dimanche 19 avril 2015

690 Fessée publique dans une grande école française (Lundi cinéma)

Ces événements qui marquent une vie

Une petite séquence très touchante qui dénote de la production industrielle et aussi de ce qui se fait habituellement chez les amateurs. Une sorte de défi en apparence qui met en scène une fessée dans un lieu public.

Le charme du risque de se faire pincer !

Voila qui me rappelle mon chéri et ses copains, très jeunes adultes vers la fin des années 70 qui ont tous une anecdote à raconter sur le fait de faire l'amour dans un lieu public. A croire qu'il s'agissait à l'époque d'un rite d'initiation pour rentrer dans le monde des grands. Je pense l'initiative pour un tel truc provient presque toujours du monsieur. Moi aussi j'ai eu parmi mes princes charmants, bien que sérieux sur tout point vue, des amateurs de telles performances.

Alors oui, pourquoi pas ?

Je ne suis pas particulièrement pudique et ayant le sens pratique j'ai cru réveiller en acceptant de participer à un tel exploit, une performance libidinale remarquable chez le monsieur. Seulement je ne savais pas à l'époque que le stress produit des effets le plus néfastes sur un monsieur. J'ai donc mieux compris sur le tas le défi dans la situation. Arriver à faire l'amour à la fille (techniquement je veux dire !) malgré un stress d'enfer de se faire pincer. Par contre et c'est là que les choses deviennent intéressantes quelques claques sur les fesses de la dame, en soulevant sa jupe et en baissant un peu sa culotte dans une situation semblable, produit un extraordinaire coup de fouet sur ce qui se trouve sous le caleçon. Par conséquence... 


...j'ai un regard de plus positif sur la fessée rien que pour la façon qu'elle met le monsieur en appétit.

Puis, un monsieur qui ose dans un contexte délicat, dévoile ainsi un côté mâle dans le sens de prendre une belle initiative, de créer une jolie aventure pour la dame dont elle se souviendra toute sa vie. Savoureuse anecdote qu'elle puisse raconter un jour en rougissant à sa fille, devenue grande pour sa part aussi :

..tu sais un jours ton papa m'a troussé la jupe, puis baissé mon jeans et mon string dans un amphi pour me donner une petite fessée...

Romantisme entre filles. J'ai eu droit pour ma part aussi à quelques souvenirs de la part ma maman. Honni soit qui mal y pense...

9 commentaires:

  1. Pour le moins curieux... dans le cadre de cette "école"...

    Parce qu'en amphi... la gaudriole... quelle banalité au temps de ma jeunesse !
    je connais une élue qui, étudiante en droit, s'amuse à raconter aujourd'hui sa fessée de la main d'un soupirant exaspéré de ses jeux de chatte et de rat... fessée, cela va sans dire, au milieu d'un cercle ravi...

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  2. Effectivement une belle anecdote qui mérite d'être racontée, cher Monsieur Why Not. Je vois très bien les jeux avec les soupirants auxquels vous faites allusion. Dommage que l'on n'apprend rien sur l'après fessée...

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  3. je ne puis en dire beaucoup plus... hélas...
    Et puis, il ne faudrait pas que la dame se reconnaisse... même si elle exerce en province...
    C'était une très belle fille, qui le savait beaucoup.
    Un mâle se sentant offensé a jugé qu'il se devait d'être juge et bourreau.
    Une allumeuse, belle de surcroit...
    On va lui montrer, à c'te bourgeoise.
    Le brouhaha a vite arrêté la chose.

    Voilà, chère Isabelle. Je n'en sais pas plus.

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  4. Elle est très bonne votre réponse et elle permet de bien capter l'esprit de l'époque. Le terme bourgeoise était égalent employé en Allemagne désignant comme il me semble une dame vraiment libre de toute convention sociale qui par conséquence ne se sentait pas obligée de s'adapter à l'air du temps, mais attendre tranquillement le bon partenaire. Je me souviens de la pression étant ado que l'on mettait sur les dames disons... hésitantes avec une argumentation pseudo philosophique plus ou moins bien construite. Heureusement mon papa m'avait bien préparée au monde des princes charmants qui m'attendait.

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  5. C'est peut-être un peu idiot, mais je crois que les hommes féministes savent s'y prendre...
    Les machos n'intéressent que les gourdes...

    Peut-être, pareille assertion va faire scandale.
    Personnellement, j'ai pu mille fois le constater. Privilège de mon grand âge.

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  6. Je trouve qu'il y a quelque chose de sensé dans votre intervention, cher Monsieur Why Not. Effectivement je n'aime pas les machos, mais j'ai un faible pour les hommes virils. Comme tant d'hommes ont un faible pour les femmes féminines. De l'autre côté je me méfie un peu des « hommes féministes » manquant souvent la petite audace qui rend les relations entre hommes et femmes à mon goût si savoureux. Pour le dire plus simplement quand je permet à un monsieur de me mettre la main aux fesses, j'aime beaucoup qu'il le fasse de manière audacieuse, quitte à choquer certaines personnes bien pensants. Qu'il ne manque pas de courage de se faire traiter de macho...

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  7. Tous les psy n'y feront rien... comme ils ne sauront rien...
    C'est un fait : les hommes recherchent les femmes femmes !
    Mais je serais surpris que votre homme soit particulièrement enchanté en vous voyant permettre à un quidam la privauté que vous évoquez...

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  8. Disons plutôt une bonne partie des messieurs avec un penchant pour les dames, non ? Chacun son truc.

    Effectivement mon homme ne serait pas enchanté de voir quiconque mettre sa main sur moi. Et il a intérêt de se fâcher pour de bon au cas que cela arrive. Je ne supporterait pas un compagnon cool à ce niveau. Enfin m'a petite confidence date du temps quand j'étais encore célibataire.

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  9. Passez un bon week-end de femme en couple, Isabelle.
    Peut-être ferez-vous un débat sur la féminité...
    Avec le plus grand plaisir.

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