vendredi 5 septembre 2014

568 Liens de discipline domestique (130 ème édition)

Au menu cette semaine : Fantasmes de mon chéri

Fessée en plein air (petit clip)

Ben oui, lui aussi, il en a des fantasmes et au fil des années nous avons réussi à bien nous accorder. Alors chez lui, il y a peu, voire pas du tout de recherche, dans son programme éducatif qui vise une augmentation de l'intensité de mes corrections. Et cela... me rassure énormément depuis des années. Mais ne nous trompons pas ! Quand il me punit, il ne fait pas semblant. Il suffit que je regarde mes fesses dans le miroir.

Son effort est à la hauteur de mon besoin de punition.

A ce niveau je me sens en analogie avec notre vanille parfaitement satisfaite. Mention : Très bien ! Peut-être manquons nous tous les deux le sens de l'escalade dans la partie physique de notre discipline domestique. Par contre nous sommes friands tous les deux d'un contexte psychologique bien chargé. Avec l'accent sur ma honte, mes colères, mes vociférations, ma contrition et j'en passe. Alors en explorant ces voies intérieures, mon homme a trouvé que les punitions en pleine air m'apportent beaucoup de bien. Ne cherchons pas une explication compliquée. 

J'adore le frissons que quelqu'un puisse être témoin de mes mésaventures.

Et mon chéri aime bien flatter son égo en montrant qu'il ne se laisse pas faire par une femme de tête aussi pénible que moi. Peut-être le même besoin chez nous deux de montrer que malgré les apparences, nous sommes au fond caricaturalement traditionnels. Et à défaut de spectateur réel « qu'au moins le ciel sache » que chez nous le moindre irrespect envers mon homme, je le paye la culotte baissée sur mon cul nu. 

Forme d'absolution supérieure en quelque sorte.


Situation piquante qui me provoque parfois un sentiment proche de la colère.

Au coin isabelle et oublie pas de bien exposer tes fesses.

Cela mérite d'être clair. Même sans une fessée préalable, mon chéri aime bien m'envoyer au coin. Et pour pimenter la situation il convient que je dénude entièrement mon fessier. Par contre, je peux laisser le reste de mes sous-vêtements. Oui, rien que d'y penser je réussi déjà de m’énerver. C'est un affront à mon âme de séductrice. Me voilà, privée de la possibilité de constater les effets - que je souhaite ravageurs - de mes belles tenues sur mon homme.

Arrête de râler, isabelle. File au coin, les fesses en l'air et les yeux droit devant !

Aucun doute, il lit dans mon âme. J'aurais ma vengeance. Je vais le mettre au « garde à vous » devant moi à la prochaine occasion. Peut-être l'est-il déjà ? Dans mon dos ! Qui sait ?


Je pense qu'il faut avoir un certain âge, comme mon homme, pour se retrouver dans ce clip. Il fut un temps où certaines mères faisaient encore le ménage à quatre pattes. Enfin, il m'arrive aussi de me mettre à quatre pattes pour mieux accéder à certains coins. Et à mon homme aussi ceci dit quand il bricole par exemple sous un lavabo. Passons. Donc dans ces époques lointaines, tenant compte des vêtements pour dames, ce qui est montré dans ce clip me paraît assez réaliste.

Ajoutons à ceci un ado dont les pulsions se réveillent et voilà comment se fabriquent de jolies fantasmes.
 
Mais quelle déceptions terrible pour la génération de mon chéri. La mode change et ce qui restait réservé au papa, n'existe subitement plus. Bref, si je veux embêter mon chéri, il me suffit de lui dire comment il trouve mes collants. Et là se montre le côté obsessionnel de ses fantasmes. Il va passer aussitôt sa main pour vérifier...


