mardi 30 avril 2013

327 L'utilité de la discipline domestique


Du moins pour moi !

Petit post bien tendancieux selon la devise que chacun voie midi à sa porte et qui raconte un exemple bien concret. J’ai une toute petite santé. Je ne dis pas cela pour faire la mignonne, veut dire cette forme du masochisme social qui se procure du plaisir en exposant ses faiblesses. Pour une fois je passe sur les méandres de mon âme et je me base sur des purs faits. Car dans mon cas il vaudrait mieux adopter une hygiène de vie irréprochable. Seulement en quittant mes parents et en débutant un vie de jeune femme active et autonome, je m'étais vite égarée du bon chemin sans m'apercevoir. Je ne parle pas d'un excès de fêtes ou de substances illicites. Cela n'est pas dans mon naturel. Mais disons que trop bichonnée et en évitant soigneusement les mauvaises fréquentations, je n'avais pas éprouvé le besoin d'expérimenter les limites de mon corps. Je savais que je ne supporterait pas l'alcool à part dans des quantités infinitésimales, alors à ce niveau-là aussi, je ne m'étais pas exposée à un risque. Par contre en café et cigarettes je faisais un bonne consommation.

Mon anecdote date du tout début de la relation avec mon homme. Nous étions invités chez des amis un dimanche matin. Fidèle à mes habitudes de cette époque, je me passai du petit déjeuner en démarrant ma journée donc par du café et des cigarettes. Tout allait bien jusqu’au moment où on me proposa un petit verre de blanquette de Limoux. Me connaissant j’ai insisté pour deux petits doigts à peine. Et ne pas une goutte de plus. Quelques minutes plus tard, je fus prise par une irrésistible envie d’aller au coin pour petites filles. Rien d’anormal jusque là. Sauf qu’après trois petits pas dans la pièce, je me souviens seulement d’un vertige pas possible. A mon réveil j’étais allongée sur le sol. Il y avait pas mal de sang et mon homme, très inquiet, se tenait à côté de moi. Je n’avais qu'une seule envie, qu’il m’accompagne aux toilettes pour faire pipi. Détail important selon le docteur qui arriva plus tard. Bref comme résultat, mon nez avait fortement saigné, ne nécessitant toutefois pas une admission immédiate à l’urgence d’un hôpital. Par contre il y avait des radiographies à faire rapidement. Mon homme était plus soulagé que moi. Il avait eu vraiment peur pour moi.

Le lendemain matin je me suis réveillée ayant presque oublié cet incident. Par contre quand j’ai vu l’expression du visage de mon homme, je me rendit compte que quelque chose n’allait pas du tout. En me regardant dans la glace j’ai eu peur aussi. Des yeux au beurre noir et un nez qui avait triplé de volume. J’avais des authentiques allures d’une victime de violence conjugale. Je passe sur la pénible visite dans le cabinet de radiographie où mon homme se vit exposé à une hostilité non dissimulé.

Ce petit incident le préoccupa intensément. Pas au niveau de la réaction des gens. Ni dans le cabinet médical, ni par la suite au quotidien. Car les marques mirent du temps à disparaître. Il n’avait rien à se reprocher et gardait la tête calme. Et heureusement - dans un certain sens - j’étais tombée dans les pommes devant plusieurs témoins. Au cas de soupçons mal placés.

Mon homme commença à s’intéresser de très près à mes habitudes alimentaires en prenant des renseignement supplémentaires chez des divers docteurs. Verdict après quelques examens: surcharge de travail, manque de sommeil et une très mauvaise hygiène alimentaire. Doublé par une mauvaise foi hors pair de ma part et une absence de volonté pour y remédier. C’est ainsi qui est né un de nos plus importants piliers de notre discipline domestique. Notamment que j'ai failli avoir quelque temps plus tard un accident similaire en pleine rue. Heureusement mon chéri était là, pour m’attraper en pleine chute.

A partir de ce vécu, il devient plus compréhensible pourquoi Monsieur m’envoie parfois au lit. Je n’ai pas intérêt à le contredire. Il devient plus compréhensible aussi la réglementation de ma nutrition. Que cela me plaise ou pas, il veille que je finisse mon plat. Un « je n’aime pas » est hors de question concernant les fruits, légumes, céréales et laitages. Quand j'allais en déplacement, il lui arrivait de me préparer un en-cas. Il sait que je n’ai pas forcement envie de perdre mon temps dans un resto toute seule. Et gare à moi si j’oublie de manger mon goûter. Dans le temps, il m'arrivait de me soustraire à cette obligation. Malheureusement pour moi, mon comportement fut rapporté par le plus grand des hasards. Alors Monsieur a pris son temps pour réviser avec moi le programme. Il s’est montré persuasif dans les méthodes. Cette éducation très spéciale sur un bon bout de temps m’a fait reconsidérer mes positions. Il m’arrive encore à des très rares reprises de faire des écarts parce que je suis trop absorbée par une activité. Dans ce cas c’est la canne qui ressort du placard pour se promener sur mes globes. Et grosso-modo cela me fait beaucoup de bien. J’ai d'ailleurs déjà exprimé à maintes reprises toute gratitude que j'éprouve envers cet instrument. Puis merci, ma santé va bien mieux depuis que mon homme est entrée dans ma vie et s’occupe de moi. Sans parler du fait que tant d'attention de sa part me touche toujours autant qu'à nos débuts...

dimanche 28 avril 2013

326 La fessée au cinéma (#7)


Le feu au derrière ou...



Pour le dire tout de suite, je n'ai pas envie ici de faire de la critique sociale. Il en va de soi que je ne cautionne en aucun cas les méthodes éducatives d'un autre âge. Et si on les a abandonné, c'est peut-être pour leur manque d’efficacité. Par contre - et ceci est entre autres le sujet de mon blog- c'est d'essayer de mieux comprendre pourquoi un acte qui offense la raison, arrive à provoquer des puissantes émotions chez certaines personnes. Bon soyons clairs, rares sont les dames adultes qui rêvent de passer sur les genoux de leur papa. Je pourrais l'imaginer de manière ludique pour rire, lors d'une soirée de fête en famille, mais disons que dans ce cas le frisson reste absent. Aucune comparaison avec les fortes émotions qui me traversent dès que je remplace dans le scénario mon Papa par mon homme. Et même en remontant le temps, on trouve rarement le souvenir d'un fantasme élaboré de se retrouver sur les genoux paternels. Par contre il est possible de trouver le souvenir d'un malaise qui s'empare de certaines personnes dans leur enfance ou adolescence à la pure évocation d'une telle constellation. Entre en action le sens pratique, la fameuse économie libidinale, qui cherche à trouver un compromis envisageable et surtout dans la facilité. Première étape : Et si c'était le séduisant Papa de ma meilleure copine, le monsieur qui tient la boutique de vêtements, le prof de l'histoire qui intervient dans mes rêveries sur mon derrière. On a compris, il est plus agréable de construire ses histoires autour d'une personne qui n'appartient pas à la famille. Mais on peut encore plus se faciliter l’accès au plaisir. Et si ce n'était pas moi, mais par exemple ma meilleure copine, la peste du lycée ou un autre plus ou moins jeune femme qui va s'en prendre une bonne. Et voilà, nous y sommes pile poil dans l'extrait de ce film. Aucun risque que cette correction paternelle se prenne au sérieux. C'est pour rire et cela saute aux yeux.

