lundi 18 août 2014

560 Connaître les fantasmes de ces grands garçons

Certaines dames savent s'y prendre

My Mistress (bande d'annonce officielle)

Il n'est pas un secret que les fantasmes sexuels de ces messieurs m’intéressent. Pourvu que la présentation se fasse sans vulgarité et aussi sans vouloir m'impressionner par d'éventuelles performances, je suis d'une excellente écoute. Cependant il est très rare de tomber sur des messieurs qui se permettent « de baisser ainsi leur froc » devant une dame. Encore plus difficile est-il de tomber sur un jeune prince qui ose faire des confidences. Pourtant quand j'étais ado moi-même, je mettais le paquet pour les désinhiber. La réussite n'était que rarement au rendez-vous. Alors peu étonnant que cette bande d'annonce m'attire. Enfin un film qui met en scène, sous forme romancée, la curiosité sexuelle d'un jeune prince charmant, version James Dean, envers des fantasmes peu habituelles.

Visiblement, comme semble prouver cette histoire, pour connaître ce qui provoque les émois sous le caleçon d'un jeune homme...

...il faut une (très belle) dame mure qui sait se montrer en initiatrice.

Peut-être parce que une situation égalitaire entre deux ados, dans le sens d'un manque d'expérience des deux côtés, pose non seulement le problème de l'initiative, mais aussi comment s'y prendre concrètement. C'est le moment de la vérité. Les jeans ne sont pas encore tombés et se pose la question par quoi commencer. Difficile dans un tel moment de dire à son prince :

J'aimerais que ce soit toi qui me baisses mon jeans et ma culotte. Que tu me renverses sur tes genoux et que tu me donnes une bonne fessée, sur mon cucul tout nu. Une fessée qui fait vraiment mal... et une fois que j'aurais le derrière en feu, tu pourra faire avec moi ce que tu voudras.

Dans cette (malhabile) proposition, on reconnaît facilement ce qui ne va pas tout. En fait, bien de princes aimeraient entendre :

je te ferai, ce que tu voudras...

Enfin non, je n'ai pas encore tout bon là ! Voila ce qu'ils veulent entendre.

je te montrerai ce que je sais faire...

On revient donc à la mistress, sorte de superwoman qui elle maîtriser toutes les registres. Contrairement à notre séductrice débutante, qui ne connaît encore rien en travaux pratiques. Notons qu'il ne suffit pas de savoir manger un cornet de glace ou une banane pour faire monter au septième ciel un homme. Sans parler de l'art suprême de manier un fouet.

Tu connais rien toi sur le rôle d'une mistress, isabelle !

Euh... non, rien du tout ! Mais peut-être quelqu'un pourrait m'expliquer...

Mon chéri, au même âge que le jeune homme de ce film, était encore en train de chercher sa vocation. Ses rêveries grouillaient de dames sévères qui savaient mettre de l'ordre dans son chaos de pulsions contradictoires. Dompter la bête en soi, veut dire toutes ses vilaines fantaisies, censées à faire rougir une fille sérieuse. Comme si le filles sérieuses n'avaient pas d'envies sexuelles.... passons.

Et voilà, nous y arrivons ! Se dévoile ce qui m'excite particulièrement dans la thématique qui soulève ce film. Ce que je n'ai vécu quand j'étais ado, entendre un prince charmant avouer ses fantasmes les plus fous à la fille de son cœur. Je parle là essentiellement pour les constructions intermédiaires, les vraies fantasmes quoi, impossibles à réaliser pour de vrai, au mieux sous forme de jeu. Ce que retiens de cette bande d'annonce :

A croire que certains hommes, peu importe leur âge, parlent seulement sous la menace du fouet !

Ps : J'adore le coup de colère d'Emmanuelle Béart sur son escalier en faisant claquer le fouet. Je peux m'identifier à des tels états d'âmes, aussi , sans le moindre mal...

calme toi, isabelle, sinon c'est la fessée !

