vendredi 29 août 2014

565 Liens de discipline domestique (129 ème édition)

Au menu cette semaine : Dans l'intimité des filles


Je ne saurais dire si Simone de Beauvoir quand elle parle de l'adolescence retrace son propre ressenti ou si elle pointe sur un phénomène plus généralisée chez les filles. Bref, pou ma part je m'y retrouve assez bien. Ce besoin d'une bonne copine, d'une meilleure amie. Et même si ce n'est pas pour explorer ensemble les sensations de nos corps respectifs, il s'agit tout de même d'échanger sur les changements du corps et les sensations y liées. Mais ma meilleure amie a été aussi présente dans mes rêveries. Côte fantasme, sous la couette, pendant mes évocations d'une composition sur mesure. Il y avait un foyer en commun, avec une « belle mère » chez laquelle je me trouvais avec ma meilleure copine. Cadre entre filles qui sécurise par ce fait. La belle mère étais de plus stricte avec nous. Calquée en quelque sorte sur une belle mère des contes de fée qui fait transpirer les gentilles jeunes filles par ses exigences. Ce clip correspond bien au caractère quelque peu grotesque de ces fantasmes destinées à ne jamais voir le jour dans la réalité. Il y a l'effet « l'une devant l'autre », le partage du coin, le ridicule de la grande fille encore traitée en petite, puis des vêtements ringards qui sont déjà en soi une punition. En gros, de quoi a papoter entre filles, le soir au lit avec les fesses toutes rouges. Avec timides évocation des effets secondaires de ce traitement disciplinaire. Puis, pour rétablir une justice supérieure (il y a une morale dans les vraies contes de fée) la belle mère aussi n'échappera pas au juste châtiment sur ses fesses.


Il ne faut pas avoir fait de grandes études de la psychologie humaine pour trouver ce qui cloche dans cette photo. Bien sûr ! Jamais une dame en panne de voiture serait obligée de faire de la main d’œuvre elle-même. Autant plus quand elle se promène habillée rien que de jolis sous-vêtements, de bas noirs et d’escarpins vernis à hauts talons. Bon, trêve de plaisanterie. Appartement cette mise en scène retrace ce qui est censée être un fantasme entre filles (?). Mais quand on commence à lire sur le visage de ces deux dames qui tournent leur tête vers les spectateur, il y a une autre interprétation qui se dégage. Par exemple un monsieur, excédée par le fait que lui doit changer tout seul une éventuelle roue crevée de sa voiture...

.et qui image un scénario hautement sadique.

Deux jolies blondes, obligées de faire le travail elles-mêmes. Loin de moi de dire du mal des blondes. J'en ai été une assez souvent dans ma vie et il est vrai - du moins pour moi – qu'un joli blond et un beau sourire facilitent énormément la vie. Ceci dit, pas la peine de se déguiser en vamp de route pour faire de l'effet. J'ai su séduire mon chéri dans un rien de temps, habillée pour faire une (très petite) randonnée. Donc loin de tout glamour avec des chaussures de marche et en pull et jeans. Une taille trop petite ce dernier, j'admets. Non, non. Pas de fessée, ni même d'allusion à ce moment-là. Une belle histoire qui commence, se tenir la main, petit bisous et mots doux à l'oreille, promenade en amoureux...

Hors sujet, isabelle. Je préfère que tu racontes les fessées pendant nos randonnées.

Je prends bonne note de ta remarque, mon chéri !


La face cachée des filles fait rêver pas mal d'hommes sans que ce soit une question d'âge. Adolescente, au premier rayons du soleil printanier, je m'étais rendue dans un Biergarten (sorte de Bistro allemand en plein air), vêtue de longues cuissardes noires et d'une jupe assez courte... pour faire de l'effet. Ben oui, je ne vais pas forcement mettre des cuissardes parce que je trouve la sensation tellement sublime. Disons que le soleil est si rare dans la région de mon enfance qu'il vaut mieux mettre le paquet quand il fait bon et on est à la recherche d'un prince charmant.
Alors oui, ma stratégie a fonctionné au quart de tour. Me voyant déjà au début d'une superbe aventure, je fus vite refroidie par une phrase pour le moins que l'on puisse dire … maladroite du jeune prince

Tu gardes tes cuissardes au lit ?

Résumé : On ne s'improvise pas séductrice. Cela s'apprend !


Mon pauvre chéri avait sous-estimé, si je porterais un uniforme scolaire, les effets secondaire sur lui. Un peu perturbé par mes apparences inhabituelles, il n'a pas pu s’empêcher de me passer sa main sous ma jupe, puis dans ma culotte.

Ah ce vilain garçon !