Ah, la fille à Papa qui connaît trop bien son géniteur. Qui sait ses réactions, ses petites manières et surtout même s'il s'énerve un peu, cela ne sera pas bien méchant, car le charme de la fille opère. Je sais de quoi je parle. Il suffit que le fasse des yeux doux pour que mon Papa à moi fonde. Celui de notre film est visiblement dépassé par les caprice de la jeune dame. Trop c'est trop et il semble tellement habitué à ce cirque qu'il ne se sépare plus du « Razor strap », lanière en cuir qui sert à la base pour aiguiser le couteau pour se raser. Et analoguement à notre martinet bien français qui servait au début à dépoussiérer les vêtements, nous y trouvons encore un détournement d'objet. Ceci dit le strap est un instrument redoutable et pour ma part je réfléchis deux fois avant de ne faire d'autres bêtises quand mon homme me menace de sortir le notre. Notons la barbe du monsieur. Peut-être se sent-il si usé par le comportement de sa fille qu'il n'a plus d'énergie pour se raser. La langue allemande qui est la mienne connaît un petit diction qui s’adapte parfaitement à la situation :

Les disputes des uns font le bonheur des autres !

Car dans ce véritable concentré de fantasmes autour de la fessée, le spectateurs ne manquent pas. Le tout en mettant joliment en relief l’expression « le feu aux fesses ». Bien entendu cela reste dans le « bon enfant ». La constellation père/fille adulte me semble …un simple prétexte pour dévoiler une panoplie assez complète d’approches humaines de pratiques cuisantes. Tout est minutieusement arrangé pour que le spectateur puisse s’amuser de bon cœur et aussi pour se retrouver éventuellement dans un des nombreux personnages. Puis commence un rituel qui semble être bien rodé. La punition qui ensuit se veut plus symbolique qu’éducative. Mais au lieu de rester dans un scénario qui vit d’un simple « tape fesse moderne », il y a des surprises qui s’enchaînent. Petite discussion entre fille et père sur la fessée, ses origines et son bien-fondé. Un spectateur involontaire qui passe devant la fenêtre, s’arrête pour regarder et part avec le sourire. Et enfin, comme clou du spectacle, ce ne sont pas seulement les fesses de la dame qui chauffent mais celles du père. Bref, une des corrections les plus originales de l’histoire du cinéma que je connaisse qui tient compte bien que sous forme symbolique des différentes « émotions » et approches des messieurs envers cette pratique. Exemple malheureusement très rare...

vendredi 26 avril 2013

325 Liens de discipline domestique (59 ème édition)


Fessez-vous encore votre épouse ?

« Peut-être n’auriez-vous dû jamais arrêter. Ce livre joyeux, provocant et d’un brin éducatif vous explique pourquoi corriger votre épouse ! Écrit par un éminent pratiquant de cet art.


Je ne doute pas une seconde de l’authenticité. J'ai déjà vu de l'hallucinante pub d'antan pour des lunettes qui traversent les jupes et culottes des dames, des manuels comment devenir un hypnotiseur /draguer /tombeur /amant hors pair etc. Des petits conseils payants ou produits miracles qui adressant aux hommes seuls et... crédules. Et cela existe encore. Par contre pour les dames, malgré l'égalité des sexes de nos jours, je pense que pour vendre du rêve, il vaut mieux leur proposer des produits de beauté. Enfin là j'extrapole surtout ma propre approche.


Restons pub et regardons cette superbe campagne pour du ketch-up bien rouge. C'est un produit qui conviendrait parfaitement à mon homme, grand amateur des jolis rouges et des hamburgers maison ou non maison.


La petite histoire croustillante du week-end. Cela se passe lors d'une course de voitures qui semble visiblement agacer une dame dont l'appartement donne sur la rue utilisée comme piste. Elle ne trouve rien de mieux pour aller sur son balcon, remonter sa jupe, baisser sa culotte et puis s'appliquer quelques claques sur ses fesses. Effectivement ce spectacle devant plus de 200 personnes, hommes, femmes et enfants confondus, semble voler la vedette au voitures et fut apprécié avec enthousiasme par les public. Alors la dame revient pour deux rappels. Au procès elle nie d'avoir baissé la culotte, mais s'en tire tout de même avec une amande de 400 dollars australiens. Ce fait divers qui s'est passe dans le Queensland, une partie de l'Australie qui semble selon les commentaire une région particulièrement arrière pour activer un tribunal à cause d'une telle affaire. Sans être une spécialiste du sport, je me demande comment cela se passera chez nous, si lors du Tour de France par exemple un tel divertissement se produisait. Nous sommes loin de la philosophie Woodstock ou de la psychothérapie des années 70 qui faisait un lien étroit entre nudité et honnête. Je connais d'ailleurs des personnes allemandes, ayant maintenant un certain âge, adeptes des telles idées et qui aiment particulièrement des séances de sauna pour... les grandes discussions existentialistes. Moi aussi ceci dit, héritage familial et j'adore aussi parler de mes fantasmes dans un sauna... privé, cela va de soi.


Un petit moment de pur bonheur et visiblement cette mariée est tout feu tout flamme pour initier le monsieur.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















jeudi 25 avril 2013

324 Souvenirs d'adolescence 2


Un mari qui impose la fessée !


N'étant moi-même à cette époque pas encore à l'aise dans mon fantasme de discipline conjugale, je me retrouve dans les tribulations du monsieur. Moi aussi je tente d'oublier ou du moins de mettre de côté ces rêveries qui se montrent si insistantes. Et en partageant le même « mal », je trouve quelque chose de touchant et de pathétique à la fois à ce mari. Ceci dit ce combat s'avère vain. Plus que j'essaye de passer sur cette partie de mon désir, plus que je me sens harcelée par un besoin de punition de plus en plus féroce. Je constate également qu'augmenter ma cadence de vanille, n'efface en rien mes besoins cuisants. A croire que les pulsions partielles dont parle Freud agissent comme les différents mouvements en cinétique, veut dire en parfaite indépendance l'une à l'autre. Et donc inversement, satisfaire une urgence fessière, ne calme pas non plus une envie de vanille. Sur le coup oui, peut-être, mais pas pendant longtemps. En ce sens l'article du journal arrive bien à donner une illusion d'authentique car il reproduit des effets subtils du fantasme. Mais le côté héroïque et pathétique va encore s'accentuer quand la dame décrit ses sentiments ambiguës à chaque fois qu'elle voit le monsieur sortir le soir la canne. Sans dire un mot, visiblement mécontent de lui-même et perdu dans ses pensées il se met à frotter l'instrument avec un oignon, en vue d'augmenter la flexibilité et surtout pour annoncer son emploi pour le lendemain. Passons sur la légende urbaine bien connue qui dit que frotter la canne avec un oignon risque de la briser au premier coup. Ce qui n'est pas vrai du tout ! Tiens, j'ai essayé pour vérifier.

