lundi 13 avril 2015

687 Faire rougir un beau popotin (Lundi cinéma)

Un petit clip qui donne envie...

…de tendre son fessier à ce monsieur. Accessoirement il y a une fessée - sans excès - à prendre. Mais cela reste un détail, car ce gars sait visiblement mettre une dame en valeur. Et par extension aussi s'y prendre avec les filles, car il n'est pas à son premier coup si j'ose dire. Le résultat est si beaux qu'il me semble assez facile de convaincre une fille pour y participer en lui montrant les résultats anciens. Même si la fessée - à priori - n'est pas son truc. De quoi à ravir la jeune dame à juste titre quand en fin de séance elle se regarde dans la glace. Il est bien connu :

Pour être belle il faut souffrir !

Voilà un petit sujet pour rompre avec certains stéréotypes et pour jeter une autre lumière sur notre passion. Il serait erroné de réduire ce joli fantasme qui est la fessée à un acte exclusivement au service de la libido.

La fameuse dame complètement dé...chaî...née après une rude séance de claquement sur son fessier...

benoui, cela existe. Du moins dans les films P. Puis, je me fie pas toujours à ce que ce se dit entre filles. Il est mal vu de ne pas « orgasmer » à tout bout de champs et par conséquence les excursions aux pays exotiques sont presque toujours vantées comme un comble d'extase. Alors moi, après une bonne fessée, avec mon sacré mal au c...l, je préfère me taire et me cacher au fond du coin dans lequel je suis envoyé.

Tu n'as pas honte, isabelle ?

Euh... non !

A lire attentivement ce disent ou qu'écrivent certaines dames, on y trouve souvent une petite trace d'un contexte qui semble discréditer la thèse de l'excitation « mécanique » et de la reléguer au rang d'un mythe pour faire plaisir aux messieurs.

Bref, il y a feu au c...l, mais les sensations par devant proviennent d'ailleurs...

Personnellement j'ai l'impression que la plupart des filles jouissent de leur narcissisme. Comme celles qui décrivent minutieusement le nombre des claques, le nombre et la nature des instruments, les pauses et reprises pour ne laisser qu'une seule conclusion au lecteur :

Elle a des fesses en béton cette petite dame !

Voyons ce qualificatif dans son sens littéraire. Un fessier ferme à souhait qui ne connaît pas l'ombre de cellulite. Voila vers où pointe vraiment le fantasme de la fessée, une exaltation de la personnalité. Je dirais que nous nous trouvons en face d'un véritable exploit féminin qui sait habilement lier exaltation d'une instance psychique à une exaltation sensuelle. A se poser la question, si analoguement les messieurs arrivent à jouir en roulant les mécaniques par exemple...

Pensons aussi aux dames qui comme les assidues des boites nuit font du quantitatif. Il est fou ce que l'on apprend à l'occasion par ses copines sur les messieurs que l'on ne connaît même pas encore. Si ce n'est pas un culte de sa propre personne de détailler les petits secrets de ses amants (ou fesseurs!), je ne m'y connais pas. Un véritable tableau de chasse. Puis, il y a aussi celles comme...moi. Si je prend plaisir de me laisser éduquer par mon chéri, c'est parce qu'il m'impressionne. Par son savoir, par ce qu'il sait faire. Par son sérieux, par son sens de famille, par ses qualités d'amant... aussi.

Mais surtout parce qu'il est constamment au service de mon narcissisme.

Hein oui, quand on loue mes bonnes manières, ma bonne éducation, l'info se transmet aussitôt dans ma petite culotte. Ceci dit, nous assistons dans ce clip à un joli bruitage de la part de la dame sans toutefois de savoir quelle est la cause exacte de ses gémissements...

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