17 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,


    Je viens de voir la bande-annonce de ce film qui raconte la vie d'une dominatrice partagée entre sa vie de femme et sa "domination". Notre Emmanuelle (à ne pas confondre avec l'autre star planétaire bien connue) y est... divine !! Superbe prestation: peu bavarde , froide dans ces gestes, tout dans le masque... J'aime. Une vraie "Dompteuse d'hommes" ! Et l'autre dame mure, plus élégante dans sa tenue, très bourgeoise, semble l'autre pendant d'un même personnage (?). La sévère initiatrice ?
    Il est loin le temps (1987) de "Manon des Sources" avec le Papé (Montant) et Cogolin (Auteuil)... Rires. Et puis ce n'est peut- être pas un hasard si le metteur en scène anglophone a choisi une "French Actress ": le charme "à la Française" rayonne toujours à travers le monde et reste aussi une référence... pour les femmes !
    Et la séquence de l'escalier et du fouet semblerait s'adresser aux spectateurs masculins en voulant dire: "Garde à vous! Désormais c'est moi qui commande ! Vu ?". Terriblement séduisante, non ! Ah les femmes de tête ! quel délicieux cauchemar !!
    Alors, pour une fois, (et avec les médailles remportées à Zurich) , je dis : Cocorico !!! Merci, Isabelle ! Mac-Miche

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  2. Moi aussi, j'ai l'impression qu'il s'agit d'un très beau film. Habituellement l'univers du Sm n'est pas ma tasse de thé et justement pour cette raison hors de question de me mettre un bandeau sur mes yeux de peur découvrir ce qui se fait ailleurs. J'ai l'impression aussi que deux styles de dames sévères s'affrontent : la dominatrice (version sexualise du fantasme de la discipline) et l'éducatrice (version désexualisé au service la morale). Et bien sur, comme vous cher Monsieur Mac-Miche, j'adore la sublime Emmanuelle Béart.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Votre récit d'aujourd'hui m'intéresse personnellement dans la mesure où il met en valeur une thématique qui sous-tend la base de mes dessins.
    Quel homme n'a jamais imaginé dans sa période d'adolescence, et compte tenu de son contexte familial d'alors, être "pris en main" par une femme d'expérience en matière de domination sur les hommes. Femme ô combien troublante par sa voix, sa gestuelle, sa prestance ! Présence à la fois rassurante et redoutable... propre à venir hanter les rêves de toute une catégorie de jeunes gens dont je fis modestement partie. Fantasme inabouti...
    Ce Post ne manquera pas de faire réagir votre cercle de passionné/e/s, je l'espère. Bonne après-midi Mac-Miche

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    1. Peut-être les jeunes messieurs en devenir ne rêvent pas forcement d'une dame qualifiée en matière de domination, cher Monsieur Mac-Miche, mais il me semble que beaucoup rêvent d'une dame qualifiée dans l'art de l'amour. L'initiatrice expérimentée pour montrer les mille et une ruses comment faire plaisir à une dame. Voila l'impression que j'ai eu pendant mon adolescence quand le regard du jeune prince s'attarde sur la maman de l'élue de son cœur. Je doute que le prince soit en train d'imaginer comment sera sa copine dans vingt à trente ans...

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    2. bonjour Isabelle,

      Par domination, on pourrait entendre "maitrise", contrôle". Maitrise des sens, maitrise des sentiments, maitrise physique.
      Ce subtil mélange des sensations, réel ou sublimé, peut donner des envies de conquête aux jeunes gens dont les sens sont en éveil. Certains oseront franchir le pas et d'autres en resteront dans l'expectative. Tout dépend de l'audace dans le caractère.
      On est plein de courage mais parfois maladroits . Et certains d'entre nous attendent qu'une présence féminine complaisante vienne leur montrer le chemin en matière des "choses de l'amour". Tâche ô combien délicate pour ces dames, évidemment.
      La dernière phrase m'a fait sourire. Dans le langage populaire, l'entourage du gendre lâche cette méchante phrase à l'égard de "Belle-Maman" : "Regarde ta belle-mère aujourd'hui : ta femme lui ressemblera dans vingt ans !!! " . Pas très flatteur pour l'une comme pour l'autre. Le physique ne reflète pas forcément le caractère, non plus. D'autant que la Belle-mère de Cendrillon se fait tout de même de plus en plus rare, j'imagine. La société change. Et heureusement.
      Mac-Miche

