lundi 30 mars 2015

679 Quand la fessée devient un défi (Lundi cinéma) !

Une petite dame qui ne souhaite surtout pas craquer

Un clip qui permet de lire dans ses yeux ce qui se passe sur son derrière. Ce n'est pas sans mal, mais elle arrive courageusement à tenir bon. Au peu de ce que l'on voit de l'action proprement dit, il me semble qu'il ne s'agit pas d'un massacre sur un postérieur féminin, mais d'une « simple fessée ».

Ce qui ne veut pas dire que la main d'un monsieur décidé manque de fermeté.

Il existe de natures heureuses qui considèrent les activités claquantes comme une partie de pur plaisir. Il ne faut surtout pas leur parler de l'aspect cuisant de notre passion. S'ils trouvent chaussure à leur pied, il n'y a rien à redire, mais personnellement une telle position m'agacerait.

Parce que moi, chaque claque, je la sens bien passer.

Et ne pas pouvoir s'asseoir pendant le reste de la journée n'est pas une vaine expression pour moi. Puis n'oublions pas la jalousie de celle, induite en erreur par ses propres fantasmes qui lui miroitent un plaisir orgasmique et qui s'en tire de l'affaire - bien au contraire de certaines copines veinardes - seulement avec un sacré mal au c...l. Bon je trouve mon compte tout de même dans cette pratique, mais disons que j'aie beaucoup de sympathie pour la dame du clip qui en chi... comme moi !

Surveille ton langage, isabelle, sinon...

Heureusement mon homme ne fait pas partie de ceux qui ferment leurs yeux sur la douloureuse réalité. Ce qui se reflète d'ailleurs dans ses mots :

J'en connais une qui va avoir très mal aux fesses !

J'aime ses petites piques quelque peu sadiques, même si sur le coup je manque bien souvent toujours de l'humour. Connaissant ma lâcheté, veut dire que je craque vite, fondant en chaudes larmes et bien consciente du pitre spectacle que je livre, je suis à 100% avec la petite dame dans son périple.
Allez tiens bon, ma chéri !

Niveau longueur cette fessée correspond bien à ce qui se passe à la maison. Sauf que moi, déjà à la mi temps je chanterais haut et fort la chanson de la fille contrite. Notons qu'il ne s'agit pas de larmes de souffrance, mais d'une décharge nerveuse d'un terrain soigneusement préparé. Peut-être cette dame ne se laisse-t-elle pas aller, parce qu'elle reçoit une fessée de la part d'un monsieur qu'elle ne connaît pas et réagirais différemment entre les mains de son chéri. Un peu comme quand j'étais célibataire et même dans mes fantaisies les attentes envers une rencontre de fortune différaient des celles envers un compagnon de vie. Toutefois, comme on dit en Allemagne, le meilleur moment est celui quand la douleur se relâche et cela se voit sur le visage de la dame. Il y a également un joli accès de fierté. Bien mérité je trouve.

Il est difficile d'attribuer une étiquette à cette fessée si particulière. Elle ne rentre ni dans le registre du ludico-jouissif, ni dans celui des innombrables punitions de la production industrielle.

On dirait un genre de concours entre les protagonistes pour nourrir leur ego ! Voir une action pour faire jouir leur ego.

Pour ma part je ne me retrouve ni dans les compétitions, ni ai-je le désir de prouver quoique ce soit à mon homme, ni suis-je attirée par un dépassement de mes limites ou du moins leur exploration. En fait dans la fessée je fonctionne comme dans la vanille, l'affectivité m'importe beaucoup plus que le côté sensationnel...

2 commentaires:

  1. Hé bien, lorsque madame me met une bonne fessée bien méritée, je me tortille et je dois certainement grimacer. Je mets cependant un point d'honneur à subir mon châtiment.

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  2. Idem, je vais toujours au bout de mes punitions. Sinon il serait absurde de parler de discipline domestique. Mais on m'entend de loin!

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