J'imagine l'ambiance pesante dans le couple ces soirs-là. Sans prévenir le monsieur arrive avec la canne au salon et commence à la préparer. Inutile d'expliquer quoique ce soit. La dame sait que le lendemain ce sera sa fête. Et il lui reste une longue nuit pour se préparer mentalement à ce qui l'attend. Connaissant bien cet instrument trop allemand, il faut admettre que l'effet est mémorable. Mais contrairement à ce que montrent certains clips du net, il est tout-à-fait possible de le manier sans gros dégâts. Ce qui semble se passer dans ce couple. Le monsieur apparemment ne cherche pas de prétexte pour sévir. Il n'est pas question de fautes, mauvais comportement etc. Difficile de dire si cela tangue vers un sadisme pur, ce plaisir de faire mal en tapant sur les fesses de la dame. Il en de soi que je ne vais pas commencer à chercher une éthique. Si j'aime les corrections pour motif, c'est simplement parce que cela fait partie de mon fantasme. Ce n'est pas un choix pour « anoblir » mes pratiques ou pour leur donner une allure justifiée. Et le but de mon blog c'est justement de montrer le vrai visage du fantasme.

Je ne garde aucun souvenir sur un passage qui décrit les modalités de l'acte même. Il me semble que cela était abordé très vaguement, en quelques mots. Peu importe, il y avait assez de matière à rêver pour moi dans les descriptions de l'ambiance et très vite j'ai transformé cette histoire en scénario personnel. Mais plus que des simples mises en scène pour jouir, je me perdais plutôt dans les projections d'une future vie de couple avec un mari qui sortait de temps en temps le « Rohrstock ».

L'impacte de cet article sur ma vie ?

Mon homme s'est toujours passionné pour ses épisodes de mon monde fantasmatique. Grand amateur de la poésie du Rohrstock pour ramener les vilaines filles sur le bon chemin, j'ai vu ses yeux s'allumer. Et l'idée d'introduire la discipline allemande à l'ancienne dans notre ménage lui a mis dans un état remarquable en jugeant sa prestation plus tard au lit. Ayant le sens pratique et une philosophie proche du « carpe diem », il n'a pas tardé quelque jours plus tard d'aller dans son magasin de bricolage pour trouver une baguette magique à la hauteur de mes attentes. Nous avons faits quelques essais pour « voir » ou plutôt pour sentir. C'est une saveur très corsée qu'il en suffit très peu de coups pour un authentique effet « punition réussie». L'essentiel se trouve dans les alentours, la préparation, le rituel, tandis que l'acte est bouclé en trois minutes. Je pense ce qui plaît le plus à mon homme c'est la réaction de mes fesses. Mon déhanchement au ralenti après chaque impacte de manière de plus sensuelle pour gérer au mieux la douleur. Bon, je n'essaye même pas de faire allusion à un plaisir. Mais notons que pour ma part après une bonne application maison, je me sens efficacement punie pour les plus graves de mes méfaits. Car contrairement au couple du journal, nous aimons les activités claquantes pour travailler sur mon comportement. La canne sert pour les grandes occasions comme l'insolence envers des personnes très proches ou récidives tenaces, déjà punies à maintes reprises. Notons aussi que je suis fière de ma bonne éducation et plus particulièrement quand quelqu'un sans se douter comment cela se passe chez nous me fait un compliment en ce sens. Et finalement notons aussi sans même qu'il ait des traces le lendemain, la douleur peut se révéler de plus tenace. Ce qui confirme une phrase de la dame du journal :

Si seulement cela ne faisait pas aussi mal... après !

mardi 23 avril 2013

323 Souvenirs d'adolescence 1

Mon mari m'impose la fessée !

Et ne pas n'importe laquelle. Comme explique cette dame allemande, amoureuse et bien consentante, à chaque fois que monsieur son époux sort le Rohrstock (la canne), elle a aussitôt des frissons. De plaisir ou d'appréhension ? Difficile à dire. Il faut lire entre les lignes. Mais l'article se finit sur une note bien étrange :

Si seulement cela ne faisait pas aussi mal... après !

Encore une de ces histoires que j'ai découverte dans la collection de vieux journaux à très grand tirage de mes parents quand j'étais adolescente. Malheureusement de nos jours cette collection n'existe plus, mais j'ai lu l'article en question si souvent que je me souviens parfaitement de son contenu. Et dès la première lecture, moi aussi j'avais des frissons en me voyant à la place de la dame. Ce fut en quelque sorte un déclic: Oui, mon monde fantasmatique est conciliable avec une vie conjugale.

Il s'agit à la base de banals quotidiens ou hebdomadaires, dotés de petits articles assez basiques qui ont tendance de se coller dans la tête. Et il y a de temps en temps une rubrique qui parle de bizarreries de la sexualité humaine. Il existe une manière bien particulière d'aborder de genre de sujet en Allemagne pour que cela reste du tout public et sans que personne ne crie au scandale. Je pense que l'on comprend aisément ma motivation pour me plonger dans ces piles au grenier familial (comble de poésie ; il y avait dans la cave aussi ) et de feuilleter journal par journal qui se trouvait là. Malgré le fait de posséder déjà à cette époque des solides et agréables connaissances sur les plaisirs essentiels possibles avec les jeunes « hommes » de mon âge. Alors dans ces journaux souvent la bizarrerie n'est pas grand chose, comme se promener sans culotte, mettre une tenue exotique, se raser le pubis, s'amuser sous la table entre les jambes du monsieur, sensations étranges en utilisant un bouchon médical, mais aussi - quel bonheur- récréation punitive appliquée sur le derrière. Avec comme point en commun que cela se passe sur l’initiative du monsieur. Suggérant en cette période qui suit la libération sexuelle que les dames sont libérées (ben voyons), c'est à dire disponibles aux aventures, mais « vierges » de toute originalité fantasmatique qui dépasse la vanille. Chose étonnante, car à la même époque un célèbre hebdomadaire allemand pour ados parle déjà d'une activité charnelle beaucoup plus imaginative que celle censée de se passer entre adultes. Style : je rêve qu'un garçon me mette toute dévêtue sur ses genoux et me donne des claques sur mon derrière en me faisant vraiment mal. Là j'ai des références. C'était « emprunté » à Nancy Friday ; My secret jardin (mon jardin secret) ; Fantasmes sexuels des femmes.1973.

Enfin il règne dans ces journaux le cliché d'une sexualité d'antan avec un monsieur actif et viril qui fait goûter à la dame des délices bien particuliers. Et comme bien entendu la dame « par ses dispositions polymorphes » apprécie le plat. Seulement elle se pose quelques question sur le bien-fondé de cette nouvelle manière d'éprouver du plaisir qu'elle n'hésite pas à communiquer à la rubrique conseil de certains journaux par exemple. Sur un mode de déculpabilisation qui se retrouve dans le vocabulaire employé : il veut que..., il m'impose que..., il aime que... On y trouve aussi la confession intime, le médecin gynécologue qui parle de ses consultations, le juge qui aborde certains cas de divorce etc. Voila donc tant d'habiles constructions qui rendent la situation crédible, non vérifiable et servent à créer du plaisir... chez le lecteur.

Revenons à notre histoire. La dame parle d'abord de sa vie de couple. Mariée à un homme qu'elle aime et qui est attentif à elle, il semble que tout va bien dans son ménage. Seulement au bout de quelques mois de vie commune, le mari avoue à sa dame un désir assez particulier qu'il souhaite réaliser de temps en temps. Lui passer quelques coups de Rohrstock sur son derrière dénudé. La dame peu enthousiaste et pour ne pas perdre son mari accepte après longue hésitation. Elle ne rentre pas dans les détails pour parler de sa première rencontre avec la canne. Elle raconte plutôt les alentours concernant cet élément de la vie conjugale. Le mari n'est pas présenté comme abusif. Il se passent pas mal de semaines entre les séances et l'impression s'impose qu'il mène à un dur combat avec ses démons intérieurs. Il semble essayer de repousser l’échéance le plus loin possible, mais cède au bout du compte...


dimanche 21 avril 2013

322 La fessée au cinéma (#6)

James Bond partagerait-il notre penchant ?


