vendredi 4 juillet 2014

541 Liens de discipline domestique (121 ème édition)

Devoir remettre son uniforme scolaire pour une...


Dommage que je ne sois pas tombée sur cette image quand j'ai été adolescente. Ma folle course aux princes charmants avec les indispensables travaux pratiques le week-end a su souvent, surtout en pleine période scolaire, me causer un sacré conflit interne entre mes envies de satisfaire mes pulsions et mes ambitions sociales. Alors oui, il m'arrivait souvent d'imaginer d'être attendue à la maison par une personne sévère, en charge de mon éducation. Devoir quitter mes « vêtements de princesse », soigneusement choisis pour créer un effet impérissable sur le monde des princes charmants, pour regagner un sobre uniforme scolaire. Élaboration personnelle du conte de fée de Cendrillon avec une belle-mère ou un beau-père soucieux de mes bonnes manières et de ma bonne réputation. Surveillance ne se résumant pas seulement au remontrances, mais en recourant aux châtiments corporels, le martinet à l'appui. L'idée qui me convenait parfaitement, car loin d'un esprit révolté de certains ados, mal dans leur peau, j'aspirai moi-même la première à une intégration sociale sans histoire.

J'ai dû attendre mes 25 ans pour donner une réalité au quotidien à mes rêveries. Quand mon homme a insisté pour que je me mette en uniforme scolaire en cas de mauvais comportement. Pourtant j'adore les déguisements. Mais quand je me suis vue me faire confisquer mes bas et porte-jarretelles pour insolences à répétition et devoir me vêtir de longues chaussettes blanches avec une jupe s’arrêtant au milieu de mes cuisses, j'ai réalisé l'effet punitif. Sans parler de ces affreuses culottes blanches d'un autre âge. Sans parler du fait de devoir me présenter ainsi vêtue pour une correction de taille sur les genoux de mon homme. Car parfois il n'a même pas jugé utile de sortir le martinet pour me traiter à la hauteur de mes méfaits et j'ai reçu une de ces fessées à la main qui incitent à réfléchir. Et dont on se souvient. Rien à voir avec un acte érotique. Une punition à l'état pur qui m'a laissée en larmes avec mes fesses en feu. Non pas de larmes de douleur, mais d'une sorte de relâchement nerveux bénéfique. Me voilà parfaitement rassurée de me trouver avec un compagnon, capable d'intervenir efficacement sur mon besoin de punition. Dans une juste mesure qui ne se perds pas dans une escalade.

Mon homme n'est pas un adepte de punitions écrites. De répéter 100 fois une même phrase pour mieux assimiler une consigne. Par contre, il aime beaucoup m'imposer un travail utile quand je sors de mon coin. Et là aussi, je suis comblée par son pragmatisme qui rejoint le mien.


Souvent cette dénomination reste un grand fourre tout et il arrive que le soi-disant récréatif dépasse ce que je considère personnellement comme punitif. Bon, ici pas de doute possible. Tout est fait pour que la dame (schöne seele = belle âme) se lève avec une sensation de plus plaisante dans son entrejambe. Chaleur qui se conjugue si bien avec celle des fesses. Notons un monsieur attentif et soigneux qui sait jouer à la poupée. Que ce soit pour la déshabiller ou pour la rhabiller. Et quelle délicatesse dans les gestes. Nous sommes loin d'un loup affamé qui se jette sur la dame. Comme c'est beau l'amour. Ce qui n'exclue pas qu'ils maîtrisent aussi....

...un registre plus dynamique (petit clip de fessée amateur)

De la discipline libidineuse ...


Un peu … beaucoup lubrique cette jeune dame qui se trouve sur les genoux d'une mère supérieure qui reste parfaitement anonyme. Voila que je qualifierais comme une authentique rêverie (une parmi je ne sais pas combien... des centaines certes) qui m'a fait suer sous ma couette ou pendant mes cours à l'école. A vrai dire je ne me souviens plus des circonstances exactes. J'ai dû être encore très jeune, à un moment où l'on exporte ses fantasmes hors maison en choisissant des personnes de son voisinage ou anonymes justement pour s'occuper de notre besoin d'une bonne fessée.

Et encore de la fessée coquine (petit clip amateur)

Loin de ces clips qui nouent l'estomac, voilà encore un jeune couple qui s'amuse. Claquage des fesses qui convient à beaucoup de monde et dont on peut parler sans le moindre mal à ses copines et même sa maman. Certes, il est et restera encore bien plus difficile d'aborder un besoin de punition. Mais les mœurs sont en train de changer.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















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