Désir ardent de fessée 7.2
Je
n’aurais pas cru que tes méthodes permettent une telle niaiserie à
tes élèves.
Nadège était proche de perdre son
calme habituel. Elle se sentait profondément humiliée devant sa
copine qui mettait la réussite de ses méthodes en doute. Mais elle
ne pouvait pas lui donner tort.
Lucie,
viens ici que je te déshabille. Tu as un important rendez-vous avec
le martinet.
Lucie se laissa faire sans broncher.
Elle se sentait bien supérieure à Bérénice qu’elle venait
d’insulter et qui cachait sous ses allures austères un secret
d’un ridicule hilarant qui lui enlevait tout sérieux aux yeux de
la fille. Avec une démarche hautaine digne d’une reine, Lucie
décrocha le martinet pour le présenter à genoux dans une posture
irréprochable à sa tutrice en demandant pardon et punition.
Je
te trouve bien orgueilleuse, Lucie. Je saurais te faire passer ces
grands air, crois moi. Tu vas regretter amèrement ton comportement.
Quelques minutes plus tard, une Lucie
repentie, implorait le pardon de sa tutrice et de son amie offensée
avec une sincérité qui ne laissait aucun doute sur la sévérité
de la sanction. Elle réalisa que le ridicule la concernait plus que
l’invite qui regardait avec ravissement un derrière brûlant qui
témoignait d’un faux pas de taille. Très embarrassée Lucie prit
sa place au coin.
Elle
n’arrête pas de faire des bêtises. Elle présente encore trop de
problèmes de discipline,
s’excusa Nadège.
Pourtant
jugeant la couleur de ses fesses elle reçoit des déculottées
mémorables chez toi.
Tout
à fait. Je ne la prive jamais du martinet quand elle le réclame.
Puis Bérénice devint à nouveau
professionnelle.
Ton
élève possède une forte pilosité. Ce n’est pas très esthétique
je trouve. Surtout sur une aussi jolie fille.
Pourtant
ses poils sont très soyeux. On dirait de la soie.
Et s’adressant à Lucie, elle
rajouta :
Approche-toi,
qu’on te regarde un peu. Je suis sure que Bérénice pourrait nous
donner de précieux conseils pour ta beauté.
Lucie pâlit aussitôt. Le martinet lui
faisait depuis quelque temps un effet bien particulier qui risquait
maintenant se dévoiler au grand jour. Bérénice examina
soigneusement la toison de Lucie. Elle devrait se rendre compte de
l’humidité sur le champ. Lucie trembla en attendant le verdict.
Elle
est toute humide,
dit la femme d'un air très
professionnel.
Je
crois qu’elle transpire fortement en cet endroit à cause de sa
jungle. Et une sévère fessée n’arrange rien. Bien au contraire.
Ce n’est pas très hygiénique. Elle risque des infections.
Justement !
J’allais t’en parler. Je dois lui passer deux fois par jour de la
crème. Elle est irritée en permanence. J’aimerais que tu
l’examines. Lucie adopte la posture du suppositoire.
Çà
m’a l’air bien grave,
dit Bérénice après une étude
approfondie.
Je
crois que pour bien faire, il faudrait tout enlever et la garder
lisse.
C’est
bien mon avis aussi. J’avais déjà envisagée de lui faire la
totale, mais esthétiquement il me plaît guerre de voir Lucie avec
une barbe de trois jours dans l’entrejambe. Puis ça pique et
risque d’empirer les chose.
Pourquoi
tu ne la fait pas épiler intégralement à la cire. Il n’y a pas
plus pratique pour une hygiène intime impeccable. Cela fait propre
et lui donnera un air de jeune fille très sage.
Cela
s’épile intégralement ce genre d’endroit ?
Bien
sur comme je viens te raconter.
J’avais
mal compris,
dit Nadège stupéfaite.
Le
ticket de métro, ce n’est vraiment qu’un petit rectangle ?
Et les lèvres alors ?
A
zéro, comme les petites. Tu n’as qu’à me confier Lucie. Elle
sera toute lisse comme si elle n’avait jamais eu des poils avant.
Si tu veux je pourrais la prendre un matin et je te la rendrez glabre
à souhait une heure plus tard.
L’idée
me séduit beaucoup. Mais cela t’arrive de pratiquer ce genre de
choses dans ton cabinet ?
Pas
encore, mais j’y compte bien. D’où mon stage. Ce sera un travail
de longue haleine. Tu connais des femmes à la campagne qui
voudraient ressembler à une adolescente ?Mais j’aimerais
bien leur faire une démonstration de la technique et de différentes
formes. Il me manque justement un modèle. Lucie n’aurait pas envie
de gagner un peu d’argent de poche ?
La proposition enchanta Nadège.
Lucie
sera volontaire. Il est temps qu’elle apprenne à se
débrouiller dans la vie. Mais cela ne résout pas le problème de
sa région anale.
Justement.
Intégral, c’est intégral. Son anus aussi sera débarrassé de
tout poils. Elle sera nettement plus gracieuse et accessible
quand tu lui pendras la température ou tu lui donneras un
suppositoire. Mais fais gaffe, il y a quand même un inconvénient.
Il parait que les filles épilées se touchent plus que les autres vu
la sensibilité de l’endroit.
Nadège coupa court :
Lucie
ne mange pas de ce pain-là. Nous avons un petit secret Lucie et moi,
n’est-ce pas ? Va chercher ta ceinture.
Bérénice ne fut pas convaincue :
Oui,
il me semble qu’elle protège bien la partie frontale. Mais le
derrière reste accessible par la découpe pour aller aux toilettes.
C’est la porte grande ouverte aux mauvaises habitudes.
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