jeudi 21 mai 2015

708 Mémoires d'une éducation sévère 14


Désir ardent de fessée 7.2


Je n’aurais pas cru que tes méthodes permettent une telle niaiserie à tes élèves.

Nadège était proche de perdre son calme habituel. Elle se sentait profondément humiliée devant sa copine qui mettait la réussite de ses méthodes en doute. Mais elle ne pouvait pas lui donner tort.

Lucie, viens ici que je te déshabille. Tu as un important rendez-vous avec le martinet.

Lucie se laissa faire sans broncher. Elle se sentait bien supérieure à Bérénice qu’elle venait d’insulter et qui cachait sous ses allures austères un secret d’un ridicule hilarant qui lui enlevait tout sérieux aux yeux de la fille. Avec une démarche hautaine digne d’une reine, Lucie décrocha le martinet pour le présenter à genoux dans une posture irréprochable à sa tutrice en demandant pardon et punition.

Je te trouve bien orgueilleuse, Lucie. Je saurais te faire passer ces grands air, crois moi. Tu vas regretter amèrement ton comportement.

Quelques minutes plus tard, une Lucie repentie, implorait le pardon de sa tutrice et de son amie offensée avec une sincérité qui ne laissait aucun doute sur la sévérité de la sanction. Elle réalisa que le ridicule la concernait plus que l’invite qui regardait avec ravissement un derrière brûlant qui témoignait d’un faux pas de taille. Très embarrassée Lucie prit sa place au coin.

Elle n’arrête pas de faire des bêtises. Elle présente encore trop de problèmes de discipline,

s’excusa Nadège.

Pourtant jugeant la couleur de ses fesses elle reçoit des déculottées mémorables chez toi.

Tout à fait. Je ne la prive jamais du martinet quand elle le réclame. 

Puis Bérénice devint à nouveau professionnelle.

Ton élève possède une forte pilosité. Ce n’est pas très esthétique je trouve. Surtout sur une aussi jolie fille.

Pourtant ses poils sont très soyeux. On dirait de la soie.

Et s’adressant à Lucie, elle rajouta :

Approche-toi, qu’on te regarde un peu. Je suis sure que Bérénice pourrait nous donner de précieux conseils pour ta beauté.

Lucie pâlit aussitôt. Le martinet lui faisait depuis quelque temps un effet bien particulier qui risquait maintenant se dévoiler au grand jour. Bérénice examina soigneusement la toison de Lucie. Elle devrait se rendre compte de l’humidité sur le champ. Lucie trembla en attendant le verdict.

Elle est toute humide,

dit la femme d'un air très professionnel.

Je crois qu’elle transpire fortement en cet endroit à cause de sa jungle. Et une sévère fessée n’arrange rien. Bien au contraire. Ce n’est pas très hygiénique. Elle risque des infections.

Justement ! J’allais t’en parler. Je dois lui passer deux fois par jour de la crème. Elle est irritée en permanence. J’aimerais que tu l’examines. Lucie adopte la posture du suppositoire.

Çà m’a l’air bien grave,

dit Bérénice après une étude approfondie.

Je crois que pour bien faire, il faudrait tout enlever et la garder lisse.

C’est bien mon avis aussi. J’avais déjà envisagée de lui faire la totale, mais esthétiquement il me plaît guerre de voir Lucie avec une barbe de trois jours dans l’entrejambe. Puis ça pique et risque d’empirer les chose.

Pourquoi tu ne la fait pas épiler intégralement à la cire. Il n’y a pas plus pratique pour une hygiène intime impeccable. Cela fait propre et lui donnera un air de jeune fille très sage.

Cela s’épile intégralement ce genre d’endroit ?

Bien sur comme je viens te raconter.

J’avais mal compris,

dit Nadège stupéfaite.

Le ticket de métro, ce n’est vraiment qu’un petit rectangle ? Et les lèvres alors ?

A zéro, comme les petites. Tu n’as qu’à me confier Lucie. Elle sera toute lisse comme si elle n’avait jamais eu des poils avant. Si tu veux je pourrais la prendre un matin et je te la rendrez glabre à souhait une heure plus tard.

L’idée me séduit beaucoup. Mais cela t’arrive de pratiquer ce genre de choses dans ton cabinet ? 

Pas encore, mais j’y compte bien. D’où mon stage. Ce sera un travail de longue haleine. Tu connais des femmes à la campagne qui voudraient ressembler à une adolescente ?Mais j’aimerais bien leur faire une démonstration de la technique et de différentes formes. Il me manque justement un modèle. Lucie n’aurait pas envie de gagner un peu d’argent de poche ?

La proposition enchanta Nadège.

Lucie sera volontaire. Il est temps qu’elle apprenne à se débrouiller dans la vie. Mais cela ne résout pas le problème de sa région anale.

Justement. Intégral, c’est intégral. Son anus aussi sera débarrassé de tout poils. Elle sera nettement plus gracieuse et accessible quand tu lui pendras la température ou tu lui donneras un suppositoire. Mais fais gaffe, il y a quand même un inconvénient. Il parait que les filles épilées se touchent plus que les autres vu la sensibilité de l’endroit.

Nadège coupa court :

Lucie ne mange pas de ce pain-là. Nous avons un petit secret Lucie et moi, n’est-ce pas ? Va chercher ta ceinture.

Bérénice ne fut pas convaincue :

Oui, il me semble qu’elle protège bien la partie frontale. Mais le derrière reste accessible par la découpe pour aller aux toilettes. C’est la porte grande ouverte aux mauvaises habitudes.

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