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    3. J'ai l'impression aussi, cher Monsieur Mac-Miche que certains univers de la domination attribuent une signification particulière aux concepts comme la maîtrise, le contrôle (bien souvent sous forme compulsive), la possession, l'appartenance, la soumission, dompter, dresser... Enfin ce qui semble sortir de maintes écrits à ce sujet. Ce qui semble manquer à mon goût, c'est une description des phénomènes qui déforment le ressenti subjectif de l'espace temps (comme dans la vanille d'ailleurs). La construction d'une situation qui monte progressivement une tension dont les protagonistes tombent sous le charme.

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    4. Isabelle,

      C'est très juste. On pourrait retenir deux catégories de "domination".
      La première s'apparente à la "Dom" pure et dure avec professionnelles (les plus nombreuses ?) et professionnels dans le style "Donjon-chaines- et autres piloris" qui ne fournit, j'imagine qu'une "satisfaction glacée" (et glaciale !). Personnellement, ce genre ne m'attire pas le moins du monde. Dans cette situation, cette ambiance fait un peu figure de numéros de cirque avec dompteurs ( courageux) et fauves. Et les individus semblent réduits à des figurants, même si au départ leurs démarches sont volontaires. Trop impersonnel. Mais je respecte les goûts de chacun/e.
      Et la seconde, que j'apprécierais mieux, plus conforme , plus "home sweet home" Bref plus intimiste et propice aux confidences. On ne se "lâche" souvent que dans un cadre bien connu, avec un entourage complice. Où chacun/e joue de ses atouts respectifs pour faire monter la tension et aboutir à un plaisir commun et communicatif. Secret d'un moment d'intimité réussi. Du moins c'en est ma conception.
      Bonne après-midi. Mac-Miche

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    5. Un peu comme vous cher Monsieur Mac-Miche, le plus souvent ce qui rentre dans la dénomination « dominatrice » me laisse perplexe et m'évoque tout subjectivement, sans vouloir émettre un jugement, une association spontané de froideur et de séance de torture. Alors je décroche aussitôt sans qu'il y ait fascination quelconque.
      Pour ma part aussi, mon attirance va vers un univers de gouvernantes et éducatrices bienveillantes. Ou mieux encore, l'épouse sévère qui prend en charge les bonnes manières de son mari.

      Toutefois, je suis toujours étonnée à quel point le monde BDSM se donne du mal pour ingurgiter les pratiques bon enfant. A croire « qu'ils » ont besoin de nous, pour donner à leur pratiques un air sympathique et chaleureux. Ceci dit, parfois je me demande si le BDSM ne véhicule pas une certaines spiritualité ou du moins philosophie qui échappe à une petite tête comme la mienne...

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    6. Bonjour Isabelle,

      Il me semble que le monde du BDSM reste d'un intérêt particulier pour une catégorie de personnes donnée. C'est leur choix. Souvent c'est ce côté un peu "théâtral" que le grand public retient. Pour quelle raison ? Il faut dire aussi que parfois le côté "choquant" retient l'attention. Sadisme ?
      En lisant certains magazines très spécialisés (ex- Pulsions Sévères, SM Magazine et autres Confessions Intimes...) , il semble que c'est souvent le besoin de casser la routine dans les plaisirs d'un couple qui motive celui-ci à recourir à des pros du BDSM.
      En revanche, le côté "philosophique" du BDSM me semble flou.
      A moins qu'il faudrait y voir une règle de vie commune basée sur la Domination tant physique que morale comprise et acceptée. Mais cela s'apparenterait à une forme d'esclavage, ou tout au moins à une subordination d'un conjoint envers l'autre, avec mise en place d'une sorte de "contrat d'obéissance". c'est du moins de cette manière que je le comprend. Ca me semble un peu "tiré par les cheveux" comme principe (sans mauvais jeu de mots).
      Alors que la DD "classique" ( à laquelle j'adhère sans réserve) avec un cadre familier, intimiste, conviendrait mieux et reste plus soft. C'est peut-être le souhait d'une bonne partie des pratiquants de cette manière de vivre moins brutale (?) pour l'égo de chacun/e. "On aime ce qu'on connaît" disait un poète.
      De même la préparation mentale est importante selon les personnes: pour certaines, un excès de stress peut les paralyser dans leurs élans ou au contraire les stimuler fortement, qui leur permettrait de donner le maximum d'elles-mêmes.
      Mais c'est une hypothèse.
      Bonne après-midi. Mac-Miche.