Extrait de : Bon baisers de Russie (1963)

Un petit travail de documentation de faits divers insolites. Car dans ce clip ne se trouve rien de spectaculaire, seulement la poésie de la petite tape sur les fesses. Celle que même moi je me permet d'appliquer en passant sur le derrière de mon homme. Celle qui est malfamée en couple car soit disant un acte sexiste ! De quoi je m'en mêle ? Il y a vraiment des gens qui mettent leur nez partout. Il semble presque que certaines personnes se sentent gênées par un trop liberté en ce pays ou ailleurs pour discréditer les petits actes affectueux. Et il suffit de regarder la censure populaire, exercée par des internautes sur youtube ou daillymotion par exemple et qui classe le moindre geste tendre comme « contenu pour grands ». Mais qui laisse passer des clips trafiqués pour enfants en œuvre de violence inouï en trouvant cela fort rigolo. Enfin il y a des fe... qui se perdent.

Avec cet extrait je m'offre d'abord une petite fantaisie. J'adore Sean Connery, notamment quand il avait atteint un certain âge, dans la phase Highlander et Indiana Jones. Et l'idée de passer sur ses genoux était bien au rendez-vous dans mon adolescence. J'ai appris beaucoup plus tard que cette passion pour les plaisir cuisants semble partagée par ce grand acteur. Et on lui attribue la citation suivante :

On devrait fesser une femme de temps à autre... . Certaines l’adorent…

Je ne sais pas si ce monsieur a vraiment prononcé cette phrase. En tout cas moi depuis cette découverte je lui trouve encore plus de charme. La probabilité est tout de même grande comme prouve le document en haut de cette page :

Certainly I believe in spanking women ! (J'approuve certainement la fessée pour les femmes)

Poursuivons les on-dits à son sujet. Il paraît qu'il avait fait une autre remarque désobligeante, mettant en rapport les femmes et le fait de les fesser. Ce qui lui a valut une demande de présenter des excuse publiques pour ne pas compromettre une distinction que le parlement écossais souhaitait lui attribuer. Il a refusé de s'excuser et il n'a pas eu sa distinction. Quel homme! Sa remarque était déplacée et inconciliable avec l'éthique moderne, certes, mais au moins il ne retourne pas sa veste. Qualité rare de nos jours et qui correspond à l'image purement subjectif que je me fais de lui.

A peu près à la même époque (2006) paraissent des articles dans les journaux anglais qui parlaient d'un célèbre acteur écossais de 70 ans qui s'était fait pincer pour avoir corrigé une jeune dame de 21 ans. Assis sur une chaise, il l'avait tirée sur ses genoux et en murmurant quelque chose comme « tentation », puis lui avait appliqué 5 claques sur le derrière. Sans oublier de préciser qu'il s'agissait d'une...

...fessée légère … que devrait recevoir chaque jolie fille une fois par jour. (...light spanking ...all pretty little girls deserve to be spanked once a day.)

A vrai dire, même pour une amatrice du genre comme moi, une fois par jour me semble un peu trop et relevant plus d'une obsession qu'un surplus pour le couple. Je crois que je me lasserais vite d'un tel homme.

Évidement beaucoup de personnes pensaient à Sean Connery qui semblait bien correspondre à la description. Mais non, ce n'était pas lui comme montre cet article de BBC News.

Notons que le créateur de James Bond, l'écrivain Ian Fleming qui a travaillé d'ailleurs pendant la deuxième guerre mondiale comme brillant agent secret, semble avoir été particulièrement attiré par les bizarreries de la chair et plus particulièrement par le spanking. Il avait une longue affaire extraconjugale qui est décrit par un proche de la manière suivante :

Ils aimèrent se fesser mutuellement et se firent parfois très mal ! (They enjoyed spanking each other and there were instances when they hurt each other)

Ils finirent même par s'épouser. Car en bon fils à Maman Flemming avait rompu ses fiançailles précédentes justement sur l'insistance de sa mère.

« C'était un homme de 28 ans, sûr de lui avec les femmes, mais dès que sa mère arrivait il se transformait aussitôt en écolier. » (Source : The Irish Sun)

Conclusion : Imaginons un James Bond allongé sur les genoux de sa maman, déculotté en recevant un bonne correction pour trop d'affaires avec les bondgirls, ou mieux encore une belle correction pour ses propos vraiment trop machistes ! Ceci dit dans l'intimité, prononcés avec un certain humour, pour ma part cela risque de passer . Car subitement il ne s'agit plus d'une généralité à la noix sur le femmes, mais il y a possibilité de me considérer comme archétype de ce qui est « la femme fantasmatique » pour le monsieur. Enfin le terrain est délicat et glissant et la chance que je donne une gifle est vraiment grande...

Ajoutons également que la petite claque sur le derrière d’une dame c’est tout un art qui réside dans le bon choix de la cible si j’ose dire. En général –hormis de mon homme - je n’apprécie pas du tout cette forme d’attention. Notamment par un inconnu ou pire encore dans un cadre professionnel je la vois sous forme d’agression. Pas moins que cela. Il ne vaut mieux pas s’aventurer avec moi. Sous peine de se prendre au mieux un baffle. Encore!

vendredi 19 avril 2013

321 Liens de discipline domestique (58 ème édition)


Épicer le quotidien …


Un fait divers qui date de 2007 et qui me fait rire. Alors cet employeur qui passe par la suite au tribunal (ben oui!) menace la nounou d'une fessée en cas de mauvaise prestation. Il lui propose en contrepartie de voir son épouse, vêtue d'une tenue de soubrette (quel fabuleux marché !), ainsi qu'une assurance maladie et l'usage d'une résidence de vacance (les enchères montent) si le service est parfait. Petit bonus de 40 livres sterling pour une culotte en soie et un magazine concernant les punitions sur le derrière. Toutefois pas de jugement, mais un arrangement à l'amiable entre les protagonistes. Mouais, cela sent un peu l'histoire bricolée et je me pose tout de même la question sur les enfants du ménage. Difficile de concilier un rôle de nounou comme souhaite le monsieur et le but primaire de ce travail. Mais oui, j'ai un enfant en bas âge et de plus un sens très pratique. Sans être pudique je ne souhaiterais pas que mon enfant devienne témoin involontaire de...


Avez-vous dit révélateur, la façon de s'asseoir ?


...il faut d'abord l'aborder. Et comme montre cet article de 1950, l'âge d'or (supposé) de la discipline domestique ceci dit, rien de plus facile. Il suffit de bien interpréter la façon de la dame de s'asseoir pour savoir si cela vaut le coup de tenter sa chance avec elle. Voila un joli mode d'emploi pour réveiller chez un ado crédule le scout, l'indien, l'amateur du jeu de piste etc. Car ce genre de magazine faisait ravage bien souvent auprès des ados. Autant mon papa que mon homme aussi, assez mal à l'aise dans leur peau, chacun à son époque, sont passes devant la dame avec le regard sévère qui tenait le kiosque à journaux pour acheter un tel magazine en vue de ...découvrir les secrets des filles. Et plus précisément pour étudier ce qui se trouve sous leurs jupes. (C'est pour mon Papa ! - Ben voyons !).

