vendredi 22 août 2014

562 Liens de discipline domestique (128 ème édition)

Au menu cette semaine : Fantasmes scolaires


J'ai déjà entendu que certaines personnes ont été témoin d'un coup de baguette sur les fesses à l'école. Un unique coup de baguette, je précise, appliquée hâtivement sur un pantalon ou une jupe et dont l'événement le plus récent que je connaisse provient de source sure (mon homme) et date de... 1968. Ma belle mère parle également de punitions sur les vêtements la fin des années.... 30. Mais jamais j'ai entendu de vive voix un témoignage sur une punition ritualisée, style cul nu devant la classe. Je serais donc tentée de classer les innombrables récits à ce sujet comme purs produits de l'imagination de leurs auteurs ou comme légendes urbaines. A vrai dire, la véracité de tels récits m'importe peu. Ce qui m’intéresse c'est la forme exacte du fantasme. Et justement le fantasme de recevoir devant toute la classe une fessée sur mon derrière tout nu ou alternativement d'assister à un tel spectacle, m'a fortement inspirée quand j'étais petite. Je me souviens surtout comment au début j'ai soigneusement écarté l'idée que ce soit moi la punie et comme j'ai pris petit à petit de l'audace pour me projeter sur le devant de la scène...

...avec une sentiment de honte particulièrement intense et voluptueux.


J'ai beaucoup d'indulgence pour ces messieurs qui aiment les grandes écolières un peu nunuches. Et quoiqu'on en dise, pour bien de dames, affectionnant notre fantasme, c'est un moment particulièrement chargé d'émotion de troquer leur tenue de séductrice contre une panoplie de parfaite écolière. Un fantasme plutôt bon enfant à mes yeux. Et quand je pense, malgré une instruction poussée assez loin, quel genre de bêtises je suis capable à lâcher, j'ai une large compréhension pour un monsieur qui souhaite me donner des cours particuliers avec des méthodes particulières. S'ajoute que j'adore essayer des nouvelles tenues et styles. J'ai un bon rapport avec mon corps et rien ne me gêne à ce niveau-là...

...à part l'horrible culotte blanche !


J'aime (à petite dose) les histoires scolaires, notamment quand elles se passent dans un cadre de jeunes adultes. Rien à voir avec le politiquement correct. Je prends plaisir à la situation du consentement, à cet étrange phénomène qu'une personne ayant le droit de dire non, se plie tout de même, pour des raisons plus ou moins complexes, à la discipline corporelle. Ressortent deux points forts dans la fantaisie scolaire: la nudité partielle forcée qui met à rude épreuve la pudeur et le bon nombre de témoins que suppose le cadre scolaire. Sorte de :

Regardez ce qui arrive quand on n'est pas sage !

J'y ai pensé souvent quand - jeune adulte - j'ai pris des cours du soir pour apprendre le français. Les futures aventures avec mes princes charmants pour le week-end à venir me passaient par la tête pendant que j'étais en train d'écouter le prof. Et à chaque fois que je faisais une faute, j'imaginais mon prof me convoquer pour un entretien après les cours pour faire le tour du sujet de mon manque de concentration. En appliquant une méthode particulièrement efficace.

J'espère que cela vous sers de leçon, mademoiselle isabelle !


Le vice chez un homme me semble plutôt une qualité quand il se montre de manière subtile. Avec un joli langage qui n'appelle justement pas un chat un chat et qui joue sur les ambiguïtés et contradictions qui nourrissent le souterrain de fantasmes punitives. J'aime beaucoup une ambiance stressante qui me fait transpires à grosses gouttes et qui m'évoque certaines pensées comme:

Ah si j'avais ma punition déjà derrière moi

ou alternativement :

Et si subitement sa main s'égarait entre mes jambes !