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    7. Encore une peu comme vous cher Monsieur Mac-Miche. J'ai beaucoup de mal à cerner l'enjeu philosophique, voire l'enjeu tout court du BDSM.
      Et idem pour les pratiques Ds. Mais cela ne veut pas dire qu'il n'existe pas d'autre « profondeur » qu'une apparence qui semble faire souffrir une personne pour le plaisir d'une autre. Je vois aussi une plus ou moins grande disponibilité sexuelle et morale pour le dominant, le désir de servir, le désir d'appartenir, le désir de rendre son maître fier de sa soumise.

      Dans la DD telle que je la conçois, je ne suis pas livrée au bon plaisir de mon compagnon. Il y a des règles de bon comportement à respecter et seulement si je les enfreins il y a punition. Pour le reste, la relation de couple se plaît dans un registre assez banal.

      Enfin, je n'ai jamais lu une discussion entre adeptes de la DD et du BSDM qui est restée constructive...

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    8. Bonjour Isabelle,


      Le côté un peu mise en scène est souvent la partie apparente de l'iceberg. On juge d'abord avec ses yeux, au premier degré, ce qui peut nous paraître alors choquant. Ensuite, on juge avec son esprit et son cœur, mélange subtil des sensations, parfois opposé.
      On accepte "tout" pour l'autre, et surtout par crainte de perdre à jamais son amour ou du moins la force des sentiments qu'on lui inspire. Cela fait un peu "contrat d'obéissance excessive".
      Mais là encore, certaines personnes ont un besoin de supporter cette "forme de maltraitance" comme preuve de leur "souplesse conjugale" (si je puis me permettre).
      Mais comme l'on dit, les choses simples sont celles qui procurent les plus grandes joies. Et dans ce domaine, la DD y souscrit tout à fait.
      Quant à une discussion entre les pratiquants de chacune de ces formes de règles de vie conjugale, voilà qui mériterait d'être entamée.
      Il est arrivé parfois que les chaines de TV (dont M6 et ARTE) proposent en fin de soirée un débat avec reportages à l'appui sur le thème du BDSM ou des activités de certaines professionnelles dans la Capitale. A savoir si cela a contribué à faire mieux connaître le sujet de la domination avec un grand D... cela reste du domaine de la probabilité. A mon avis, du moins
      Bonne journée. Mac-Miche

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    9. Je ne suis pas sûre, cher Monsieur Mac-Miche si le terme choquant transmet bien mes impression spontanés. Je dirais plutôt que c'est l'aspect « dangereux pour autrui » qui m'interpelle. Y compris dans les clips et images de fessée quand je trouve l'acharnement abusif et se dévoilent d'horribles marques. Il y a bien de variantes du BDSM qui vivent plutôt du déguisement et que je regarde avec curiosité, car nous sommes loin d'un jeu qui met en scène un danger. Voilà pour dire que le but de différents jeux BDSM n'est pas forcement le même. Transformer son partenaire en cheval pu autre animal, n'est pas identique au désir de l'immobiliser par le bondage.

      Pour ma part je doute que la crainte de la perte soit une explication universelle, mais elle semble adaptée à bien de constellations.