Et voilà la transformation du riche souterrain psychologique de mon lien précédant. La soubrette, pure invention d'un coquin esprit humain, continue à faire des ravages de nos jours comme dans le bon vieux temps. Cette construction théâtrale de bonne conscience permet un parfait laisser aller. Que ce soit l'épouse, la compagne ou de petite amie qui glisse dans ce rôle, censé de produire un effet monstre sur un monsieur en bonne santé. Les possibilités d'un petit scénario sont inépuisables. Concernant notre passion par exemple, la soubrette qui se chope une bonne correction pour une mauvaise prestation de service. Un joli compte de fée d'aujourd'hui et qui s'étonne qu'à la fin de l'histoire notre petite soubrette passe à la casserole... pour son plus grand plaisir !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Plaisir de fille (petit clip sans rapport avec notre sujet)


Ballet et discipline (petite série)







25 commentaires:

  1. J'aime beaucoup l'extrait avec Helena Bonham Carter (j'aime beaucoup H Bonham Carter) que vous avez commentez par "La première initiatrice, c'est maman". Ce qui est vrai pour moi en matière de sous-vêtement. Je me rappelle bien, c'était la fin des années 60, de ma mère mettant ces bas et la fascination que j'avais en voyant le petit bout de métal qui qui attache la jarretelle au bas.
    Pour la fessée je crois que la première initiatrice fut ma maitresse de 3e section de maternelle qui donnait des fessées déculottées aux chenapans. Je n'y jamais eu droit mais je crois qu'avoir assister à une ou deux fessées cul nu devant la classe m'a influencé pour la vie.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si nous parlons H Bonham Carter et fessée, alors il faut parler de Lady Jane... (même si on ne voit rien!)

      Supprimer
  2. Je suis contente que mon petit extrait vous plaise, Bertrand. Étant moi-même très sensible à la mode de cette époque, je suis toutefois toujours surprise à quel point le petit geste de mettre l’agrafe en place peut fasciner certains messieurs... de goût ! Je n'ai pas connu l'époque des institutrices donnant la fessée. Mais j'imagine facilement l'effet mémorable, même en étant un pur spectateur.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je viens d'apprendre le nom de la pièce ronde autour de laquelle se place la pièce en métal : le picot. Je l'ai appris dans un très joli site, buy-buy-baby. Je devais avoir 5 ou 6 ans et j'étais fasciné uniquement par le centimètre carré de bas qui épousé la forme du picot et du clic au moment ou la pièce de métal s'enclenche autour du picot. Souvenir écran sans doute, j'étais peut-être fasciné tout autre chose, c'est si loin. Voilà comment on devient fétichiste.
      Mac-Miche : Lady Jane, est-ce une série anglaise avec costume d'époque ? Je me souviens avoir vu une série des années 80 o un père puni sa fille hors caméra effectivement mais je ne savais pas qu'il s'agissait d'H.B Carter. Si nous parlons du même film c'est effectivement assez troublant, une fessée très sérieuse en tous cas.

      Supprimer
    2. Bonjour Mr Bertrand,


      Je n'ai , à la vérité, jamais regardé la série " Lady Jane". Vu la pellicule j'aurai pensé qu'elle datait des années 1980.Peut-être une série anglaise, bien qu'ils y parlent en italien ...
      Il y avait à l'époque aussi la "Série Rose" sur Canal Plus (?) le Dimanche soir dès minuit et le fameux film érotique de M6.
      Perso, mon fétichisme des vêtements s'est développé à la période de mon adolescence .
      Mac-Miche

      Supprimer
    3. Pour Bertrand :

      Je viens de faire un petit saut sur le site que vous m'avez indiqué, Bertrand. Effectivement c'est très joli. Je ne connaissais pas non plus le mot picot et je prends bonne note. Je peux enfin désigner ce petit truc qui se détache parfois du reste et qui doit être remplacé en dépannage par une pièce d'un cent. Merci pour cette jolie excursion autour du fétichisme !

      Supprimer
    4. Pour Monsieur Mac-Miche,

      pour ma part je ne m'y connais pas non plus en séries érotiques de la télé. Vu à l'heure que cela se passe, le filles sages comme moi dorment déjà depuis un petit moment ! Il m'a fallu le monde des blogs pour découvrir le matériel cinématographique en rapport avec notre sujet.

      Supprimer
    5. Bonsoir Isabelle,

      A vrai dire, je suis un peu insomniaque et je m'endort tard. Donc quelques fois je zappe... Je me souviens que M6 dans sa Série Rose avait diffusé l'épisode "La Fessée" qui se passait dans une ambiance aux environs de 1900-1920 , en costumes, en Europe, avec une histoire d'épouse infidèle surprise en pleine action par son mari qui la fait corriger par la gouvernante (qu'il courtise de son côté. Le bougre !) Ca doit remonter à près de vingt ans en arrière. Mac-Miche

      Supprimer
    6. Je n'ai jamais vu ce film qui pourtant est facilement trouvable sur le net. Il y a de jolis extraits qui me plaisent beaucoup que j'aimerais bien commenter un jour ou un autre. Grand défi en quelque sorte, car je me souviens encore avec grand plaisir des chronique de Georges Fence qui savait de manière inimitable les mettre en valeur.