En gros, il semble qu'un maître d'école vicieux et une fille vicieuse forment un joli couple.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















18 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Voilà un récit qui va peut être susciter des vocations chez les messieurs férus de vilaines filles pas sages et de leçons particulières. Rires.
    Le style "grande écolière/collégienne" plait toujours beaucoup . Et le costume y joue pour beaucoup comme vous le savez. Chez les hommes au tempérament plutôt paternaliste , cela conforte à leur besoin d'éduquer "des pauvres âmes en détresse" . Rires.
    La fessée scolaire qui m'impressionné s'est passée quant j'étais en classe de CP (Hiver 1973): notre institutrice attitrée étant grippée, l'Académie envoya une jeune remplaçante: grande, blonde, cheveux courts, en tailleur pantalon, voix sèche. Pendant une leçon , elle gronda plusieurs fois un camarade qui bavardait. Puis, elle l'amena vers son bureau et tira sa chaise sur l'estrade. Et elle plaça mon copain sur ses genoux et le fessa sur son pantalon (ou son slip, je sais plus au juste). Cet "incident" nous marqua ce jour-là , et ce d'autant que notre institutrice habituelle arrivait à discipliner sa classe sans punition.
    A la sortie, j'en avais parlé à ma Mère qui, très physionomiste de nature, la jugea sans fausse note: "qu'est-ce que c'est cette maitresse ? C'est un dragon !!!". Puis quelques jours plus tard, nous retrouvions Madame L. notre bonne maitresse.
    Avec le temps, ce qui m'étonne c'est qu'une instit' de la nouvelle génération" (post-1968) ait appliqué une vieille méthode disciplinaire alors que l'on aurait pensé à un moyen plus soft, plus dans l'esprit "non violent". Mais bon...
    Dans un autre registre, je vous félicite encore une fois, Isabelle, pour la qualité et la tournure de vos écrits !!! D'autant plus que la langue de Molière n'est pas toujours facile à apprendre surtout quant elle n'est pas maternelle. Là, je dis : Chapeau ! Doublement ! Et je pèse mes mots !!!
    Bon WE. Mac-Miche

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    1. Étant née en automne 73,cher Monsieur Mac-Miche, difficile pour moi de savoir quoique ce soit sur les instituteurs nouvelle génération et leurs méthodes éducatives. Mais à chaque fois que je tombe sur cette année, je pense aussi à la différence d'âge avec mon homme qui en hiver 73 faisait ses premiers pas en vu de conquérir sur une belle princesse. Passons sur ce petit instant de nostalgie.

      En lisant la description de votre institutrice j'ai eu un petit sourire. J'ai été blonde à cheveux courts pendant un long moment. Par surplus, je portais des tailleurs (avec jupe droite), sans parler d'un bel accent allemand à mes débuts en France. J'ai été impressionné par le nombre de personnes, profitant « d'un goût bien connu des allemands pour la discipline » d'aborder avec moi des discussions sur… la fessée. Et ce n'était pas forcement celle qui s'applique aux enfants qui semblait préoccuper mes interlocuteurs. A croire que certaines « blondes aux cheveux courts » sont propice à la fantaisie punitive, autant plus quand un réel vécu scolaire comme le votre s'enmèle.

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    2. Bonjour Isabelle,

      On parle souvent de "clichés" quant à la réputation de telles ou telles personnes et dans votre cas, si je puis me permettre, votre apparence et votre élégance stricte a peut être décidé des fétichistes de la fessée d'engager avec vous la conversation sur ce thème favori dans la sphère adulte.
      Ca a fait "tilt" pour eux et votre accent a fini par les décider.
      Souvent, pour nous autres Français, nos voisins d'Outre-Rhin représentent le type même du pragmatisme, de l'ordre , du travail bien fait... et de la joie de vivre, qui passe , j'imagine, là-bas, aussi, par les plaisirs de la table ! Me trompes-je ?
      Quant à moi, ma scolarité en Primaire s'est effectuée avec des institutrices uniquement qui étaient des dames d'âge mûr ; la plus âgée était une vieille demoiselle (mais qui était très gentille, malgré cette rumeur de caractère acâriatre qu'on leur prête souvent. ).
      Quelle époque pour moi... Quant on est petit , on veux grandir vite et , une fois adulte, on regrette parfois cette époque où l'on nous demandait seulement de faire ses devoirs et d'obéir aux parents. Rires.
      (J'arrête mon vieux couplet ringard qui s'éloigne de notre sujet favori. Excusez moi encore. )
      Bon Dimanche. Mac-Miche.