Pour ma part je suis sceptique envers ce genre de mode d'emploi. Je donne d'abord mes interprétations personnelles

1 J'suis prête chéri !
2 Tu me gonfles...
3 J'attends....
4 Mais encore...
5 On va voir...
6 Passe à l'action...
7 Je m’ennuie

Puis je me mets à la place de la dame. Exercice facile. Bon, pour mettre une telle tenue, aucun problème. Et quand aux positions je les ai toutes dans mon répertoire. Seulement cela s'adresse à un public très sélect. En général exclusivement à mon homme et à certains de ses amis qui se comportent comme un papa avec moi. Alors je me laisse aller, car malheureusement nous vivons une époque qui ne permet pas de sortir ainsi vêtue sans compagnie masculine. Je me demande d’ailleurs comment cela se passait jadis. Est-ce que les photos pin-up relèvent d'une mise en scène ou a-t-il existé un âge d'or du « habillement de pure séduction » ? Ma maman a encore connu l'époque porte-jarretelles. Seulement, quand elle était jeune ce petit rien du tout se prêtait déjà à l'usage récréatif et pour le quotidien on mettait une gaine...

Main non, ce n'est pas inédit d'un célèbre dessinateur, tellement bien caché en bas de l'écran que l'on risque presque de rater cette petite merveille.


13 minutes c'est long. Non seulement il existe des clips qui montrent des activités claquantes de cette durée, de plus il y a des personnes qui coïncidèrent cela juste comme un échauffement. Pas moi. Contrairement à la vanille je préfère mes corrections courtes et intenses. Voici une jolie compilation que tout le monde puisse trouver son bonheur :


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
















jeudi 18 avril 2013

320 Le plaisir dans la discipline


Ferme les yeux et pense à l’Angleterre !

Un monsieur qui selon ses propres dires fesse pour le plaisir de la dame, me rappelle un peu ce discours très british de la jeune épouse qui suit les conseils de sa maman pour se plier au rituel du devoir conjugal. Alors serait-ce que cela le fameux british spanking  ou s'agit-il d'une erreur de compréhension ? En fait, en y réfléchissant à tête reposé sur cette sornette masculine, j'ai l'impression que l'égalité n'est pas pour demain. Imaginons une dame dire de nos jours qu'elle fait ceci ou cela pour faire plaisir au monsieur. Elle risque de se faire lyncher, verbalement au moins par les autres femmes pour outrage envers la condition féminine. Car effectivement il faut toujours garder son propre plaisir devant ses yeux pour correspondre à l'image de la femme moderne. Et si le malheur de certaines femmes modernes venait de ces messieurs qui essayent à tout prix faire plaisir à la dame ? N'en parlons pas des messieurs qui voudraient comprendre la jouissance féminine. Rêve qui date de plus de deux milles ans au moins et qui agaçait déjà à l'époque prodigieusement les femmes. Pas étonnant alors que le plus perspicace et hardi parmi eux, le divin Thirésias fut privé de la vue par Héra, la compagne de Zeus pour avoir trahi un secret de filles.

Pour ma part, un homme qui prétend s'occuper de mon plaisir, je ne trouve pas cela très sexy et plutôt mollasson. Cela m'évoque une belle anti-virilité et il y a aussitôt une image qui me vient à l'esprit, me voici en train de de lire un bon journal sur les maquillages à la mode pendant qu'un monsieur me titille l'entrejambe. A ce niveau je suis aussi banale que le monsieur qui m'a avoué un jour de fantasmer sur le fait de lire le journal « Equipe » pendant qu'une adroite dame s'adonne à l'art de la sucette. Dommage pour lui que ce fut l'Equipe... Comme quoi qu'un simple détail peut tout gâcher. Mais revenons à notre fessée. Quel genre de comportement de la part du monsieur pourrait la rendre particulièrement émouvante à mes yeux ? Regardons encore chez les grecs. Le premier amateur des pratiques cuisantes qui en parle semble être Aristophane. Dans sa pièce Plutus il fait dire à La Vieille  (qui parle de son amant) :

Un jour que je me rendais en char aux grands mystères, quelqu'un me regarda ; il en fut si jaloux, qu'il me battit toute la journée.

Sacré Aristophane ! Un monsieur jaloux, je trouve cela touchant. Je dirais point que nous ne sommes plus dans l'Antiquité, car la raison ne correspond pas à une approche aux fantasmes. Je dirais tout simplement, pas mon monde émotionnellement. Bon, je mets les citations de côté, je parle de ce qui me passe par la tête.

Alors moi j'adore recevoir une fessée par un monsieur qui se bat vaillamment contre son vice. Qui se desserre la cravate, tellement qu'il à chaud. Un grand garçon qui se trouve enfin ou à nouveau devant le derrière dénudé d'une dame en chair et en os pour réaliser son vœux le plus cher depuis l'enfance. Qui se délecte du travail qui l'attend et qui retourne ses manches, façon bricoleur. Qui ne compte pas faire dans la dentelle. Qui transpire, tellement la perspective d'intervenir en bon et solide disciplinaire s’empare de tout son être. Tache si noble qu'elle libère le meilleur en lui. Malgré le fait qu'il crevé d'envie de passer un doigt, voir la main dans les endroits stratégiques de la dame. Malgré une tentation de tonnerre, au lieu d'apprendre à la dame les bonnes manières et de donner soi-même l'exemple d'une moralité irréprochable, rêve de l'entraîner dans un tourbillon de débauche. Mais il sait que cela se mérite durement. Et malgré tout, il arrive à rester ferme et irréprochable selon la devise :

Discipliner n'est pas tripoter.

Oh comme c'est vexant de ne pas réussir de plier ce monsieur à ma propre loi de la chair. Me sentir envahie par cette colère de la séductrice qui pour une fois n'arrive pas à ses fins. Colère et douleur qui se mélangent, sentiment d'impuissance devant un monsieur qui sait imposer sa loi à lui. Tout en continuant à se battre contre ses envies. Parce que les agitations involontaires dans son caleçon m'indiquent clairement que cette correction ne se motive pas exclusivement en vue d'une améliorer de mon comportement. Non ce monsieur n'est pas un serviteur à la solde de mon plaisir. S'il savait à quel point son comportement me rassure, m'excite... Car comme il sait imposer en ce moment une correction de taille, autant il donne l'impression de savoir s'imposer aussi dans la vie de tous les jours, dans les petits et grands détails du quotidien. Un compagnon solide pour affronter l'imprévu. Un qui ne flanchera devant son but à cause d'une démangeaison caleçonnaire. Un monsieur qui arrive au bout de ma cuisante leçon sans un geste déplacé. Une punition rondement menée, douloureuse à souhait pour me faire réfléchir, appliquée avec une fermeté qui promet une suite dans ses idées. Et quand il me dit d'aller au coin pour finir ma pénitence, la question de le contredire ne se pose même pas ... j'y vais sagement !

mardi 16 avril 2013

319 Appâter le monsieur


Quelques petites anecdotes qui datent...

