiments corporels entre
adultes. Ce qui rend troublante la lecture de ses textes sont les
situation qu'il présente. Il persiste toujours le doute si la dame
en question est réellement employée de maison, mais consentante du
traitement infligée par sa patronne ou s'il s'agit d'une sorte de
jeu de rôle. Notons que le harcèlement au travail ne passait déjà
pas à l'époque comme j'ai raconté dans un autre post sur la fessée au bureau.
celle qui se pratiquait dans les écoles
en Angleterre, fut peu glorieuse. Mon chéri se souvient d'une note
de journal débouchant sur un grand scandale. En fait, les cannes et
autres instruments, censés d'instaurer la discipline, ne provenaient
pas d'un sérieux fabriquant, dévoué à la cause de méthodes
anciennes, mais d'une « boutique spécialisée » de
Londres. Reste a savoir le degré de sériosité des journaux que
consultait mon homme étant ado. Il a dû prendre bonne note, car
hors de question pour lui pour faire les achats de se rendre dans un
lieu qui cultive le vice. Pour
lui, une bonne canne en rotin, solide et « facile à
travailler » se trouve dans un magasin pour matières
naturelles. On est bio ou pas. Les straps et paddles on les commande
chez un cordonnier du quartier pour faire travailler les petits
commerce de proximité. Et pour un martinet on se fait conseiller
dans une droguerie. Enfin, c'était avant. Pour ceux et celles qui
ont connu le « martinet canaillou » avec ses lanières
garanties 100% cuir et qui pour des raisons que j'ignore n'est resté
que quelques mois dans les rayons vers la fin de 1999. Bref, quand
mon chéri me parle de déclarer la guerre à
la perversité et à la débauche, en me tirant la ficelle
de mon string, il est tellement crédible que le message atterrit
tout droit dans mon entrejambe.
Me
considérant moi-même en petite perverse, j'adore que l'on me
rappelle à l'ordre.
Cul nu, cela va de soi.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Sortie peu glorieuse
(en bas d'écran)
Discipline domestique
(petit clip)
Tu peux garder ton chapeau (petite série)
Quelle tenue ce monsieur (petit clip)
La petite dame se déculotte (mini-clip)
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