vendredi 15 août 2014

559 Liens de discipline domestique (127 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand la culotte descend !


La première fois c'est bien émoustillant de se trouver dans cette position d'attente. Çà y est ! Je suis arrivée au bout de me rêves ! Je n'avais même pas à la réclamer. Elle que j'avais désirée depuis tant de temps. Il a pris initiative. Il m'a menacée d'une bonne fessée si je continuais à l'agacer. Évidement je n'ai pas pu résister pour tester ses limites et paf, tombe le verdict. Waoh, il se comporte enfin un « vrai homme », sorti tout droit de mes romantiques rêveries d'adolescente.

Prépare toi pour ta correction, isabelle !

Le courant passe directement … dans ma culotte. Cela fait drôle d'entendre enfin ces mots qui jusqu'alors n'existaient que dans ma fantaisie. Le calme de sa voix m'impressionne. Son attitude aussi. Rien d'un « vieux lubrique » qui cherche un prétexte pour tripoter, puis pour se faire une jeunette. Non, non, il me fait comprendre que c'est bel et bien une vraie correction qui m'attend et qu'il n'y aura pas d’extra comme ma vilaine main qui accompagnait toujours ce genre de fantaisies. Ce sera la fessée pure et simple, authentique et douloureuse pour...

...te faire réfléchir deux fois avant de recommencer, isabelle !

Subitement, le fait de baisser ma culotte, de devoir la baisser sur commande, de lui donner un emplacement que l'on me désigne, prend une autre signification. Je comprends ce que veut dire être remise à sa place. Il y a un rapport d'autorité qui s'installe tout naturellement. J'ai perdu mes privilèges de séductrice chevronnée et est mis en évidence mes comportements de capricieuse ado qui croit le monde masculin à l'image de son Papa qui a toujours se laisser faire.

Tu vas voir de quelle direction soufflera désormais le vent, isabelle !

Quand je suis sortie du bureau de mon homme plus rien n'était pareil. Je me suis même demandée comment j'ai pu autant affectionner de tels fantasmes.... stupides. Puis un peu plus tard, j'ai commencé à sentir le bienfait d'une vraie punition. Mon homme avait raison :

T'en as besoin, isabelle qu'on s’occupe de toi !

Discussion sérieuse (petit clip)

Non, baisser la culotte n'est pas toujours un élément à connotation coquin. Il peut aussi s'agir d'une sorte de punition supplémentaire qui met à nu la pudeur. J'aime bien l'ambiance de ce clip qui expose une manière assez astucieuse pour satisfaire le besoin de punition de certaines grandes filles comme moi. Un cadre intimiste entre celui qui punit et celle qui reçoit sa punition. Un déroulement sans hâte pour bien faire passer la leçon. Qu'elle soit fructueuse et pour éviter de retomber dans le mêmes erreurs à l'avenir. Un contact corporel qui passe à l'inconscient clairement le message qui commande et qui s'applique. Notons à ce propos que toute notre morale à sa base est issue d'une désexualisation de nos tendances charnelles dont certaines se transforment en stricts interdits. Alors le contexte est plus que propice que la morale se résexualise. Et malgré une sacrée douleur dans mon derrière après mes corrections, il arrive bien souvent que mon inconscient s'exprime de manière bien édifiante par la moiteur de mon entrejambe. Situation hautement dérangeante, car la surface de ma perception ne ressent que l'effet cuisant et se trouve à mille lieux d'émotions titillantes. De plus, je risque de me faire traiter par mon homme de...

...petite vicieuse qu'il faut envoyer au coin pour qu'elle se calme !

De quoi à me faire trépigner avant de m'appliquer sagement.


Amateurs de fessée ou pas, vanille pure ou fantasme de plus farfelu, voilà qui met beaucoup de monde sur la même longueur d'onde. Ces messieurs retiennent leur souffle quand enfin descend la culotte de la dame, instant tant rêvé quand il étaient encore ados et s’entraînaient avec leur vilaine main aux joies de la future vie d'adulte. Et pour bien de filles, cette joie enfin de se trouver devant quelqu'un qui - bien au contraire de mon Papa - m'encourage même que je baisse ma culotte pour présenter mon intimité dans une nudité paradisiaque.