Personne ne peut jamais au dernier degré connaître les méandres d'autrui. En aucun domaine. La pensée, le fonctionnement, les intentions et le but d’autrui ne nous sont pas accessible. Au mieux on peut faire confiance à l’autre, mais plus relève de l’impossible. Autant que ma vision de la fessée est imbibée de romantisme, autant je ne perds jamais de vu l'étendu de la phénoménologie, veut dire qu'il existe une très large palette d'approches humaines concernant notre sujet. Je ne connais pas toutes, mais je suis attentive et de bonne écoute et j’en découvre toujours des nouvelles. Il se peut alors que notre partenaire bien aimé (ou pas), garde un jardin secret fantasmatique avec quelques éléments qui risquent de nous effrayer ou qui risquent de nous déranger. C'est un peu comme si la fessée remplissait la fonction d'un bouclier qui cache ce qui est vraiment gênant à raconter et ce qui est par ce fait la bonne raison qui transforme notre innocente fessée en une de bien méritée. Voila qui ressort de mon expérience personnelle et d'une attentive écoute. Et des fantasmes qui poussent en toute discrétion à l'ombre des désirs cuisants ne manquent pas. Alors quand quelqu'un me parle de ses passions cuisants, je ne m'emporte pas et j'essaye de cerner où se trouve le vrai désir.

Quoi qu’on en dise, la bonne vielle déculottée remis au goûts des adultes est entrée dans le mœurs des gens d'esprit ouvert. Elle s'est popularisée quelque part comme témoignaient de nombreuses articles dans des journaux féminins à grand tirage au fil des dernières années. Voila, il faut toujours que les dames fassent le travail pour pousser les messieurs. Alors enfin fini le temps (du moins en théorie) où la femme adepte de la sexualité libre était associée à une dévergondée, l’amatrice du SM à une vicieuse et l’adepte de la fessée à une idiote enfantine. Et maintes femmes perspicaces qui connaissent les hommes à fond, les séductrices en un mot éloquent, ont intégré les pratiques claquantes depuis très longtemps dans leur attirail.

Je me souviens quand j’étais encore très jeune. Quand j’essayai de réaliser mes premiers pas sur le terrain cuisant avec des messieurs qui me tapaient dans l’œil. C’est là, où je fit une étrange découverte. Ceux qui n’étaient pas à l’aise dans leur monde fantasmatique, se démarquaient des autres par une vulnérabilité particulière en matière de sexualité. Je vais me restreindre ici uniquement sur la fessée pour ne pas me disperser dans le sujet. Il suffisait tel que éros d’envoyer une flèche bien ciblée, une petite allusion, un sous-entendu de ma passion pour la fessée pour que certains perdent leur sang froid. Des hommes solidement enracinés dans la vie sociale, du double de mon âge voire plus fondaient devant mes assauts de post ado. A partir du moment que la machine à imagination était mise en route, je ne manquais pas d’invitation pour des rendez-vous galants, des petites attentions, des fleurs et j’en passe.

Je n’ai pas vu le lien de suite, j’avais peu d’expérience à cette époque. Mes petites allusions émises avec fausse timidité pour orienter le monsieur en face de moi sans l'effrayer sur mon terrain favori se relevèrent d’une efficacité redoutable. Je n’ai jamais été une croqueuse d’homme. Je préfère les sentiments à l’aventure. Mais quand on est jeune, la curiosité et le goût pour les expériences peut facilement s'amalgamer. J’ai compris donc que l’univers des fantasmes est une arme redoutable qui donne à une femme habile du pouvoir sur certains hommes. Je n’ai pas poussé le vice à profiter des messieurs dans un jeu malsain qui vise mes avantages. Mais le compte est vite fait. Lancer l’appât, éviter le sujet, laisser venir le monsieur, faire semblant de ne pas comprendre ses allusions etc , etc… Si le monsieur ne fait pas un lien entre fessée et sexe, son inconscient le fait pour lui. Et son inconscient est le meilleur allié de la femme.

Pourquoi ces réflexion cyniques ?

J’avais entendu, il y a quelques années, des collègues du travail qui parlaient « d'un homme très bien ».

Parle lui de la fessée. Tu verras il est fous de ça.…

Et s’il veut vraiment me fesser… ?

réfléchis. Ca fait pas si mal que ça. Puis tu verras comme il va te gâter après…

Ma foi. Le darwinisme sexuel se porte à la merveille. J’ai vu le pouvoir de la «lingerie française» dans mon pays au début des années 90. J’ai vu le pouvoir suggestif de l’épilation intégrale un peu plus tard. Et maintenant serait-ce que le tour de la fessée ?

dimanche 14 avril 2013

318 La fessée au cinéma (#5)


Perverse ou scandaleuse la petite dame ?


Je tiens à préciser que ma « critique cinématographique » ne se veut en aucun cas sérieuse et compétente. Je parle de ce qui me passe spontanément par la tête, de mes impressions à chaud...

Il fut un temps où on employait parfois le mot scandale pour éviter de dire pervers. Il suffit de penser aux grands scandales qui impliquaient des personnes importantes dans des affaires purement récréatives. Non pas dans le sens d'une banale histoire de coucherie extraconjugale, mais concernant des activités quelque peu sulfureuses. Comme le monsieur qui se fait fouetter en toute discrétion par des dames spécialisées en chevauchant un Berkely Horse . A se demander si cela ne correspond pas à la satisfaction d'un besoin de punition que le monsieur s’octroie de temps en temps pour compenser son comportement particulièrement ignoble tout au long de sa vie et qui l'a hissé - entre autres - au haut rang qu'il occupe. Voila de quoi pour cerner le concept de la perversion dans toute sa splendeur. Même les punitions apportent un bénéfice, pardon, servent à une satisfaction... sexuelle. Quoiqu'il en soit ce mot qui fait souvent peur n'existe quasiment plus. Sous le réchauffement climatique dans nos chambres à coucher actuels, il s'est tellement rétréci qu'il risque de disparaître sous peu. Et si ce n'est pas la libéralisation de nos mœurs qui l'achève, il restera toujours le recours au politiquement correct pour que l'on puisse dormir enfin tranquillement. Peu import l'angle de vue, nous assistons à une importante modification du langage, d'ailleurs décrite de manière visionnaire et très pessimiste pour les conséquences par Georges Orvell dans son Roman « 1984 » avec l'arrière idée de modifier la pensée en privant l'esprit de certains mots. Alors fini les affaires classées « P » et retour aux scandales.

C'est un film politique, isabelle ?

Pas du tout mon chéri, c'est un film de cu..., enfin non, une comédie récréative ! ...il me semble, car je ne l'ai pas vu en entier...

Il suffit de regarder l'affiche de cette œuvre qui s'appelle en VO « Scandalo in famiglia; 1976 » pour mieux comprendre. Mais étonnamment la scène de la fessée se passe de manière bien sage. La saveur se trouve dans les dialogues (hélas en allemand) et surtout dans les expressions de Gloria Guida (j'ai des origines italiennes d'où mon enthousiasme pour cette dame) que je trouve ravissante en brune. Voyons un peu les dialogues. Le monsieur se pose la question si sa femme joue la comédie, si elle est folle ou si 'elle est perverse. Excellente déduction ceci dit qui semble parfaitement décrire la manière des se comporter de certaines femmes comme moi... par exemple. Puis il doit admettre que ce mélange explosif l'épuise sacrement dans sa noble tache de chef de famille. Voila donc une bonne raison pour lui appliquer une fessée bien sentie. Ce qui m'intrique particulièrement dans ce petit extrait de film, c'est le subite changement de la couleur des cheveux de Gloria, habitude très blondes. (Zut ! C'est du authentique isabellien; je ne retouche pas ma phrase.) Je reprends. Je me retrouve tellement dans les attitudes de cette brune que cela devient troublant. Comme elle dit si bien à la fin de sa punition :

Pourquoi t'arrêtes-tu déjà ?