La sensation du coton se mélangeant à une chair douce et dépourvue du moindre poils lui fit perdre le reste de son calme. Bien que ce soit le comportement le plus logique de la part de beaucoup d'hommes, j'étais tout de même un peu étonnée. Alors j'ai fait de grands yeux avant de changer le rythme de ma respiration. J'adore de tels manifestations spontanées de la virilité...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

















49 commentaires:

  1. Chère Isabelle,

    Il faut en effet se méfier de la pantoufle!

    Chez nous, la pantoufle est parfois infligée dans la posture du petit clip que vous mentionnez, mais le plus souvent elle prend le relai de la main fatiguée par une bonne fessée sur les genoux.

    Inutile de dire que la vision d'une pantoufle sur le lit (et non dessous ou devant) n'est pas anodine.

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    1. Mon homme, pourtant grand amateur de pantoufles, préfère les garder aux pieds et sortir le martinet. Car ses pantoufles traînent partout. Il sort par exemple la poubelle avec. Un grand merci pour la main fatiguée par la fessée sur les genoux , cher Monsieur Pecan. Cela donne un air tellement touchant à votre discipline conjugale, loin des prouesses et performance que l'on lit ci et là ! Comme si la fessée était un sport de haut niveau.

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    2. Si une fessée à la main arrive à chauffer et rougir les fesses c'est qu'elle chauffe la main aussi! Certes, il y a le martinet, mais nous aimons la fessée sur les genoux, position qui ne lui convient guère. Nous pouvons certes sortir la planchette ou la brosse, mais le claquement rigide du bois peut ne pas nous convenir (tout est cependant affaire de dosage: on peut fesser avec un paddle en bois sans y aller brutalement et laisser des bleus). Nous n'avons (pas encore) de paddle en cuir... Mais une pantoufle peut elle aussi bien claquer. Nous aimons bien cette atmosphère "domestique" ou "à la maman"... et le fait qu'on puisse les emmener ou poser partout sans que cela ne soit suspect.

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    3. Voila un flagrant exemple de mon absence d'esprit pratique, cher Monsieur Pecan. Ayant l'habitude de recevoir de fessées et non pas de les donner, le souci de la main qui chauffe m'échappe donc quelque peu.
      Je crois comprendre votre attachement pour la pantoufle. Cela doit être assez semblable de mon attachement sentimental pour le martinet qui sent bon la discipline maison, bon enfant, si loin du monde du BDSM. Je dirais même qu'il y a quelque chose de rassurant pour moi de savoir un martinet à la maison. Ceci dit, nous voyageons toujours en amenant nos pantoufles...

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    4. C'est le seul défaut du martinet : on ne peut appliquer une fessée sur les genoux avec. Mais il a tant de charme! Avec lui on peut vraiment croire que la fessée punitive est "pour de vrai".

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    5. Soyons clairs cher Bertrand, l'effet vraie punition n'est tout de même pas bien méchant. Quelques jolies stries qui disparaissent vite au cours de la journée. Nous sommes loin des séances qui laissent le derrière dans un état effroyable.

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    6. J'en suis sur. La fessée punitive c'est tout un état d'esprit et certainement pas laissé le postérieur de la personne qu'on aime dans état effroyable, au grand jamais! le fesseur n'est pas un sadique. ce que je voulais dire c'est que c'est un instrument domestique, qui se trouvait dans les quincailleries, qu'on peut trouver encore maintenant dans certains magasins à paris tenus par des indiens entre les laisses de chiens et les balayettes. C'est ce coté banal (et public, un sex-shop c'est beaucoup plus fermé comme lieu, on y est incognito) qui le rend troublant, on peut aller acheter cela comme quelque chose de normal, comme si on disait au vendeur : "Bonjour, qu'est ce que vous avez pour fiche une bonne correction à ma chère petite femme? "

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    7. Bonjour Mr Bertrand,

      Je suis bien d'accord avec vous. Remarquez : et si le commerçant vous répondait du tac-au-tac : "vous pouvez l'essayer sur une des employées de la boutique !!!" Dans ce cas, surprise totale !! Non ?
      Punition rime avec correction c-à-d revenir dans le droit chemin même si cela doit passer parfois (mal)heureusement par une épreuve douloureuse (selon les épidermes ).
      Quant j'étais gamin, à la maison, il y avait un martinet derrière la porte de la cuisine et en cas d'insolence prolongée de mon frère ou de moi (rarement), notre bonne Maman nous en menaçait d'une bonne déculottée. C'était au début des années 1970...
      Mais je vous ennuie peut-être avec mes vieux souvenirs ringards...
      Mac-Miche

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    8. Pour Bertrand :

      Ah, un connaisseur ! Comme vous j'adore le côté banal du martinet. Ce qui permet par exemple de l'examiner sous toutes les coutures dans le magasin sans risquer un commentaire désobligeant de la part du commerçant. Ceci dit, il m'est déjà arrivé de demander dans un magasin s'il vendaient encore des martinets. Et la dame m'a répondu par un très sérieux : C'est pour vous ?

