vendredi 3 juillet 2015

733 Liens de discipline domestique (173 ème édition)

Au menue cette semaine : Ce que l'on essaye de nous faire croire...


C'est l'histoire d'une petite dame qui regarde les traces de la sévère correction qu'elle vient de recevoir de la main de Madame, car elle s'est rendue coupable de ne pas avoir mis sa tenue de soubrette comme il le fallait.

Quelle impertinente !

Ô inconscient, merveille des merveilles qui approuve sur un point de vue fantasmatique et « accessoirement » de manière bien visible sur notre corps ce qui s'oppose à notre raison. Une photo qui provient de l’Allemagne des années 30, extraite d'un des livres du Docteur Ernst Schertel, spécialiste du sujet de châtiments corporels entre adultes. Ce qui rend troublante la lecture de ses textes sont les situation qu'il présente. Il persiste toujours le doute si la dame en question est réellement employée de maison, mais consentante du traitement infligée par sa patronne ou s'il s'agit d'une sorte de jeu de rôle. Notons que le harcèlement au travail ne passait déjà pas à l'époque comme j'ai raconté dans un autre post sur la fessée au bureau.


celle qui se pratiquait dans les écoles en Angleterre, fut peu glorieuse. Mon chéri se souvient d'une note de journal débouchant sur un grand scandale. En fait, les cannes et autres instruments, censés d'instaurer la discipline, ne provenaient pas d'un sérieux fabriquant, dévoué à la cause de méthodes anciennes, mais d'une « boutique spécialisée » de Londres. Reste a savoir le degré de sériosité des journaux que consultait mon homme étant ado. Il a dû prendre bonne note, car hors de question pour lui pour faire les achats de se rendre dans un lieu qui cultive le vice. Pour lui, une bonne canne en rotin, solide et « facile à travailler » se trouve dans un magasin pour matières naturelles. On est bio ou pas. Les straps et paddles on les commande chez un cordonnier du quartier pour faire travailler les petits commerce de proximité. Et pour un martinet on se fait conseiller dans une droguerie. Enfin, c'était avant. Pour ceux et celles qui ont connu le « martinet canaillou » avec ses lanières garanties 100% cuir et qui pour des raisons que j'ignore n'est resté que quelques mois dans les rayons vers la fin de 1999. Bref, quand mon chéri me parle de déclarer la guerre à la perversité et à la débauche, en me tirant la ficelle de mon string, il est tellement crédible que le message atterrit tout droit dans mon entrejambe.

Me considérant moi-même en petite perverse, j'adore que l'on me rappelle à l'ordre.

Cul nu, cela va de soi.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Sortie peu glorieuse (en bas d'écran)


Discipline domestique (petit clip)


Tu peux garder ton chapeau (petite série)















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