Au début de notre couple mon chéri ne se doutait pas de mon sang chaud, venant du bon soleil méditerranéen du côté de ma mère. « Déguisée » en très blonde garçonne nordique, de plus avec un discours, bien intellectuel, bien féministe, il n'a pas vu me venir. Je pense qu'il a dû m'imaginer avec une certaine retenue dans l'intimité. De même pour ma part. Ce gentil homme du terrain et beau parleur, ce personnage attentif à mon discours et attentionné à ma petite personne, je le voyais plus comme un grand romantique d'un autre âgé sans imaginer pour une seconde de me trouver devant un exigeant éducateur pour grandes filles. Et à bien y réfléchir, la bonne fessée d'antan, n'est en rien incompatible avec le romantisme. Au contraire, à mes yeux c'est un acte hautement romantique. Des petites mises en garde comme montre ce clip j'en ai reçues à quelques reprises ! Cela n'est pas bien méchant, un monsieur qui marque son autorité sans faire la brute et pour ma part j'adopte la même position que la dame concernant ma tête et mes mains. En finissant sur un air de rêveuse, heureuse de ma vie et de mon couple. Petite pensée qui traverse ma tête :

Ai-je une sexualité scandaleuse ?

Bon, je ne me surestime pas et surtout pas mes fantasmes. Je me trouve plutôt banale et un bestseller récent qui plaît énormément à des million de femmes semble me donner raison. Hein oui, le monde fantasmatique de bien de femmes penche plutôt vers une solide castration symbolique (ouf !) du mâle dans le sens de lui amputer au bout de trois volumes et je ne sais pas combien de pages ses vilaines lubies sadiques. Pas étonnant alors que l’accueil des messieurs des ces livres est moins enthousiaste.

Pour finir un mot d'André Lussier ; Les déviations du désir; 1983

« La superbe arrogance avec laquelle le pervers parle de sa jouissance orgastique, le souverain mépris qu'il réserve pour ses frères non pervers (étrange quand même, ce fait que le pervers lui, ne pense pas que tout le monde soit pervers !), mépris pour ses frères non pervers qui n'ont pas accès à l'apothéose du plaisir, la fière appartenance à ce club sélect des aristocrates de la jouissance, est-ce pure  illusion ?»

vendredi 12 avril 2013

317 Liens de discipline domestique (57 ème édition)


Vous aimez fesser votre partenaire ?

C'est officiel avec la sortie au mois de mai du nouveau DSM 5 (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) notre fantasme favori ainsi que pas mal d'autres comme par exemple le fétichisme et le travestissement vont enfin sortir du registre des attirances « anormaux ou contre nature ». Toutefois pour échapper à la case maladie, il faut remplir une condition essentielle. Vivre son fantasme dans la joie et de la bonne humeur. Car ce que cet article (hélas en anglais) ne précise pas, sont les deux critères principaux de pathologie employé par le DSM, c'est-à-dire dire le constat d'une souffrance et/ou une dégradation signification des relations sociales. Si je me souviens bien, les ruminations infructueuses sur le bien-fondé d'une telle attirance, font partie d'un autre diagnostique. Retenons donc, pour une pratique saine il faut


Présenter de la lingerie je sais le faire. Avec des mouvements fluides et harmonieux. Et surtout avec un grand sourire. Mais ce qui passionne beaucoup mon homme en privé, il ne l'apprécie pas forcement en public. Non pas jaloux, mais terriblement pudique sous pas mal d'aspects. Parfois j'ai l'impression qu'il a honte là où moi je suis censée en avoir. Il serait certainement très mal à l'aise dans une situation parfaitement insignifiante avec moi met en avant


Le terme « jeu » en rapport avec la réalisation du monde des fantasmes est souvent utilisé. Attention, il ne s'agit en aucun cas d'une variante plus douce d'une pratique. N'oublions pas que dans le monde d'enfance existent deux formes de jeu. Celui des touts petits qui jouent à « faire semblant » et celui des ados qui jouent à « passer à l'acte ». Voila donc pour bien comprendre la notion du jeu dans un contexte fantasmatique cela pourrait donner : Passer à l'acte pendant un temps déterminé. Complexe ce truc. Bon, je mets mes réflexions de côté pour un clip qui me plaît beaucoup. Il n'y a pas de jeu d'acteur comme dans le purement commercial, car il s'agit d'un vrai couple... d'amoureux.


Je crois qu'il faut être une fille pour s’intéresser aux petites robes que portent le dames dans les clips de fessée. Notamment celles qui sont bleues. Une récidive chez Amandine. Visiblement le bleu l'inspire. Encore une des ces très jolies mises en scène qui n'effrayent pas les filles :


Et pour contraster peut-être la plus célèbre robe bleue de l'âge d'or de la fessée anglaise. Notons que cette robe apparaît dans plusieurs clips avec différentes dames. Notons aussi que le cottage où fut tourné ce film est à louer pour des vacances et se trouve à Dorset en Angleterre.


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















jeudi 11 avril 2013

316 Faits divers


Il serait temps que je commence mon grand ménage du printemps pour faciliter la navigation sur mon blog.

Voila donc la mise à jour de ma page de faits divers. Quant à la véracité de ces faits divers, j'ai déjà exprimé à maintes reprises ma méfiance. D'habitude je suis crédule, bon public et notamment quand je fais confiance à une personne, il m'arrive facilement de lui croire les yeux fermés. Effet secondaire je pense quand on a eu comme moi un Papa de plus adorable, qui n'a jamais hésité de bichonner sa fille chérie. Et surtout qui n'a pas essayé de vendre une image idéalisée de lui. Qui a été honnête avec moi sur ce qu'il est réellement sans s'embellir et sans se dévaloriser. Je n'ai pas eu une crise d'adolescence et je n'ai pas éprouvé le besoin de partir pour une grande quête de valeurs authentiques, pour séparer le vrai et le faux, l'apparence et le contenu. Peu étonnant que j'ai choisi un compagnon de vie qui possède toutes les qualités de mon Papa et il est très rare qu'il se paye ma tête. Bon cela lui arrive, car j'avoue que parfois c'est trop tentant avec moi. Je me souviens notamment d'une discussion entre vrais scientifiques dont l'un défendait d'une manière très sérieuse la thèse que le port des bas et porte-jarretelles empêche la prolifération de la cellulite. J'ai senti quelque part le coup monté, à mon égard et envers une autre fille présente, mais j'avais trop envie d'y croire. Et c'est là à mon avis où se trouve la clef pour comprendre l'attirance de certaines personnes pour les faits divers :

On a envie d'y croire parce que cela arrange nos petites rêveries !

A ce s'ajoute dans mon pays de naissance une presse en apparence sérieuse qui fournit sans cesse des faits divers qui semblent mettre en relief des fantaisies récréatives. Fait divers invérifiables, je précise. Évidement notre péché mignon n'est pas tous les jours « à la une », mais il revenait assez régulièrement pendant mon adolescence. Manière de m'embellir la journée quelque peu inespéré. Sans parler des conseils des psychologues ou sexologues dans les rubriques spécialisées. J'ai pas mal de souvenirs d'articles croustillants et je vais essayer de temps en temps d'en reproduire de mémoire sur mon blog.