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    9. Pour Bertrand :

      Ah, un connaisseur ! Comme vous j'adore le côté banal du martinet. Ce qui permet par exemple de l'examiner sous toutes les coutures dans le magasin sans risquer un commentaire désobligeant de la part du commerçant. Ceci dit, il m'est déjà arrivé de demander dans un magasin s'il vendaient encore des martinets. Et la dame m'a répondu par un très sérieux : C'est pour vous ?

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    10. Bonsoir Isabelle,

      Un peu ambiguë, la question de la dame. Dans quel sens l'interpréter ?
      Il y a toujours l'argument-bateau, du style: "Oui, c'est pour tenir en respect le molosse qui garde notre domicile".
      Ou encore, si vous êtes accompagné/e par votre conjoint/e présent à un autre rayon, quoi lui répondre ? Cette brave commerçante aurait presque ajouté : un paquet cadeau ou à consommer de suite ? Peut-être n'étiez vous pas la seule personne à lui demander cet article ? En tout cas il faut essayer de garder un visage neutre même si, au fond de nous-même, nous sommes d'incorrigibles fétichistes !!! La crainte d'un faux-pas est toujours possible: du style : Damned ! je suis démasqué/e !!! Rires.
      Remarquez: pour nous les hommes, la démarche est un peu pareille quant on achète des revues classées X et qu'on les amène à la caisse en boutique et là, il y a parfois le petit sourire en coin du patron ou de la patronne... La première, ça crispe mais bon on s'y fait et heureusement...Mais tout dépend des caractères, évidemment. C'est aussi dévoiler un peu de son intimité dans un certain sens.Ca peut aussi en gêner certains. Mais nous sommes des grands garçons . Même pas honte. Mac-Miche

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    11. A vrai dire cher monsieur Mac-Miche, j'étais plutôt amusée par la question de la dame. C'était à la campagne avec tout le côté convivial et légèrement indiscret que cela implique. De toute façon, vu la facilité avec laquelle on trouvait, il y a quelques années encore, cet objet, il me semble que sa vente n'a rien d'inhabituel pour un commerçant. Mais bien évidement on se pose des questions sur le double sens. J'ai répondu par un simple « oui », sans ajouter quoique ce soit, en laissant peut-être la dame aussi pour sa part sur sa soif.

      Quant aux revue pour messieurs, j'adore les petites anecdotes autour des achats. Mon homme m'a beaucoup parlé de son adolescence et justement de l’acquisition de certaines « ouvrages » pour adultes.

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    12. Bonjour Monsieur Mac-Miche
      Si j'avais eu une telle réponse du vendeur je ne sais pas du tout si j'aurai pu garder mon sérieux et dire : " oui bien sur, c'est toujours mieux d'essayer avant. Vous avez un postérieur à me proposer pour faire un essai?"
      Isabelle : Concernant l'achat d'un martinet dans une quincaillerie, je ne sais pas si c'est plus dur à Paris qu'en province mais une fois j'ai eu droit à un regard consterné. "vous n'avez qu'à pas le vendre" j'avais envie de lui dire. N’empêche, je n'arrive pas à avoir votre décontraction Isabelle, quand j'arrive à la caisse pour acheter cet instrument.

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    13. Je trouve la question de la dame absolument géniale!

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    14. Je pense, cher Monsieur Bertrand que s'il y a un mauvais regard il concerne seulement un soupçon d'emploi pour les enfants. Un emploi entre adultes semble plutôt amuser. Après je n'ai jamais su non plus ce qui s'est passé exactement dans la tête de cette dame. Peut-être elle a voulu dire entre adultes...

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  2. Bonjour Isabelle,


    Votre récit précédent "Rien que des bêtises" m' inspiré ce poème :

    "la Fille aux cent visages :

    Par une belle nuit d'été,
    une demoiselle s'endort
    Son esprit vagabonde
    et l'a fait s'évader.
    Elle s'imagine papillonnante soubrette
    parmi les tablées
    dans son tablier en dentelle
    au service des invités
    En belle infirmière
    maternelle et attentionnée
    prodiguant ses soins
    dans sa blouse sanglée
    à d'éternels galopins
    En secrétaire glamour
    tailleur strict et sautoir
    toujours transie d'amour
    en assistante dévouée
    En gouvernante autoritaire
    qui cravache en main
    d'un regard sévère
    toise l'importun
    En maitresse d'école
    chignon et lunettes d'écaille
    veillant par delà son épaule
    sur ses remuantes canailles
    En Amazone passionnée
    d'un érotisme chic
    ou belle romantique
    aux caresses acérées
    mais avide de tendresse
    cherche son beau cavalier
    Fantasme de fessée
    ou fessée désirée
    désir de dresser
    Dressée par plaisir
    Plaisir... désir
    Elle ne sait plus quoi penser
    Fantasme inavoué ou...
    Féérie d'un rêve ?
    Elle ne sait plus quoi penser
    Et finalement la magie s'achève
    La Belle s'assoupit enfin, l'esprit reposé .