      Supprimer
    7. Bonjour Isabelle,


      Je suis d'accord avec vous.et merci de nous rappeler ce bon site riche en extraits. J'ai souvent visité le site "ciné" de Mr Fence qui relatait les films et les séquences avec un souci de précision, tant ils étaient variés et de tous pays. Comme quoi , la fessée, comme la cuisine, est universelle ! Mac-Miche

      Supprimer
  3. Pour Monsieur Pecan :

    Je n'avais pas fait le rapprochement avec Lady Jane
    Lady Jane. Comme quoi, les commentaires c'est bien instructif.

    RépondreSupprimer
  4. Mac-Miche, Isabelle: Lady Jane est un film avec H Bonham Carter dans le rôle de l'héroïne, racontant la vie de Lady Jane Grey, très brièvement reine après avoir été mariée. Elle est fessée par sa mère avec une longue verge pour avoir refusé ce mariage. Visiblement c'est un acte assez habituel dans sa famille (de grands nobles), puisqu'il suffit que la mère dise "préparez la galerie" pour que les domestiques mettent en place le banc, que la jeune fille se mette dessus et qu'on lui relève les jupes.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Alors ce n'est pas le film auquel je pense. Dans celui - ci c'est le père uqi fesse sa fille. C'est un feuilleton anglais, évidemment, c'est tout ce que me souviens et c'était trouvable sur le net il y a peu. À nos souris.

      Supprimer
    2. J'ai lu je ne sais où que la Lady Jane historique était fessée par ses deux parents. Je suppose qu'il paraissait plus décent de renvoyer tous les hommes.

      Supprimer
  5. Bonjour Mr Pecan,

    Vous êtes un fin connaisseur et merci de toutes ces précisions.
    Il est vrai que jadis, les jeunes filles issues de familles aisées n'avaient pas leur mot à dire concernant leur future mariage et en cas de "faute" ou de son refus, c'était le couvent pour méditer sur leur avenir. Remarquez de nos jours , ce genre de choix est encore imposé dans d'autres sociétés sur d'autres continents. Malheureusement... Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  6. Merci pour ces explications, Monsieur Pecan. J'ai lu ce printemps le livre « L'histoire de la pudeur » qui consacre un chapitre à la fessée chez les nobles et dans d'autres circonstances de l'histoire française. Malheureusement je ne l'ai pas sous la main pour en résumer quelques anecdotes. Étant dotée dune « mémoire de passoire », je me souviens, comme d'habitude seulement de l'ouvrage qui contient l'info et non de l'info en soi.

    RépondreSupprimer
  7. il y a aussi la pièce "La fessée", un pièce de boulevard des années trente mais donnée dans les années 70 dans la série "AU théâtre ce soir" qui a bercé notre jeunesse même si le public était plutôt 3e age ou alors des familles qui venaient se distraire. C'est assez convenu, humour éternellement bâti sur quiproquos, portes qui claquent, maris trompés. La pièce la fessée qu'on peut voir intrégralement sur Youtube flatte l'ego masculin : un brave mari qui n'en peut mais de son hystérique de femme jouée par Amarande et sa belle-mère snob. Finalement, il n'a plus qu'un seul recours pour calmer sa moitié, je vous maisse deviner lequel. Le mâle spectateur de l'époque savourait cette correction publique (l'actrice avait quand même du courage!) en se disant "c'est vrai que de temps en temps il le faudrait une bonne fessée". je me rappelle très bien quand c'est passé à la télé. Télérama avait dit que l'on ne devrait pas passer des pièces aussi vulgaire mais ce genre de divertissement plaisaient encore dans les années 70.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Mr Bertrand,