… que je monte, dans un endroit à haut risque d'être surprise, ma jupe ou ma robe pour satisfaire sa compulsion de vérifier avec sérieux, enchantement, passion etc si j'ai mis une culotte ou pas. Petite gronderie quand je suis toute nue sous ma jupe que j'accompagne donc par un ingénu :

Fallait pas ?

Ou dans le cas de l'autre constellation :

Tu veux que je l'enlève ?

Bref, pas besoin de plus pour rester le centre unique de l'attention de mon chouchou !


...une telle tenue, sur moi, surtout sans culotte, titillerait la libido de mon homme sans qu'il sache vraiment pourquoi. Peut-être serait-il même un peu gêné par sa banalité fantasmatique qui frôle non pas vraiment le vulgaire, mais au moins le très indécent. Évidement il est hors de question pour nous deux que je me promène ainsi vêtue dans un lieu public ou même dans un club. Nous sommes à ce niveau plutôt : Rien que pour ses yeux. Et évidement j'ai eu un jour comme cadeau une magnifique paire cuissardes outrancières que je sais utiliser à la maison à petite dose pour garder les émotions procurées sur mon homme à leur comble.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















12 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Parmi les différentes illustrations du WE, je retiendrais entre autre le clip (Quelle force et quel beau son) de NuWest Leda . Absence de décor, juste concentrée sur la fessée de cette pauvre miss Brooks qui est devenu une fesseuse redoutable par la suite : une terrible Leda Lady !
    Merci pour cette pépite nostalgique.
    Bon WE. Mac-Miche

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    1. Je ne vous savez pas aussi érudit en matière de fessée vintage, cher Monsieur Mac-Miche.Pour ma part je ne saurais même pas distinguer les modèles des unes des autre. A part Pandora Blake qui me semble une femme bien brillante...

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    2. Bonjour Isabelle,


      En vérité, mon intérêt pour la fessée "vintage" remonte à la fin de mes études, au tout début des années 1990. Il y avait à l'époque en kiosque un magazine intitulé "Vidéo 7 " (qui n'existe plus ) qui publiait aussi un mensuel sur les "vidéos pour adultes" (dont ceux produits par NuWest Leda et de diverses Dominas dont Maitresse Sondra ou Christine Justice ou Stéphanie Locke - The Femdom Club). En même temps, une Sté d'édition vidéo appelée "Talisman Vidéos" (aujourd'hui disparue) avait son propre magazine et proposait des vidéos fétichistes entre autres sur le thème de la bonne fessée F/H, H/F, F/F. Et mon fantasme alors en sommeil depuis quelques années s'est réveillé...
      C'est que dans ce domaine , nos voisins d'Outre Atlantique excellent parfois dans la mise en scène. Pour notre plus grand plaisir, au fond... Voilà , vous savez tout?
      Bon Dimanche. Mac-Miche.

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    3. J'ai l'impression, cher Monsieur Mac-Miche que l'inspiration par les journaux est un truc plutôt réservé aux garçons. Mon homme aussi avait quelques « ouvrages » quand je l'ai rencontré. Dans un tel cas, j'aime bien feuilleter, surtout pour dénicher se ce qui se trouve caché au fond d'un grand garçon. Et ce qui me plaît particulièrement, c'est l'échange sur ce riche monde intérieur. J'ai un post (avec petit clip à l'appui) sur les fantasmes de plus ou moins grands garçons prévu pour demain !

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    4. Bonjour Isabelle,


      Votre impression est assez juste. Pour nous, les (grands) garçons, le contexte visuel marche de paire avec nos fantasmes. Pour enrichir le "scénario intérieur", notre "salle de projection privée en mode nocturne, nous avons besoin d'images et cela nous permet de lancer la machine (Rires).Que ce soit à la dérobée, comme espionner par la serrure ("tu n'as pas honte, petit vicieux" comme disait ma mère) ou regarder des "films défendus" (avant l'âge), on ne rate pas une occasion, quitte à enfreindre les sempiternels interdits parentaux. En revanche, pour les filles, je ne peux absolument pas me prononcer et pour cause . Evidemment. Mais, est ce dans le même ordre d'idée ??
      Un petit clip sur la question et un Post relié , dites-vous ? Décidément, vous nous gâtez, Isabelle. (Rires). Merci Mac-Miche