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    3. La joie de vivre, cher Monsieur Mac-Miche, a une longue tradition dans la région de mon enfance le Rheinland (pays du Rhin). Au point d’appeler les habitants de cette région les natures heureuses. Quand à la nourriture, elle s'accompagne parfois de véritables fêtes : Pour la saison des asperges, des moules, de la carpe, du brochet, du cerf, du sanglier. Spécialités souvent peu connus à l'étranger. Enfin , on distingue clairement entre travail et loisir (Schnaps ist schnaps und dienst ist dienst ; l'alcool c'est l'alcool et et l'obligation c'est l'obligation) on se donnant cœur et joie à l'un ou l'autre.

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    4. Bonjour Isabelle,

      Merci pour ce clin d'œil champêtre. Content de vous permettre d'évoquer de bons souvenirs... sans pour autant être nostalgique !
      La vallée du Rhin , une superbe région , j'imagine ! Vivre au grand air : rien de mieux. Même si comme dans la vallée du Rhône, la pollution vient parfois gâcher le paysage.
      Bonne journée. Mac-Miche.

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  2. Pour ma part je n'ai pas du tout le fantasme de l'écolière même grande mais la notion naturelle de discipline corporelle pour adulte. L'adulte qui par définition peut dire non et qui de lui-même choisi de se placer sous ce mode de relation pour un apprentissage quelconque, parce que cela lui convient, va en tirer un grand bénéfice. Ce ne sera pas gratuit car il faut d'abord s'avouer à soi-même qu'on a besoin d'en passer par là, l’assumer pour soi puis devant le coach ou le professeur. Et ceci n'enlève rien à la honte au moment de se déculotter et d’être corrigé pour un vrai motif. Mais c'est efficace et il y a ensuite la fierté d'avoir fait ce parcours que l'on s'est imposé à soi-même. Et il n'y a nul obligation à rendre cela public !

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    1. A chaque fois que je vous lis, cher Monsieur Doumik, je trouve que dans votre manière d'envisager la fessée, le consentement prend tout son sens.
      Il en va de soi, pour ma part que je ne suis pas fière de certains de me mauvais comportements et fautes et le fait que ma punition se passe dans un huit clos m'arrange bien. Toutefois il me semble que le fantasme de la vraie punition, qu'elle soit appliquée par le conjoint ou par un coach, aspire chez beaucoup de personnes au moins le besoin qu'une autre personne proche soit au courant et bien souvent le fantasme de le fessée publique n'est pas loin...

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  3. Bonjour Mr Doumik,

    Quoiqu'il en soit, je salue la forme de courage de ces dames et demoiselles qui osent franchir le pas de l'amour-propre et accepter de se mettre quelques minutes ou quelques heures sous la direction d'une personne d'autorité, fussent-elles un familier ou une personne étrangère. Une sorte d'épreuve.
    Si cela se passe dans un cadre de jeu, cela peut être plus facile à accepter puisque temporaire, et tout dépend aussi si la personne qui commande reste glaciale ou fendue d'un fou-rire . Parfois ça détend l'atmosphère et ça aide la pauvre "victime" à subir sa punition.
    Bon WE. Mac-Miche.

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    1. chere Isabelle bonjour .... oui la féssée a l'ecole existait mais de façon tres soft
      ( surtout dans les petites classes de cp; ) cette punition etait tres rare et 'j'ai pu le constater qu'une seule fois l la maitresse pour cause de dissipation fit monter la punie sur l'estrade et la pencha sur le bureau et lui administra une petite claque sur chaques cuisse sans baisser la culotte et suivi...d'une mise au coin! ; cela se passait dans les années 52 ,53 ... Jacqueline

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  4. Merci chère Jacqueline pour ce témoignage qui me paraît de plus crédible. Peut-être chez bien de personnes c'est la fantaisie et la poussée des hormones à l'adolescence qui a donné une tournure plus ritualisé et rocambolesque à leurs souvenirs. Enfin, le coin existe encore de nos jours dans le privée...