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  4. J'aime bien la bande annonce, mais je ne sais pas si j'irais voir le film (essentiellement parce que j'ai pas le réflexe "aller voir un film". Dans un cinéma, je ne peux rien faire d'autre que le film et du coup je culpabilise. Je sais même pas si c'est assez éclairé pour tricoter). Ce qui m'amuse surtout, c'est que j'en ai été une, moi, de "mistress". Sans cuir ni latex mais avec des bas résilles et des jupes cintrées. Et effectivement, des confidences, j'en ai reçu de toute sorte. ça m'a appris notamment qu' on se vante aussi bien quand on donne que quand on reçoit la fessée. J'ai entendu aussi bien "j'envoie les femmes que je fesse directement au 7eme ciel tellement je joue bien mon rôle" que "tu vas voir les effets sur moi de la fessée que tu vas me donner... sans me vanter je suis monté comme un poney de cirque" (ce dont je me moquais pas mal, on était pas censés faire l'amour après). Mais j'ai aussi des confidences plus profondes, plus sincères... Et beaucoup plus émoustillantes pour moi, une grande partie du plaisir que j'ai pris à être dominatrice venait de ses confessions, par messagerie instantanée ou de vive voix.
    De la même façon que j'adore, maintenant que je suis en couple, quand Simon me parle de ses fantasmes. Même quand je les connais déjà! C'est une façon d'être encore plus proche de lui, d'être sûre que je pourrais toujours être sa femme idéale (oui je sais c'est compliqué dans ma tête).

    [@MacMiche: dans le film, c'est Ugolin, pas Cogolin.]

    Constance

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    1. Bonsoir Constance,


      Je savais que c'était Ugolin !!!! Bonne culture ciné. Cogolin était le nom du personnage que jouait Bourvil aux côtés de Jean Marais (Mr de Capestan) et Elsa Martinelli (Josepha) dans le film de cape et d'épée de André Hunebelle intitulé ; "Le Capitan" . Un classique du genre de cette époque. Superbe.
      Mac-Miche.

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    2. Merci pour ta vision d'une salle de cinéma que je partage entièrement, Constance. Moi aussi, l'inactivité me pèse et le seul arrêt dans ma vie bien chargée se fait par la force... au coin.
      Je pense que le côté « confession » chez « sa dominatrice » n'est pas à sous-estimer. Déjà pour mettre en scène correctement un fantasme, il faut en parler. Il faut se dévoiler. Quant à la vantardise, je ne connais pas trop le sujet en matière de fessée, mais ce que tu dis me rappelle beaucoup la vantardise de certains homme sur leurs performances sexuelles dont le pire c'est celui qui se vante pendant l'acte...

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  5. Il me semble que madame et moi nous nous sommes faites bon nombre de confidences embarrassantes sur l'oreiller... mais surtout aussi sur les genoux, car quand on montre son cucul dans cette position on ne regarde pas le ou la partenaire dans les yeux! Quelques claques sur les fesses ponctuées de "oh le vilain" "oh la vilaine" "quel coquin" peuvent alors agrémenter la confession. Et c'est le confesse qu'on fesse, pardonnez le jeu de mots.

    Quant à cette bande annonce, je ne me reconnais pas dans son univers de "donjon". Un cercueil capitonné? Je repense à Champagne, de Jacques Higelin... mais là c'était du grand guignol assumé.

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  6. J'aime également beaucoup les confidences sur l'oreiller, cher Pecan, notamment quand je me trouve dans le creux du bras de mon homme. Je trouve le moment après la bataille particulièrement propice.

    Certes, l'ambiance donjon, m'attire également pas du tout, mais bon, j'en fais abstraction et seul la relation psychologique compte pour moi. Toutefois j'ai l'impression que chez certains adeptes Sm ressort un sentiment d'âmes damnés...

    Enfin difficile de nos jours d'imaginer de tomber sur un film qui aborde une relation purement disciplinaire comme conséquence des mauvais comportements au quotidien.

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