    J'espère qu'il plaira à nos ami/es visiteur/es
    Bon Dimanche. Mac-Miche.



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  3. Merci pour ce joli poème Monsieur Mac-Miche. C'est très flatteur de me retrouver mise en valeur dans une création artistique. En lisant le passage sur l'Amazone je n'ai pu m’empêcher un grand sourire. J'adore me mettre en selle, en fait sur une selle sans le cheval. J'apprécie particulièrement le contact de ma peau avec le cuir, enfin on s'en doutait déjà...

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  4. Pour l'achat du martinet:

    J'étais encore jeune homme quand ma compagne, à qui j'en avais parlé et à qui j'en avais montré dans des rayonnages une fois en France, m'a imposé comme gage d'en acheter un. Je devais acheter juste un martinet, sans tenter de le dissimuler au milieu d'affaires pour chiens.

    Lorsque la caissière a vu cet unique article sur le tapis, elle a eu un mouvement de surprise, m'a regardé d'un drôle d'air, et a dit quelque chose du genre "excusez-moi c'est que nous n'en vendons plus beaucoup - quelqu'un va avoir mal".

    Je ne sais pas si c'était parce qu'elle pensait que j'allais m'en servir sur un enfant, sur une compagne ou un compagnon, ou que j'allais le recevoir. Il faut dire aussi que je devais avoir environ 25 ans mais que je faisais plus jeune que mon âge, donc qu'on devait difficilement m'imaginer père de famille.

    J'ai rougi jusqu'aux cheveux et ai bredouillé une histoire de chien indiscipliné.

    Bien évidemment, madame a essayé l'engin sur moi à mon retour.

    (Ce petit gage fait un peu écho à des épisodes enfantins où ma maman achetait des suppos à la pharmacie, je faisais la tête et la pharmacienne les délivrait avec un grand sourire.)

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  5. Merci pour ces confidences, cher Monsieur Pecan. J'adore les histoires écrites par la vie. Je ne trouve pas la remarque de la dame bien méchante et plutôt de bon sens. Puis, en mettant à sa place, en voyant un jeune monsieur qui rougit et qui me raconte une histoire de chien, enfin... ma conclusion sur l'usage du martinet est vite faite. Ceci dit, je trouve votre épouse bien subtile. Visiblement elle sait parfaitement vous trouver des gages sur mesure.

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    1. J'avais peur que l'on me prenne pour un père indigne s'apprêtant à battre son enfant! D'habitude les caissière vous regardent à peine avant de passer les articles, mais là... Peut-être avait-elle subi cet instrument dans sa jeunesse?

      Quelques années plus tard j'ai demandé à madame le même gage, mais là la réaction était plutôt "mais où est le prix sur ce truc". Elle est plus chanceuse!

      Aux États-Unis, quand nous achetions en drugstore des articles "connotés" (gants et lubrifiant, kit de lavement, thermomètre rectal...) les caissiers n'ont jamais rien dit. (Une fois madame m'a fait remarquer à portée d'oreille du caissier que ça servirait dès notre retour!) Il faut dire qu'ils ont souvent l'air crevés et je pense qu'ils ont consigne de ne pas faire de remarques qui pourraient mécontenter un client, en dehors des politesses d'usage et du sac à proposer.

      Dans le même ordre de réaction, pour un achat de suppo à l'eucalyptus (Biquinol?): (réaction de surprise de la vendeuse) "ce sont des suppositoires - oui, je sais. - c'est que... il y a des gens qui n'aiment pas je préfère demander confirmation" et peut-être aussi un "nous n'en vendons plus guère" ou approchant. Et aussi un petit instant d'embarras quand la pharmacienne demande une confirmation "doliprano en suppos... ADULTE?" et a un petit sourire à l'encaissement dont on ne sait pas s'il s'agit de politesse ou d'une pensée "tiens le monsieur là il se met des suppos comme une mémé".

      Paradoxalement, ces épisodes sont plus gênants que l'achat d'un accessoire en sex-shop (c'était avant qu'il ne suffise de commander sur Internet). Je me rappelle avoir acheté avec madame des phallus à mettre à la ceinture, dont il était clair qu'il devaient agir dans mon postérieur, mais ça ne m'a pas gêné à la caisse. Sans doute parce que je me disais que quand on est vendeur de sex-shop, on doit être blasé.

      Mon épouse est en effet subtile et ne rate pas une occasion de me rappeler que, d'une façon ou d'une autre, elle s'occupera du contenu (antérieur ou postérieur) de ma culotte.