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    5. Alors là, mon homme aussi aimait (aime encore je suppose?) faire « le petit vicieux » derrière la porte. Il s'est fait d'ailleurs choper à l'âge de neuf ans en espionnant les filles au vestiaire. Pour les films non, il n'y avait pas encore de la vidéo pendant son adolescence. Et même adulte il est resté fidèle au magazines. Pour ma part (à défaut de pouvoir répondre au nom des filles), je suis assez « littéraire ». J'ai commencé très tôt à donner une forme de récit à mes fantasmes. Je me racontais de belles histoires pour m'endormir ou me distraire pendent les cours...

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  2. Bonjour Isabelle,

    Décidément, ce bout d'étoffe immaculé ou multicolore n'a pas fini d'affoler les hommes quelque soit l'âge... Dernier rempart de la pudeur bientôt tombé sous les assauts de la réprimande ! Et les femmes, incorrigibles et malicieuses coquines, savent parfois mener les hommes ("pauvres diables que nous sommes " comme le chante si bien ce latin lover d'Iglésias, ( le père, of course !) ) par le bout de leur ... regard ! Belle prestation. Chapeau !
    Bon WE. Mac-Miche

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  3. Enfin, Cela ne marche pas avec tous les hommes. Il faut savoir faire son choix. Heureusement j'étais en bonne école avec mon Papa qui a su me transmettre pas mal de petits trucs utiles en la matière....

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  4. Bonjour Isabelle,

    Comme dans toute expérience de la vie, il faut parfois attendre pour tomber sur la bonne personne qui correspond à ses affinités personnelles.
    La perle rare, en un mot. Et cela, comme vous le savez, peut demander des années d'attente ou de recherche. Et là aussi, rien ne vaut l'expérience et la sagesse des parents et des Anciens, du style : "Tu sais, moi, quant j'avais ton âge...etc, etc..." Et comme le dit si bien le grand Charles (Aznavour) : "les époques changent, l'amour reste !". Toute une philosophie.
    Mac-Miche.

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  5. Trouver la bonne personne me semble avant tout une question... d’absence de timidité et cela, je le crois de plus en plus, que c'est inné. Ma fille par exemple ne cherche pas seulement le contact avec autrui, elle a même tendance à s'imposer. Par conséquence, elle a le libre choix parmi les garçons et nous ne comptons plus ses petits amoureux. Ceci dit son Papa n’arrête pas de lui donner de bon conseils...

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    1. Bonjour Isabelle,

      Votre remarque est très intéressante. C'est le problème de toute rencontre: la timidité. Elle peut être profondément ancrée dans chacun/e de nous et entraver nos relations avec les gens. Elle peut s'identifier comme de la froideur ou de la peur (agoraphobie dans certains cas extrêmes). Ou même de l'angoisse vis-à-vis des personnes extérieures à votre cercle familial. L'angoisse de l'échec, Cet échec de n'être pas accepté/e par les autres tel que l'on se présente à eux. Cela peut être une simple façade qui tombe dès que la conversation s'engage. Certaines personnes sont spontanées et d'autres observent la situation d'abord, car certainement déçues par une mauvaise expérience. Perso, je ferais partie de la seconde catégorie.
      Ma nièce était comme votre fille quant elle était petite : meneuse de jeu et ma sœur s'en inquiétait car elle "copinait" avec un peu tout le monde avec tous les dangers que ça comportait (et comporte toujours, malheureusement...)L'important est de les mettre en garde très tôt des dangers mais sans laisser s'installer une certaine psychose. Et c'est avec tout le tact de son Papa, j'imagine...
      Bonne journée. Mac-Miche

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  6. Pour parer les enfants aux dangers de la vie sociale, je suis une grande adepte de la lecture des contes de fée. Le petit chaperon rouge par exemple a rendu un très bon service à ma fille pour cerner la ruse de certaines personnes. Enfin, il faut tomber sur les contes non-censurés par les biens pensants des années 70... autrement redoutables que ceux de nos jours !

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