      Vous avez la même culture TV que moi et ça fait plaisir de voir évoquer cette époque riche en programmes. Je me souviens bien de de ce divertissement du Vendredi soir (qui perduré jusqu'au début des années 1980) et aussi de ces moments du samedi soir également avec de grands comédiens comme Jean Piat (Lagardère, les Rois Maudits) ou Michel Roux (qui double la voix en Français de Tony Curtis) et tant d'autres... Dommage que le théâtre ne soit plus au gout du jour. Sans compter les pièces de Molière avec Jean Le Poulain (Le Bourgeois gentilhomme) ou Michel Galabru. On a beaucoup critiqué les années "Beatniks" mais au fond ça restait assez classique dans les choix des programmes. Belle époque niveau culture... Toute ma jeunesse... Rires. Perso, la TV de nos jours... Dommage.
      Encore une petite digression de ma part , Isabelle ! Comme d'hab !
      Je m'éloigne un peu de notre sujet favori .
      Bon WE. Mac-Miche

      Supprimer
    2. Ah Michel Roux! En effet Tony Curtiss a exigé qu'il ne soit doublé en français que par lui. Je suis sur qu'Isabelle ne vous en voudra pas (rire)
      Je me souviens aussi de Jacques Charron : les grands enfants avec l'excellent Poiret, le duo de danse avec Robert Hirsch en danseuse étoile, et aussi dans le malade imaginaire. Est-ce dans cette pièce où le personnage principal menace sa fille des verges? à la comédie française c'était de vraies verges, en faisceaux. Mais avec la classe on avait vu une mis en scène plus moderne et à ce moment le malade imaginaire sortit ... un martinet! On n'en sort décidément pas. C'est à ce moement que la pièce m'a intéressé. Bon j'arrête les souvenirs d'anciens combattant.

      Supprimer
    3. Pour Bertrand et Monsieur Mac-Miche,

      je suis très bon public pour les choses que je ne connais pas. Ma culture télévisuelle, sans parler du théâtre et de la littérature est plus que défaillante. Alors quand je ne connais pas un sujet je me tais et j'écoute. Bref je n'ai rien contre un peu de distraction bon enfant sur mon blog !

      Supprimer
  8. Bonjour Mr Bertrand,

    Vous souvenez vous des parodies des classiques jouées entre autres par des chanteurs pop connus dans les émissions des Carpentier le Samedi soir : les fables (Salvador et Perrin) , la comtesse de Ségur (Goya et Vartan)... Carlos (le Bougalou...). Et alt... Un régal !
    Par contre, je n'ai pas souvenir de l'épisode des verges dans la pièce du "Malade Imaginaire" qu'on nous présentait souvent pour un jour férié de fin d'année. J'étais gamin à l'époque (1975-77). Pour la version "moderne" dans La Classe de Fabrice (excellent et pépinière de talents), je la regardais très rarement car elle passait au moment du souper...
    En revanche, un magazine de vidéo(TV Vidéo Jaquettes) a édité dans son mensuel un fac-similé de l'affiche d'une comédie avec François Périer (cf. Police Python 357 avec Montand - Signoret ) où celui-ci fesse sur le lit conjugal sa partenaire féminine (le nom m'échappe !). Et l'affiche reproduisait ce moment-clé du film. Le titre finissait par "... Chérie !". Je vais essayer de la retrouver.
    Carton rouge pour moi ! Mille excuses, Isabelle.! Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  9. Bonjour Isabelle,


    Comme promis, j'ai fait quelques recherches concernant le film avec François Périer. Et j'ai retrouvé l'affiche en fac-similé reproduisant le fameuse scène fétiche de cette comédie. Et le titre était : Elle et Moi. Il y donnait la réplique à une autre comédienne du nom de Dany Robin. Et le film date de 1952.
    Bonne journée. Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  10. Vous n'auriez pas un lien vers cette affiche, Monsieur Mac-Miche?

    RépondreSupprimer
  11. Bonjour Isabelle,


    Je vois que ce film vous passionne. Rires... Je vous donne les liens "ciné" (entre autres) où l'on peut voir l'affiche du film avec sa fiche :
    - www. ecranlarge.com/movie_image-view18097-385312-movie.php
    - www.cinefilm.com/film/elle-et-moi
    - www.cinetrafic.fr/film/1140/elle-et-moi
    - www.unifrance.org/film/122/elle-et-moi
    Voilà, sitôt dit, sitôt fait .
    Bonne journée. Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  12. Merci pour ces jolis liens Monsieur Mac-Miche. Je viens de découvrir. Et voici le clip .

    RépondreSupprimer