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  6. Étant aussi une fervente adepte de suppositoires, je connais également les remarques, parfois vraiment lourdes et indiscrètes de la part des vendeuses. Certes je pourrais prétexter un estomac fragile ou dans certains cas renvoyer la dame vers l'ordonnance de mon docteur en pointant sur ses compétences professionnelles. En lui disant clairement que le docteur c'est lui et que son travail a elle c'est la vente des médicaments. Chacun son métier. Voyez, je ne me sens pas du tout gênée de faire de tels achats. Je ne me sens pas du tout gênée de dire que je trouve la prise d'un suppo agréable. Je ne me sens pas gênée non plus par de petites allusions bon enfant. Mais j'ai horreur de remarques déplacées. Quand on insiste lourdement pour me dissuader de les acheter. Je me suis même mise une fois en colère pour demander la patronne de la pharmacie pour lui poser la question si sa vendeuse veuille bien ou non me vendre mes suppos. Bon, depuis on me lâche la grappe. Et je pense que ma réaction serait assez semblable au cas d'une caissière essayant de me faire la morale pour l'achat d'un martinet.

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  7. Quelles sont les remarques que vous font parfois les vendeuses? Je suis curieux...

    Dans notre cas, il s'agit de suppos sans ordonnance, donc difficile d'invoquer le bon docteur! Mais je trouve curieux qu'un commerçant se demande pourquoi on veut utiliser les produits qu'il vend... Je comprends mieux la caissière de magasin de bricolage qui s'inquiète que l'on puisse battre un enfant qu'une préparatrice en pharmacie qui s'étonne qu'on puisse vouloir s'enfoncer quelque chose dans le derrière, à une époque où l'homosexualité se normalise et alors qu'elle vend préservatifs et lubrifiants (ou s'agit-il de penser hypocritement que ces derniers ne servent qu'à la porte de devant?).

    Peut-être y a-t-il une question de génération. Je pense que la plupart des français de mon âge ont souvent subi, enfants, le suppo par maman (ou papa) et qu'une bonne part en ont retiré soit un certain goût, soit un certain dégoût; d'où certaines réactions sans doute (amusement chez celles qui trouvent ça finalement assez amusant, surprise dégoûtée chez celles qui en ont un mauvais souvenir). Chez des plus jeunes, ça devait être moins courant, donc plus une surprise comme "ça existe encore ces trucs?".

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  8. Peut-être mes mauvaises expériences avec les vendeuses en pharmacie sont dues à la campagne. J'ai déjà eu contact avec des personnes se voulant substituer au docteur en critiquant mes ordonnances. Et pourtant, je n'ai rien eu de bien méchant sur ma liste. Bref cette dame, s'est permis de me demander si je savais, ce que c'est un suppositoire sur un ton bien méprisant et après mon affirmation de commencer à critiquer de vive voix mon docteur. Je pense qu'elle a bien compris que j'opte pour les suppos « par vice » et elle a voulu de me le faire sentir. Y compris de considérer mon docteur comme complice de ma débauche. Vu son agressivité particulière, peut-être du à un traumatisme personnel, j'ai du faire appel à la pharmacienne pour obtenir gain de cause. Sans me priver de lui dire que je trouve l'emploi des suppos bien plus agréable qu'avaler des pilules.

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    1. Avez-vous un accent allemand en français? Il est possible que cette vendeuse, au vu d'expériences avec des clients étrangers, se soit demandée s'il était bien raisonnable de vous donner des suppos. J'ai déjà lu des témoignages d'américains effarés par ce genre de prescriptions...

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  9. Le plus souvent on me demande si je suis alsacienne, mais disons que mon accent et ma présentation ne trompent pas sur mes origines. Il semblerait effectivement qu'elle s'est posée la question du bien-fondé de me donner mes suppos. Notons que je ne suis pas un accro. Rire ! Cela reste quelque chose d'épisodiquement chez moi. Puis mon homme adore tellement de me les administrer...

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    1. Oh, nous non plus! C'est simplement depuis longtemps la coutume chez nous qu'un mal de gorge entraîne un Biquinol ou Pholcones 2-3 fois par jour jusqu'à guérison, et souvent un mal de tête le soir un paracétamol, etc. C'est ludique des deux côtés, que ce soit pour celui ou celle qui présente les fesses et subit une introduction qui, même avec l'habitude, est tout de même embarrassante, ou pour celui ou celle qui administre.

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    2. Ah voilà, je commence à comprendre de mieux en mieux la réussite de votre discipline conjugale, Monsieur Pecan. De punitions bienveillantes, sans abus (mais cuisantes tout de même) et sans perdre certains éléments ludiques. Prise en compte de vos mondes fantasmatique respectives. Un recul envers vos pratiques, beaucoup de finesse psychologique. Et surtout le manque d'un côté obsessionnel qui ne peut pas se passer de reproduire tous les jours les mêmes rituels. Bref c'est toujours agréable de vous lire et je m'y retrouve bien.