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    1. Bonjour Isabelle,

      Personnellement, le passage au coin n'était pas utilisé par les enseignants dans les classes où je suis passé. Une seule fois, peut-être, au Collège mais pas vraiment "être au coin".
      C'était en classe de 6è. en 1979, en cours d'histoire. Un de mes camarades avait fait le pitre pendant une leçon et la prof , au bout de plusieurs mises en garde, l'a pris par le bras et la mis "au cagibi" : en fait de cagibi, c'était une sorte d'antichambre vitrée où s'entassaient les choses inutiles pour les cours. Ca permettait de surveiller l' "insolent" (rires) (surtout s'il était claustrophobe) et un quart d'heure suffisait. A l'époque, nous étions de "bons" garnements.
      C'est pourquoi je n'ai pas évoqué "ce moment de méditation forcée".
      En classe, j'étais assez calme et assez bon élève malgré mes absences répétées que je rattrapais du mieux possible. Je ne voulais surtout pas ajouter l'indiscipline à une mauvaise santé (une dette morale envers mes parents). On peut être bon garçon et parfois un peu... frondeur ! Rien n'est parfait.
      Bon appétit. Mac-Miche.

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  5. A vrai dire, je n'ai pas d'idée précise sur le « bienfait » de la pratique du coin en classe. A condition que cela se passe avec l'accord préalable des parents sur cette méthode et surtout que l'enfant ne reste pas sans surveillance. Par contre enfermer un enfant me paraît extrêmement dangereux et je pèse mes mots.
    Penchons nous plutôt vers la pratique du coin entre adultes ou sur la transformation d'un vécu au coin en fantasme à l'âge adulte...

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    1. En te relisant, je me rappelle d'une anecdote racontée par ma meilleure amie (blonde, allemande, les yeux bleus, toute mince et très très effrontée) (je l'adore hein, entendons nous bien): quand elle était à l'équivalent du collège, elle était dans une école catholique, et ça devait se passer dans les années 1990. Elle était la seule fille d'une classe de garçon (et ça aurait pu lui plaire si elle n'avait pas préféré les filles aux garçons). Evidemment, avec son caractère et son côté très "à fleur de peau", elle démarrait au quart de tour et s'énervait très vite. La punition de ses professeurs était alors de l'envoyer devant la porte. Elle n'était pas exclue du cours, et ce n'était pas exactement le coin, mais c'était efficace. Bien sûr, elle n'était plus une enfant, mais une adolescente. Je pense que pour ses profs c'était une façon de la mettre à l'écart tout en lui permettant de suivre le cours.
      J'ai donc assez rapidement intégré cette histoire vraie dans les histoires que je raconte à Simon quand nous sommes sous la couette. D'ailleurs, je pense que ce n'est pas pour rien qu'elle me l'a racontée... Je la soupçonne fortement d'avoir le même penchant que moi: elle a quand même été une des premières à découvrir mes instruments à fessée!

      Constance

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    2. Ah oui, moi aussi j'ai connu cette coutume de mettre un ado devant la porte. Enfin pas moi qui étais vraiment très sage en cours, mais d'autres turbulents de tout genre oui.

      Ton amie me semble assez proche de mes amies d'école et de la fac. Ce tempérament, appelé frech (très, très effrontée) est assez typique pour beaucoup de femmes allemandes. Et peut-être le fantasme de la fessée compense chez certaines dames trop « frechs » une attitude active poussée à l'outrance.

      Notons qu'école catholique n'a pas la même signification en Allemagne que en France. On en trouve couramment des écoles catholiques et protestants dans le public.