Je me souviens notamment de la lettre d'une maman un peu affolée qui parle d'une découverte concernant sa fille qui est déjà majeure. Alors cette brave dame entre dans la salle de bain et tombe sur sa fille. La jeune dame, en tanga et petit haut est en train de se maquiller. Son fessier montre des traces qui ne laissent aucun doute sur leur provenance. Curieuse la mère essayer d'en savoir plus. Et la fille, un peu gênée lui raconte qu'elle adore recevoir par son copain la canne sur ses fesses nues. Quand j'ai lu ce petit truc je ne connaissais pas encore la canne, mais j'étais tout de suite tout feu tout flamme pour des belles marques sur mon derrière. Évidement pas celles qui virent vers le bleu, mais imaginai des boursouflures tendrement rouges. Celles qui présentent un toucher agréable. J'étais également fortement troublée par l'idée que ma propre maman puisse me découvrir ainsi. Ce scénario m'a offert pas mal de possibilités pour mes rêveries et j'ai poursuivi les différentes pistes pendant un bon moment. Mais avant tout je me souviens du jour quand j'ai reçu la canne pour du bon. Son sifflement si caractéristique, la vive douleur qui suit l'impacte, puis cette sensation de chaleur intense qui accompagne le passage au coin. Comme dit mon homme après une telle correction :

Frotte-toi bien les fesses isabelle, elles en ont besoin !

Sans blague ! Comme si je ne le savait pas moi-même.















mardi 9 avril 2013

315 Sous les jupes des filles (#5)


Si tu veux qu'un homme t'écoute attentivement, isabelle, parle lui de tes fantasmes !

Voila un précieux conseil de mon Papa. Il m'a précisé aussi les circonstances pour mettre un tel sujet sur la table. Et cela marche la plupart du temps. Et si exceptionnellement cela ne marche pas, hein bien, le monsieur n'est pas une grande perte, parce qu'il ne s’intéresse pas à la dame. Très basique le monde isabellien. Notamment parce que j'ignore le coup de foudre. Ce qui me permet de faire mon choix (mon « marché » comme disaient dans le temps mes copines) en toute tranquillité et avec toutes mes exigences. Grand mot en fait car je ne m'estime pas abusive, mais plutôt dans la moyenne. La preuve, comme marquait LADEPECHE il y a quelques jours, selon un sondage, les femmes craquent le plus souvent pour un bon bricoleur (un très bon pour ma part) et alternativement rompent facilement avec un homme qui ne sait rien faire de ses mains. Voila donc aussitôt expliqué cette fameuse attirance pour le bricoleur. Quant au sportif, numéro deux dans la faveur des dames, je suis mitigée. J'aime l'activité physique sans que cela ne devienne une obsession. Je demande alors la même chose au monsieur à mes côtés. Par contre le bon cuisiner, c'est oui sans hésitation. Fabuleux ce sondage pour mieux comprendre les choix féminins ! En gros je dois être encore plus basique que je ne le croyais...

Donc une fois mon choix fait et confortablement installée dans mon couple, j'aime passer à la vitesse supérieure. Parler de mes fantasmes peut meubler une soirée au restaurant, mais n'entretient pas le « tout feu, tout flamme ». Mieux vaut activement distraire mon homme. Avec comme sous-entendu ma fascination pour le joujou capable de changer de taille selon les circonstances. Ou plutôt qui s'adapte par son changement de taille à mes efforts et suggestions. J'aime provoquer, mais pas n'importe comment. Non, pour la version adolescente en jouant sur un comportement exécrable pour chercher son pan-pan cul-cul. Je suis plutôt version adulte par le langage de mon corps, mes tenues, mes allusions, l'intonation de ma voix etc. Je peux être très insistante, harcelante et assez sans limites dans ce contexte. Mais bon, je tiens par la suite toutes mes promesses. Mon jeu favori consiste à chauffer mon chéri dans les endroits publics qui ne permettent pas une intervention immédiate. Alors il râle pour la forme et quand je pousse trop loin dans la suggestion, il me menace d'une bonne correction pour me calmer :

Attends qu'on soit à la maison, isabelle...

Promesse tenue également. Même si cela ne m’empêche pas sur le coup de lui tirer ma langue et de le faire bouillir encore un peu plus. Car il sait très bien de ce que suis capable de faire avec ma langue.

J'aime beaucoup titiller mon homme de manière sainte ni touche. Des petites ruses qui ne manquent pas d'effet. Comme lui annoncer l’absence de culotte de ma part par une petite allusion à un moment stratégique d'une soirée. De toute manière, je ne risque strictement rien pour que cela soit découvert par autrui, car j'ai prévu une jupe crayon d'une certaine longueur. De plus la mode des strings donne une explication valable à l’absence de marques au cas où un des convives serait assez maniaque pour se poser de telles questions. Et il n'est pas un hasard que je réponds systématiquement à la grande question existentialiste, culotte ou string par...string ! Effectivement notre observateur pourrait alors se poser des questions encore plus complexes et métaphysiques, car en bougeant et en me baissant surtout, les marques de mes porte-jarretelles apparaissent facilement. Mais, expérience faite, un tel vêtement suggère infailliblement l'idée d'un cordonné avec... culotte ou string ! Ceci dit, s'il arrivait par un concours de circonstances que quelqu'un s’aperçoive de mon manque de culotte, il me semblerai normal (souhaitable!) que mon homme me punisse à la hauteur de mon méfait.

Quant à mon homme, il est extrêmement curieux, une fois mis sur la piste. Il peut arriver facilement qu'il me coince dans une coin discret et/ou sombre pour une petite vérification. Étonnant tout même, certains hommes. Je crois que c'est un truc à sens unique. Je me verrai mal tomber en extase si mon homme m’annonçait de ne pas porter un slip sous son pantalon. Ou plutôt un de ces « horribles strings » que j'aime lui imposer.

Et puis quoi ? Il aime bien m'imposer des portes-jarretelles !

Autre variante, tout bêtement quand je vais au petit coin, je lui passe à mon retour discrètement sous la table mon string ou ma culotte. Effet fulgurent aussi. J'imagine l'inverse. Je crois que j’éclaterai de rire si mon homme me faisait un tel coup. D'ailleurs je n'ai jamais entendu une femme qui fantasme sur cette situation.

Ah oui ! Jouer à la nerveuse. Ajuster mes jarretelles, les tirer et de les relâcher. Le son caractéristique est de plus aphrodisiaque sur mon homme. Et dans la série banal, mais efficace se trouve aussi le choix de mon dessert et ma façon de le manger.

Il en va de soi qu'il existe des stimulants encore plus puissants. Mentionner un petit objet conique que ce soit sous une « culotte de soirée », sorte de sous-vêtement destiné à maintenir en place des petits objets récréatif ou qui se maintient en place par une forme particulièrement bien étudiée, peut facilement provoquer une syncope chez certains messieurs. Puis un grand classique au début de notre relation :

Je viens de me faire épiler à la cire cet après-midi. Partout partout...

Voila, tout compte fait j'ai suivi les conseils de mon Papa en les améliorant à ma sauce pour un usage en couple. Stratégie qui paye, car après presque 15 ans de vie commune, les actualités de ce qui se passe sous ma jupe restent un des sujets favoris de mon homme...