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    3. Chère Isabelle, en effet, aucun des actes un peu "pervers" dont nous discutons ici (fessée, suppo...) n'intervient quotidiennement comme une sorte de passage obligé: s'il s'agit de "rituels" ils sont chacun associés à des circonstances particulières (par exemple, le mal de tête entraîne la prise de température rectale et/ou le paracétamol oral ou rectal).

      Les seuls rituels quasi-quotidiens sont la toilette de mon sexe et le coït du soir, d'ailleurs le plus souvent par les voies "naturelles" et dans des positions très classiques. Madame tient beaucoup à ce dernier ("j'ai un homme à domicile autant en profiter"), et elle a ses habitudes orales juste avant... donc presque toujours elle prend la précaution de laver elle-même l'instrument avant le coucher.

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    4. Ah le coït du soir ! Le devoir conjugal proprement dit. On n'en parle que rarement, mais je pense qu'il s'agit du vrai pilier de la discipline domestique : La belle entente amoureuse entre les partenaires. Le plaisir et la satisfaction de choses simples. Le gros câlin, les plus souvent banal dans son « déroulement », sentir mon homme en moi, voilà de quoi pour préparer un bon dodo.

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    5. C'est exactement ça: préparer le dodo!

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  10. Quelque chose me dit que l'humiliation potentielle par le sourire ou les questions de la pharmacienne fait partie du jeu dans la famille Pécan ! Je suppose même que c'est le titulaire du mal de gorge qui doit aller lui-même chercher la boîte... Mais la pharmacienne n'est elle pas habituée depuis tout ce temps ?

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    1. Hé bien, je dois vous avouer que parfois ça m'est arrivé de prétexter que c'est pour mon épouse (je fais le mari que l'on envoie acheter des trucs de fille). Mais bon, quand on arrive avec la voix enrouée, difficile de donner le change. C'est celui qui est disponible pour remplir le stock qui le fait.

      Dans deux pharmacies à proximité de notre domicile actuel, nous n'avons plus de réflexions déplacées, même si je me rappelle d'un achat de suppos de paracétamol adulte où la pharmacienne est revenue d'un air triomphant "et voici les suppos" en me regardant.

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  11. Intéressante votre dernière question Monsieur Doumik. Je vous donne à l'occasion mon son de cloche.

    Après mes mésaventures avec ma pharmacie, je suis allez ailleurs. Et depuis le temps que j'y vais, on me connaît bien et on connaît mes préférences. Il y a donc une certaine complicité avec les personnel de cette pharmacie qui s'est installée. Et... le sujet ne laisse pas insensible certaines. J'ai pu donc avoir des discussion sur les suppos, sur les lavements sans que cela aille sur un terrain proprement sexuel. Bref, je pense qu'il y a pas mal de dames qui sont friandes de suppos. Évidement pour ma part manque le petit côté honteux, mais il y a le frisson de me sentir quelque peu délicieusement perverse... ce qui mérite selon mon homme une bonne correction. Et à vrai dire, je trouve justifié ces corrections pour « comportement éhontée ». Voyez tous cela sous forme d'une rigoureuse confession, car peu de choses échappent à la vigilance de mon homme.

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    1. Il y a de cela un certain temps, nous avions songé à nous doter d'un bock à lavement, qui peut se poser tandis que le sac (acheté dans un drugstore américain) demande à être suspendu. Je ne sais plus où nous avions vu qu'on pouvait acheter ce genre de produits en pharmacie, éventuellement en le faisant commander. Nous avions cependant renoncé car nous redoutions des questions indiscrètes ("vous n'avez pas d'ordonnance?") ou des recommandations déplacées ("vous savez madame la douche vaginale est inutile et néfaste"). Peut-être devrions-nous commander cet ustensile en ligne.

      En y réfléchissant, nous n'avons jamais eu de remarque de la part de caissières de supermarché pour l'achat de vaseline, lubrifiant, etc.; la différence est sans doute qu'un vendeur de pharmacie est un professionnel censé connaître ses produits et qui se sent donc enclin à donner des conseils positifs ou négatifs. Je me rappelle ainsi d'un jeune préparateur qui voulait m'expliquer comment on met des suppos enfant - le côté plat en avant, d'après lui... Je n'ai pas eu le cœur de lui expliquer que quand on essaye de soulager un enfant constipé qui pleure parce que faire caca fait mal, on fait rentrer comme on peut tant que ce n'est pas douloureux.

      "Évidement pour ma part manque le petit côté honteux, mais il y a le frisson de me sentir quelque peu délicieusement perverse... ce qui mérite selon mon homme une bonne correction."