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    3. Oh oui, en Pologne aussi. Je ne me suis pas étendue sur le sujet, mais pour elle, le choix de l'école catholique, c'était une façon de ne pas devoir choisir entre le lycée où enseignait son père et celui où enseignait sa mère - ses parents étaient divorcés depuis quelques années. Il ne s'agissait pas de conviction religieuse.
      Je pense qu'elle a ce fantasme de fessée, ou du moins, d'un besoin d'une personne d'autorité rassurante pour lui dire "là, tu as passé les bornes, ça suffit comme ça". Et de fait, sa petite amie est d'une grande patience avec elle, tout en étant "ferme quand il le faut" d'après ce qu'elle m'en a dit. Je ne sais pas encore ce qu'elle entend par "ferme", mais je pense que j'en saurais plus dans pas longtemps...

      Constance

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    4. Je trouve qu'elle te tends là une perche, Constance. Il m'arrive aussi d'utiliser cette formulation quand j'ai envie de dire plus sans savoir si la personne en face de moi est « capable » d'entendre de telles confidences. Mais vu que je fais allusion, j'estime personnellement cette personne capable. Donc à elle de faire un pas de plus. Mais te connaissant un peu, je pense que tu saurais très bien évaluer le moment propice.

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  6. Je n'ai jamais vu de châtiments corporels à l'école (mon école primaire = fin des années 70). Ma maman, en revanche, une "baby boomeuse", avait subi des coups de règle sur les doigts. Clairement les pratiques éducatives avaient changé; sans doute l'effet de 1968.

    À l'école primaire, si nous dépassions les bornes pendant la récréation nous étions envoyés faire des "lignes" avec un des instituteurs/trices restés dans leur salle (je crois que 2 instituteurs/trices surveillaient la cour d'école pendant que les autres vaquaient à d'autres occupations). Une rumeur voulait que, parfois, une institutrice donnait la fessée au contrevenant dans un local où l'école stockait divers matériels. J'ai même entendu parler d'une fessée déculottée pour un garçon qui récidivait dans le passe-temps de lever les jupes des filles. Enfin, lors d'une "classe de neige" j'ai entendu du brouhaha: on disait qu'une des institutrices avait flanqué une fessée à un garçon qui avait commis je ne sais quelle imprudence méchante.

    Bien entendu, le plus probable est que tout ceci relevait de rumeurs sans fondement, ou alors d'exagérations: par exemple, une claque sur les fesses d'un garçon intenable transformée en "une fessée". En effet, je ne pense pas que la réglementation de l'Éducation nationale aurait permis ce genre de choses et que les parents n'auraient pas réagi. On ne peut évidemment pas exclure qu'une institutrice ait eu un accord particulier de certains parents... Tout ceci est bien loin et il me semble avoir lu que mon maître d'école de CM2 est maintenant mort.

    Chez ma belle-famille, il y avait la possibilité d'être "paddlé" au collège ou au lycée. C'était, si j'ai bien compris, très ritualisé mais donné en privé: il fallait se rendre chez le principal (ou, si j'ai bien compris, une adjointe dans le cas des jeunes filles) et on recevait la punition dans son bureau.

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  7. Merci pour cet apport monsieur Pecan. Je vois une grande proximité entre les « mythes de la fessée à l'école » en Allemagne et en France. Déjà ma belle mère me racontait d'avoir entendu d'une fessée cul nu à l'école sans jamais avoir vu une telle scène elle-même. Idem mes parents. Et même de ce sujet en ressort qu'aucun des intervenant n'a jamais vu une telle fessée ritualisée lors de sa scolarité. La pudeur reste respectée. J'ai d'ailleurs lu une publication sur le « sadisme pédagogique » en France, datant de 1948 et bien que l'on parle de coups de règles sur les doigts, l'enfermement, agenouillements et diverses tortures moraux, la fessée avec ses petites modalités qui font frémir les adultes, ne semble pas exister en France à cette époque. C'est l’Angleterre que l'on cite comme exemple pour ce genre de punition. Quant aux États Unis j'avais déjà entendu que les châtiments se pratiquaient dans certains états sans trop savoir comment cela se passait. Toutefois il me semble que les fantasmes scolaires plaisent également en France et en Allemagne. Ce n'est donc peut-être pas le vécu, mais l'imagination qui charge de telles rêveries d'une connotation érotique....

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