      Nous avons des points communs! Un motif de "petite fessée ludique" chez nous est la "perversion": on punit le désir honteux de se faire fesser ou pénétrer par derrière...

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    2. Allez, une petite revanche pour tous ceux qui ont été gênés devant la pharmacienne.
      Un jour, j'étais à la pharmacie pour un réassort d'antidépresseurs ou de vitamine C je sais plus, j'attendais patiemment, et là, un touriste anglophone vient acheter des pansements. La pharmacienne, toute bonne volonté mais visiblement peu calée en anglais, sort un magnifique:
      "it's only scotch, you will need bondage for this!".
      Le touriste était interloqué, et moi je gloussais comme une débile. Quand elle a compris ce qu'elle venait de dire, elle était toute rouge.

      Constance.

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    3. Merci pour cette belle anecdote, Constance. L'humour involontaire, c'est celui que je préfère. Mais bon, les connaissance en anglais sont bien souvent plus que rudimentaires en France...

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  12. Broc ou bock, cher Monsieur Pecan ? Deux mots qui désignent le même objet ou existe-t-il une différence ? Donc chez nous il y a un joli broc ancien, émaillé, bien visible comme un objet de déco. Pas de cachotterie quand il y a de questions curieuses. J'en parle librement de son emploi. Justement parce que l'emploi n'est pas régulier sauf une, parfois deux cures Xantis annules. Discussions qui se passent dans une bonne ambiance qui fait rire celles qui découvrent, mais la pratique intrigue, justement parce que beaucoup de dames sont prêtes à tout pour une sante de fer (lire être et rester belle!)

    Le comportement pervers, harcèlement sexuel, exhibition éhontée devant tiers (par exemple de m'ajuster une jarretelles sans trop essayer de me cacher) est le motif le plus courant pour la petite fessée ludique, récréative, érotique. Cela n'a rien à voir avec une séance punitive qui fait suer. Nous restons dans un registre pas bien méchant, le plaisir d'entendre la sonorité des claques sur mes fesses. Le plaisir de me trousser et de me placer sur les genoux de mon homme. Et beaucoup d'attouchements de la main qui s'égare. Ce registre existe indépendamment de notre discipline domestqiue. Il n'a pas besoin de beaucoup de mots pour s'introduire et il ne dérape pas.

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    1. Chez nous, il y a le petit lavement qui sert juste à préparer à la pénétration anale et qui est assez fréquent, et le plus rare lavement évacuateur: administré soit pour constipation ou autres maux, soit pour cause de nervosité et pénibilité (effet "calmant").

      Pour le moment nous utilisons une poche à lavement acheté en drugstore aux États-Unis.

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    2. Mon homme aime bien que je recoure à ce moyen les rares fois que j'affiche un air constipé et à vrai dire ce remède ne manque pas d'effet!

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  13. Bonjour Isabelle,

    Je me permets de préciser. En préparant notre déménagement il y a trois ans, nous avons retrouvé dans le fond d'un placard, bien enroulé dans une vieille serviette en éponge, un vieux "broc" à canule en émail vert bronze d'au moins soixante ans d'âge qui appartenait à ma grand-mère maternelle.
    Un simple broc avec sangle à suspendre avec à la base un trou percé pour y visser une canule flexible à embout pour lavement à l'eau tiède et à faire passer en une heure au minimum. Un procédé un peu long mais moins agressif que les produit laxatifs anaux style 'Normacol" vendu en pharmacie, pour lesquels je n'essuie aucune remarque ironique de la part de ces professionnel de santé.
    Dans le Larousse, il s'écrit broc mais ma grand mère le prononçait "bro".
    Le bock me fait plutôt penser à un moment plus agréable : une tournée entre amis ( bien que ma santé m'interdit tout alcool quel qu'il soit mais on peut toujours rêver. Alors pourquoi pas ? ) autour d'un belote , au Café du Commerce ! Rires.
    Bon WE. Mac-Miche.

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  14. Voilà, nous avons un objet qui ressemble bien à votre description, cher Monsieur Mac-Miche. Un vrai de l'époque avec des embouts de tailles différentes, spécial bricolage Monsieur 183. Mais oui, il pense à mon confort mon homme. Pour le bock, j'ai la même association que vous. Ayant grandi proche de Düsseldorf, ville allemande qui se vante de posséder le comptoir le plus long du monde (bistro à côté de bistro) et un nombre de bières incalculables, j'ai bien entendu déjà vu et goutté du Doppelbock, breuvage comme la bière que je n'aime pas du tout.

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    1. Bonjour Isabelle,

      Les vieilles méthodes ont fait leur preuve et elles restent préférables aux systèmes plus modernes, exception faite peut-être des appareils domestiques qui nous facilitent le quotidien. A l'image du lave-linge qui a été inventé par un ingénieur américain ou européen, fatigué de faire la lessive à la main car divorcé et père de nombreux enfants.
      Concernant l'anecdote du plus long comptoir à bière du monde, mes cousins d'Alsace ne m'en ont jamais parlé. Et question solidité et gigantisme, j'ai l'impression que nos voisins d'Outre-Rhin adorent eux aussi faire dans la démesure.
      J'avais lu dans un magazine de mots fléchés que le mot "Bistro" qui semble pour nous Français l'équivalent du mot "Café" viendrait en fait du mot cosaque qui signifie "vite" et date de la campagne de France de 1814 quant ils occupaient notre belle Capitale, fille des Arts et... de l'Amour. Mac-Miche

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  15. Je ne sais pas s'il s'agit vraiment d'une question de gigantisme, cher Monsieur Mac-Miche. Fait est que l'on trouve environ 250 bistros, l'un à côté de l'autre pour déguster de la bière. Et il y a toujours du monde, partout, surtout quand il fait bon. Un endroit idéal pour faire des rencontres. Pour une nuit ou pour la vie.

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  16. Chère Constance, en fait un de mes pires souvenirs de pharmacie est quand j'étais lycéen. J'étais fort inexpérimenté sexuellement et je fréquentais une jeune fille avec qui j'espérais bien dépasser l'étape de la masturbation, que m'avait accordé une conquête précédente. J'ai donc entrepris d'acheter des préservatifs.

    Si de nos jours les préservatifs sont en vente en distributeur, en supermarchés, supérettes etc. à l'époque il était difficile d'en trouver ailleurs qu'en pharmacie. J'ai donc pris mon courage à deux mains et suis allé en acheter.

    Ce fut un grand moment de solitude. J'ai demandé d'une toute petite voix inaudible.

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  17. Voila qui confirme les dires de mon homme. Qui parle également de ses grands moments de solitude au milieu des années 70 en achetant des préservatifs. Il semble qu'il y avait un air malfamé les concernant à l'époque. On en parle pas mal de nos jours de la libération sexuelle de cette époque en oubliant justement la pression éprouvée par certains ados.

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    1. C'est-à-dire qu'il y avait à l'époque une certaine hypocrisie quand on parlait de petit(e)s ami(e)s. "Couchailler" était réprouvé, chez les filles bien sûr ("Marie-couche-toi-là", "fille facile", etc.) mais pas seulement.

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  18. Sans avoir vécu cette époque je suis tout de même au courant par le biais d'un magazine pour ado qui aborde aussi la sexualité. Dans le chambre d'ado de mon chéri chez sa maman se trouvent toujours de dizaines de ces magazines de l'époque. C'était même pour l'époque un magazine très libre, parlant clairement du « heavy petting » qui comprend aussi la fellation. Mais entre ce qu'un journal écrit et le quotidien des ados, il y a différence. Notons par exemple que la canne ou la ceinture comme « moyen éducatif » dans les familles venait tout juste à disparaître. Voila qui menait à des sujet comme : J'ai tel âge, je reçois encore la fessée. Que faire ? Ce magazine (en vente libre sans restriction) existe toujours et il est interdit sur les forum de matériel visuel érotique de reproduire son contenu. Pour vous dire...

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  19. Bonsoir Isabelle,

    Finalement, pendant cette période des années 1970 qui prônait une certaine liberté des mœurs (reprise au cinéma par Tavernier et Chabrol), il subsistait un certaine résistance pour les traditions du "classiquement correct" surtout en milieu rural où tout le monde connaît tout le monde alors qu'en ville, on peut mieux agir, protégés , dirais-je, par "l'anonymat de la foule", plus individualiste.
    Et puis , cette période est également celle des premières générations de femmes qui sortent du cocon familial pour devenir actives et prendre leur propre destin en main, contrairement aux précédentes qui l'ont fait ponctuellement, pour palier à l'absence de leurs hommes qui étaient mobilisés.
    Personnellement, ma Maman a renoncé à continuer son métier pour pouvoir pouponner. Le dilemme de toutes les femmes d'aujourd'hui, d'une certaine manière ? Mac-Miche

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  20. J'ai beaucoup de mal pour me prononcer sur les années 70. J'étais trop petite. Par contre quand j'étais ado ou plus tard jeune célibataire, j'ai dû affronter quelques messieurs pénibles qui sous prétexte de la libération des mœurs se croyaient tout permis en coupant tout refus par un catégorique : Tu n'es pas libérée alors. Messieurs pressés, hédonistes narcissique, imbus de leur personne etc. Certes j'étais en grande ville, mais ne sous-estimez pas les mœurs à la campagne. Comme disait un ami d'adolescence : la ville c'est comme la campagne avec un plus grand choix de filles...

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